« Rougé » : différence entre les versions
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→Histoire : Parti pris contestable, donc l'objectivité doit etre rétablie. Si cette branche s'est éteinte notamment dans la famille de Châteaugiron, d'autres branches ont subsisté plus longtemps. |
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== Histoire ==
Fief d'origine de l'ancienne famille
La châtellenie de Rougé se composait à l'origine de trois grands fiefs : '''Rougé-à-Rougé''', '''Rougé-à-[[Thourie]]''' et '''Rougé-au-Teil''' ([[Le Theil-de-Bretagne]]). Ces deux derniers formèrent avec le temps la vicomté de Tourie et la châtellenie du Teil. Traitons ici de Rougé-à-Rougé, châtellenie appelée aussi dans les derniers siècles Rougé-à-Soulvache, après la destruction du château de Rougé. Cette seigneurie s'étendait en [[1560]] dans six paroisses : Rougé, [[Ruffigné]], [[Lalleu-Saint-Jouin]], [[Ercé-en-Lamée]], [[Soulvache]] et [[Saint-Jean de Béré]] (Archives du Parlement de Bretagne, 13 reg. des édits, 119) ; mais à l'origine, comme nous l'avons vu, les sires de Rougé avaient des droits de haute, moyenne et basse justice jusqu'en [[Le Theil-de-Bretagne|Le Theil]], [[Thourie]] et [[Piré-sur-Seiche|Piré]], d'un côté, — [[Saint-Aubin-des-Châteaux]] et [[Saint-Vincent-des-Landes]], de l'autre.
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