« François Andrieux » : différence entre les versions
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Auteur qui s’est essayé à tous les genres, y compris la tragédie, Andrieux représente une courte parenthèse dans le style théâtral français. Plus naturel que ses prédécesseurs qui sacrifiaient souvent à l’emphase et aux effets artificiels, son œuvre, toutefois aujourd’hui surannée, a été vite éclipsée par les nouveaux auteurs [[Romantisme|romantiques]] contre lesquels il combattit vigoureusement. Il mena le combat au sein de l’Académie en participant au groupe du « Déjeuner de la Fourchette ». Opposé à l’entrée de [[Alphonse de Lamartine|Lamartine]] dans l’hémicycle dès 1824, il échoua cinq ans plus tard, le poète réussissant, grâce à l’appui de ses partisans déjà nombreux parmi les Immortels, à être reçu au fauteuil du [[Pierre Daru|comte Daru]].
Andrieux avait épousé le {{Date-|28|septembre|1784}} Marie Jude avec laquelle il eut deux filles, Bonne et Julie. Celles-ci lui donnèrent des gendres de qualité, [[Saint-Albin Berville]] (1788-1868) avocat de renom et homme politique ainsi qu’[[Alexandre Labrouste]], principal du [[Collège Sainte-Barbe (Paris)|collège Sainte-Barbe]], frère des architectes [[Théodore Labrouste|Théodore]] et [[Henri Labrouste]], constructeur de la [[bibliothèque Sainte-Geneviève]]<ref>Expression nette de piété filiale, les deux gendres sont inhumés aux côtés de leur beau-père au [[cimetière du Père-Lachaise]] dans la {{18e|division}}.</ref>.
== Œuvres ==
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