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{{Infobox Biographie2|charte=prétendant au trône}}
'''Achille Laviarde''', né le {{date|17|novembre|1841}} à [[Reims]] et mort le {{date|
== Biographie ==
=== Enfance et jeunesse ===
[[image:Majorite du prince delegation remoise 08266.jpg|vignette|Délégation rémoise à la majorité du prince impérial.|gauche]]Achille Laviarde, né au 201, [[Rue du Barbâtre (Reims)|rue du Barbâtre]] à Reims, fils de Bertrand Xavier Laviarde, un fabricant de tissus, et de Marie Anne Rosalie Colmart
De retour en France, il s’engage en politique, dans le parti [[Second Empire|impérial]]. Lors des [[Élections législatives françaises de 1869|élections législatives]] de mai 1869, il soutient le candidat impérial [[Édouard Werlé]], ancien maire de Reims, qui est élu député. Le {{date|15|janvier|1873}}, il assiste, officiellement, aux obsèques de l'ex-empereur [[Napoléon III]], puis, le {{date|16|mars|1874}}, il
On le voit figurant comme chef délégué de la section de Reims aux côtés des impérialistes et de [[Paul de Cassagnac]] sur une estampe représentant le groupe des personnalités rassemblées en 1874 à [[Camden House]] à l'occasion de la proclamation de la majorité du prince impérial<ref>{{Ouvrage | langue= fr | auteur1= | titre=Travaux de l'Académie nationale de Reims | sous-titre= | éditeur=P. Giret | collection= | lieu=Reims | date=1946 | tome= | pages totales= | passage=188-189 | isbn= | lire en ligne=http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9791028c/f199.image.r=%22de%20Tounens%22 }}.</ref>. Son implication avec les bonapartistes lui a valu un épais dossier aux archives de la police de Paris.
=== Roi d’Araucanie et de Patagonie ===
[[Fichier:Achille I en 1900 08265.jpg|gauche|vignette|Achille Laviarde dit « Achille {{Ier}} ».]]
Il a sans doute été secrétaire d’[[Antoine de Tounens]] qui lui portait de l'amitié et lui décerna le 30 décembre 1873 les titres de prince de Aucas et duc de Kialéon et le désigna par son testament comme son successeur éventuel<ref>{{Ouvrage | langue= fr | auteur1= | titre=Travaux de l'Académie nationale de Reims | sous-titre= | éditeur=P. Giret | collection= | lieu=Reims | date=1946 | tome= | pages totales= | passage=189-190 | isbn= | lire en ligne=http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9791028c/f200.image.r=%22Achille%20Laviarde%20comme%20successeur%20%C3%A9ventuel%22?rk=21459;2 }}.</ref>.
Selon l’acte de 1882, le nouveau roi a déjà deux ministres secrétaires d’État — le comte Antoine Jimenez et [[Antoine-Hippolyte Cros]], duc de Niacalel, qui fait fonction de garde des sceaux — ▼
Trois ans et demi après la mort le {{date|17|septembre|1878}} d’[[Antoine de Tounens]], Achille Laviarde accède en [[1882]] au trône de son prédécesseur et prend le nom ''Achille {{Ier}}'' (''Aquiles{{Ier}}'' en [[espagnol]]) roi d'Araucanie et de Patagonie<ref>{{Ouvrage | langue= fr | auteur1= | titre=Travaux de l'Académie nationale de Reims | sous-titre= | éditeur=P. Giret | collection= | lieu=Reims | date=1946 | tome= | pages totales= | passage=190 | isbn= | lire en ligne=http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9791028c/f200.image.r=%22L'histoire%20d%C3%A9lai%20de%20ne%20nous%20donne%20pas%20d'explication%20quant%20au%22?rk=21459;2}}.</ref>.
Par un testament cryptographique publié en [[1888]], dix ans après sa mort<ref>{{Ouvrage | langue= fr | auteur1=Bruno Fuligni | titre=L'Etat c'est moi: histoire des monarchies privées, principautés de fantaisie et autres républiques pirates | sous-titre= | éditeur=Editions de Paris | collection= | lieu= | date=1997 | tome= | pages totales= | passage=103 | isbn= | lire en ligne=https://books.google.fr/books?id=Yr0WAQAAIAAJ&q=%22fera+parfois+%C3%A9tat+d'un+testament+cryptographique,+dont+le+texte+sera+publi%C3%A9+en+1888%22&dq=%22fera+parfois+%C3%A9tat+d'un+testament+cryptographique,+dont+le+texte+sera+publi%C3%A9+en+1888%22&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwihqZuz88TbAhUfCDQIHfUTDtIQ6AEIJzAA }}.</ref>, Antoine de Tounens avait désigné comme son héritier et successeur au trône d'Araucanie et de Patagonie Achille Laviarde qui fera signer en [[1882]] un acte de renonciation à l'héritier naturel, Adrien de Tounens, boucher à Tourtoirac<ref>{{Ouvrage | langue= fr | auteur1=
Jean-Pierre Brach| titre=Le souverain caché | sous-titre= | éditeur=Age d'homme | collection= | lieu=Lausanne| date=2000| tome= | pages totales= | passage=147 | isbn= | lire en ligne=https://books.google.fr/books?id=Z86ePxpqOXMC&pg=PA147&dq=%22Laviarde+fera+%C3%A9tat++d'un+testament+en+sa+faveur+:+testament+d'ailleurs+cryptographique%22&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwi2jM2X8cTbAhUcHDQIHUsNA6wQ6AEIJzAA#v=onepage&q=%22Laviarde%20fera%20%C3%A9tat%20%20d'un%20testament%20en%20sa%20faveur%20%3A%20testament%20d'ailleurs%20cryptographique%22&f=false}}.</ref>.
Néanmoins, le titre de roi d'Araucanie et de Patagonie porté par Antoine de Tounens et ses successeurs et les titres qu'ils décernent n'ont pas d'existence légale<ref>[http://www.legiondhonneur.fr/sites/default/files/files/code_lh_mars_2015.pdf Code de la Légion d'honneur er de la médaille militaire], p. 46-48.</ref>{{,}}{{note|Titres du prétendant au trône d'Araucanie et de Patagonie : en 1996, le prétendant au trône d'Araucanie et de Patagonie Philippe Boiry poursuit en justice un journaliste qui déclare que « le dit roi de Patagonie est un imposteur et ses titres aussi faux que sa présumée majesté ». Le cas est rejeté par le juge<ref>{{en}} [https://books.google.fr/books?id=jb2_BAAAQBAJ&pg=PT209&dq=%22Philippe+Boiry%22&hl=fr&sa=X&ei=ggONVNrBFYXmoASSqYKwCQ&ved=0CEoQ6AEwBw#v=onepage&q=%22Philippe%20Boiry%22&f=false Chris Moss ''Patagonia: A Cultural History'', Andrews UK Limited, 2011, page 210.]</ref>. |groupe=Note}} et les prétendants aux trône d'Araucanie et de Patagonie sont considérés comme des monarques et souverains de fantaisie<ref>{{Ouvrage | langue= fr | auteur1= | titre=Politica Hermetica Les langues secrètes | sous-titre= | éditeur=L'Age d'homme| collection= | lieu= | date=1999 | tome= | pages totales= | passage=135 | isbn= |lire en ligne= https://books.google.fr/books?id=pOy-PvNFgHMC&pg=PA135&lpg=PA135&dq=%22+C'est+pourquoi+ces+monarques+de+fantaisie%22&source=bl&ots=yKuBhBhK4G&sig=U3eahd2WbRoJsQ7J9fKolTSUgDI&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwio6YCQg7_bAhVBllQKHfKADMUQ6AEIJzAA#v=onepage&q=%22%20C'est%20pourquoi%20ces%20monarques%20de%20fantaisie%22&f=false}}.</ref>{{,}}<ref>{{Ouvrage | langue= fr | auteur1= | titre=Journal du droit international privé et de la jurisprudence comparée | sous-titre= | éditeur=| collection= | lieu= | date=1899 | tome= | pages totales= | passage=910 | isbn= |lire en ligne=https://books.google.fr/books?id=lXMOAQAAMAAJ&pg=PA910&dq=%22Ce+souverain+de+fantaisie+a+institu%C3%A9+un+ordre+de+chevalerie,+dit+de+la+Constellation+du+Sud%22&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwj7-qCnib_bAhV2IjQIHS8NClQQ6AEIJzAA#v=onepage&q=%22Ce%20souverain%20de%20fantaisie%20a%20institu%C3%A9%20un%20ordre%20de%20chevalerie%2C%20dit%20de%20la%20Constellation%20du%20Sud%22&f=false}}.</ref> (le 12 novembre 1864 le tribunal correctionnel de la Seine jugeant d'une plainte en escroquerie contre Antoine de Tounens, roi d’Araucanie et de Patagonie, au vu des témoignages et de la lettre d’un magistrat de Périgueux qui écrit « ''Il est certain seulement que sa prétendue royauté d’Araucanie et de Patagonie a complétement bouleversé sa raison et lui a fait rêver les projet les plus absurdes. On le considère comme atteint d’une sorte de [[monomanie]] qui absorbe entièrement son intelligence'' » , rendit le jugement suivant : « ''Attendu qu’en portant et en se faisant attribuer le titre de prince et de roi d’Araucanie, le prévenu a pu agir sous l’influence d’une pensée et de faits [[chimériques]], mais peut-être vrais à son point de vue'' »)<ref>{{Ouvrage | langue= fr | auteur1= | titre=Le Petit Journal | sous-titre= | éditeur= | collection= | lieu= | date=15 novembre 1864 | tome= | pages totales= | passage=4 | isbn= | lire en ligne=http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k588764w/f4.image.r=%22Attendu%20qu'en%20portant%20et%20en%20se%20faisant%20attribuer%20le%20titre%20de%20prince%20et%20de%20roi%20d'Araucanie,%20le%20pr%C3%A9venu%20a%20pu%20agir%20sous%20l'influence%20d'une%20pens%C3%A9e%20et%20d%C3%A9faits%20chim%C3%A9riques%22?rk=21459;2 }}.</ref>.
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{{Référence nécessaire|L'épopée de son prédécesseur reste alors à ce point populaire en France qu'il peut assurer le fonctionnement des institutions de cette monarchie en exil.}}
En tant que roi d'Araucanie, Achille Laviarde « accordera une concession à une compagnie britannique qui ne verra jamais le jour, se fera lui-même duc de Kiaélon et comte d'Alsena, distribuera des titres, des cordons et des étoiles, désavouera ses consuls et chargés d'affaires qui en Italie avaient essayé d'escroquer les [[Salésiens]] »<ref>{{Ouvrage | langue= fr | auteur1=Marc Blancpain | titre=Orllie Antoine Ier: roi d'Araucanie et de Patagonie | sous-titre= | éditeur=P. Fanlac | collection= | lieu= | date=1970 | tome= | pages totales= | passage=114| isbn= | lire en ligne=https://books.google.fr/books?id=ZW4eAAAAMAAJ&q=%22distribuera+des+titres,+des+cordons+et+des+%C3%A9toiles,+d%C3%A9savouera+ses+Consuls+et+Charg%C3%A9s+d'Affaires%22&dq=%22distribuera+des+titres,+des+cordons+et+des+%C3%A9toiles,+d%C3%A9savouera+ses+Consuls+et+Charg%C3%A9s+d'Affaires%22&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwjUopaY79bbAhXpxlQKHSh3DUcQ6AEIKTAA }}.</ref>.
Ayant échoué dans toutes ses tentatives importantes, il exploita la situation par de petits moyens. Antoine de Tounens avait créé l'ordre de la Constellation du Sud, il le réglementa et définit les classes et les insignes; les amateurs étaient nombreux car l'insigne comportait beaucoup de rouge<ref>{{Ouvrage | langue= fr | auteur1= | titre=Travaux de l'Académie nationale de Reims | sous-titre= | éditeur=P. Giret | collection= | lieu=Reims | date=1946 | tome= | pages totales= | passage=190 | isbn= | lire en ligne=http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9791028c/f200.item.r=%22Il%20se%20r%C3%A9solut%20%C3%A0%20se%20contenter%20d'exploiter%20la%20situation%20par%20de%20petits%20moyens%22}}.</ref>. Il avait aussi coutume de désintéresser ses créanciers les plus exigeants en leur décernant un grade dans les ordres du royaume<ref>{{Ouvrage | langue= fr | auteur1= | titre=Travaux de l'Académie nationale de Reims | sous-titre= | éditeur=P. Giret | collection= | lieu=Reims | date=1946 | tome= | pages totales= | passage=192 | isbn= | lire en ligne= http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9791028c/f202.image.r=%22un%20grade%20dans%20un%20des%20ordres%20du%20royaume%22}}.</ref>.
Achille Laviarde habitait à Paris, place du trône, mais résidait plus fréquemment au cabaret [[Le Chat noir]] au pied de la butte [[Montmartre (Seine)|Montmartre]] et le protocole exigeait que les nouveaux venus soient présentés au roi<ref>{{Ouvrage | langue= fr | auteur1= | titre=Travaux de l'Académie nationale de Reims | sous-titre= | éditeur=P. Giret | collection= | lieu=Reims | date=1946 | tome= | pages totales= | passage=190 | isbn= | lire en ligne=http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9791028c/f200.item.r=%22Il%20se%20r%C3%A9solut%20%C3%A0%20se%20contenter%20d'exploiter%20la%20situation%20par%20de%20petits%20moyens%22}}.</ref>.
Dans ses dernières années, pour réduire ses dépenses il résida à Reims. Il mourut le {{date|16|mars|1902}} à Paris, terrassé par une congestion et fut inhumé à Reims dans le caveau de famille<ref>{{Ouvrage | langue= fr | auteur1= | titre=Travaux de l'Académie nationale de Reims | sous-titre= | éditeur=P. Giret | collection= | lieu=Reims | date=1946 | tome= | pages totales= | passage=193 | isbn= | lire en ligne=http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9791028c/f203.image.r=%22r%C3%A9sidait%20le%20plus%20souvent%20%C3%A0%20Reims%20o%C3%B9,%20%C3%A0%20d%C3%A9faut%20du%20Chat%20Noir%22?rk=21459;2 }}.</ref>. Ses restes et ceux de son épouse ont été transféré en 1976 au cimetière de Tourtoirac. Sur leur tombe, située à gauche de celle d'Antoine de Tounens, ils sont désignés comme « ''S.M. Achille {{Ier}}, Roi d'Araucanie'' » et « ''S.M. Doña Maria d'Araucanie'' ».
Il avait épousé le 20 mai 1876 à Londres, Marie Élisa Octavie Guéry (1852-1893), tenue pour une sud-américaine, mais qui était née à Reims d'un père ferblantier, dans le même canton que son mari<ref>{{Ouvrage | langue= fr | auteur1= | titre=Travaux de l'Académie nationale de Reims | sous-titre= | éditeur=P. Giret | collection= | lieu=Reims | date=1946 | tome= | pages totales= | passage=192 | isbn= | lire en ligne=http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9791028c/f202.item.r=%22d'un%20p%C3%A8re%20ferblantier%22}}.</ref>.
Achille Laviarde, contrairement à son prédécesseur, ne s'est jamais rendu au Chili.
=== Succession ===
▲Achille Laviarde, contrairement à son prédécesseur, ne s'est jamais rendu en Amérique. Le 6 mars 1902, il meurt au 2, [[avenue du Trône]]<ref name="genea"/>, dans le [[12e arrondissement de Paris|{{12e|arrondissement}} de Paris]][[Image:Tombeau d Antoine de Tounens.JPG|vignette|150px|Au cimetière de [[Tourtoirac]], la pierre tombale d’'''Achille Laviarde''' et de sa femme est à la gauche de celle d’Antoine de Tounens.]]
Achille Laviarde mourut sans laisser d'héritiers ni de testament. Un des ses amis [[Antoine-Hippolyte Cros|Antoine Cros]] (qu'il avait vraisemblablement rencontré au cabaret [[Le Chat noir]]) fut désigné comme son successeur par le conseil d'Etat du royaume<ref>{{Ouvrage | langue= fr | auteur1=Marc Blancpain | titre=Orllie Antoine Ier: roi d'Araucanie et de Patagonie | sous-titre= | éditeur=P. Fanlac | collection= | lieu= | date=1970 | tome= | pages totales= | passage=114 | isbn= | lire en ligne= https://books.google.fr/books?id=ZW4eAAAAMAAJ&q=%22donnera+comme+successeur+un+de+ses+amis%22&dq=%22donnera+comme+successeur+un+de+ses+amis%22&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwjgoMSx7NbbAhVUNX0KHS15CRUQ6AEIKTAA }}.</ref>, conformément à la volonté d'Achille Laviarde<ref>{{Ouvrage | langue= fr | auteur1=Bruno Fuligni| titre=L'Etat c'est moi: histoire des monarchies privées, principautés de fantaisie et autres républiques pirates | sous-titre= | éditeur=Editions de Paris | collection= | lieu= | date=1997 | tome= | pages totales= | passage=104 | isbn= | lire en ligne=https://books.google.fr/books?id=Yr0WAQAAIAAJ&q=Conform%C3%A9ment+%C3%A0+la+vlont%C3%A9+dAchille,+la+couronne+passe+au+docteur+Antoine+Cros&dq=Conform%C3%A9ment+%C3%A0+la+vlont%C3%A9+dAchille,+la+couronne+passe+au+docteur+Antoine+Cros&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwjb-PDcvtfbAhWGA3wKHdsPAdEQ6AEIKzAA }}.</ref>.
A ce sujet l'écrivain Jean Raspail indique : « Il n'y eut jamais qu'un seul roi de Patagonie S. M. Orélie-Antoine {{Ier}}. Achille Laviarde inaugura une fausse dynastie qui s'acheva avec Antoine Cros. [[Jacques-Antoine Bernard|Jacques Bernard]] [successeur d'Antoine Cros], ne fut ni roi ni prince patagon. »<ref>{{Ouvrage | langue= fr | auteur1=Bruno Fuligni| titre=L'Etat c'est moi: histoire des monarchies privées, principautés de fantaisie et autres républiques pirates | sous-titre= | éditeur=Editions de Paris | collection= | lieu= | date=1997 | tome= | pages totales= | passage=104 | isbn= | lire en ligne=https://www.google.fr/search?biw=1366&bih=599&tbm=bks&ei=QqgkW-iKM8aq0PEPi_WO8Ao&q=%22Achille+Laviarde+inaugura+une+fausse+dynastie+qui+s%27acheva+avec+Antoine+Cros.+Jacques+Bernard+ne+fut+ni+roi+ni+prince+patagon%22&oq=%22Achille+Laviarde+inaugura+une+fausse+dynastie+qui+s%27acheva+avec+Antoine+Cros.+Jacques+Bernard+ne+fut+ni+roi+ni+prince+patagon%22&gs_l=psy-ab.12...7983.16562.0.18953.3.3.0.0.0.0.0.0..0.0....0...1c.1.64.psy-ab..3.0.0....0.rGEWuP-5NGU}}.</ref>.
== Bibliographie ==
* {{Ouvrage | langue= fr | auteur1=René Druart | titre=Travaux de l'Académie nationale de Reims | sous-titre=Etude sur Achille Laviarde, roi d'Araucanie | éditeur=P. Giret | collection= | lieu=Reims | date=1946 | tome= | pages totales= | passage=186-195 | isbn= | lire en ligne=http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9791028c/f196.item.r=%22d'un%20p%C3%A8re%20ferblantier%22}}.
*
* Simon de Schryver, ''Le Royaume d’Araucanie-Patagonie'', Antoingt, [[1887]].
* Achille Gigante, ''Il nuevo regno Arauco-Patagone (actes diplomatiques d’Achille Laviarde)'', Rome, [[1888]] (BM Reims).
* Jean Émile-Bayard, ''Montmartre, hier et aujourd’hui. Avec les souvenirs de ses artistes et écrivains les plus célèbres''. Ouvrage orné de 15 h.-t. d’après les eaux-fortes originales de M. Lucien M. Gautier, Jouve & Cie éditeurs, Paris, [[1925]].
* [[Eugène Dupont]], ''Rois d’opérette'', {{p.|357 à 377}}, in Almanach Matot-Braine, 1935,
▲* René Druart, ''Achille Laviarde'', in Travaux de l’Académie de Reims, {{numéro|155}}, Reims, 1951-1952.
* Claude Pasteur, ''Le descendant du roi d’Araucanie'', in [[Miroir de l’Histoire]], août-septembre 1963.
* [[Dominique de La Barre de Raillicourt|Dominique Labarre de Raillicourt]], ''Nouveau Dictionnaire des Biographies françaises et étrangères'', tome I, fascicule 10 (rois d’Araucanie), 1965.
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{{article détaillé|Bibliographie sur le royaume d’Araucanie et de Patagonie}}
* ''4000 ans de mystifications historiques'', Gerald Messadié, 2011 [https://books.google.fr/books?id=9EH-C1C88qEC&pg=PT148&lpg=PT148&dq=Achille+Laviarde+exequatur&source=bl&ots=yU6pMZ_MIz&sig=1WyTV2NJhWQbPWXkWpg-qlLSbYw&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwiLqq3x9s7RAhWFORoKHbKOBIUQ6AEIOzAF#v=onepage&q=Achille%20Laviarde%20exequatur&f=false]
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== Notes et références ==
=== Notes ===
{{Références}}▼
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=== Références ===
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== Liens externes ==
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