« Rougé » : différence entre les versions

Contenu supprimé Contenu ajouté
Pj44300 (discuter | contributions)
Histoire : Parti pris contestable, donc l'objectivité doit etre rétablie. Si cette branche s'est éteinte notamment dans la famille de Châteaugiron, d'autres branches ont subsisté plus longtemps.
Ligne 49 :
 
== Histoire ==
Fief d'origine de l'ancienne famille éteinte des [[Liste des seigneurs de Rougé|seigneurs de Rougé]]. Anciennement, un château dominait la ville et ses environs, sur le lieu actuel de l'église néo-gothique de Rougé, mais ce premier château fut détruit en 1173 par des mercenaires brabançons du roi d'Angleterre. En 1619 le P. du Paz en écrivait : « ''Ce fort beau chasteau, chef et siège d'une belle et antique chastellenie, a esté tellement ruisné et demoly, que maintenant peut-on à grant peine en remarquer les vestiges ; car l'emplacement mesme a esté baillé à féage et peut-on en dire comme de la ville de Troye Nunc seges est ubi Troia fuit'' » (Histoire généalogique de plusieurs maisons de Bretagne).
 
La châtellenie de Rougé se composait à l'origine de trois grands fiefs : '''Rougé-à-Rougé''', '''Rougé-à-[[Thourie]]''' et '''Rougé-au-Teil''' ([[Le Theil-de-Bretagne]]). Ces deux derniers formèrent avec le temps la vicomté de Tourie et la châtellenie du Teil. Traitons ici de Rougé-à-Rougé, châtellenie appelée aussi dans les derniers siècles Rougé-à-Soulvache, après la destruction du château de Rougé. Cette seigneurie s'étendait en [[1560]] dans six paroisses : Rougé, [[Ruffigné]], [[Lalleu-Saint-Jouin]], [[Ercé-en-Lamée]], [[Soulvache]] et [[Saint-Jean de Béré]] (Archives du Parlement de Bretagne, 13 reg. des édits, 119) ; mais à l'origine, comme nous l'avons vu, les sires de Rougé avaient des droits de haute, moyenne et basse justice jusqu'en [[Le Theil-de-Bretagne|Le Theil]], [[Thourie]] et [[Piré-sur-Seiche|Piré]], d'un côté, — [[Saint-Aubin-des-Châteaux]] et [[Saint-Vincent-des-Landes]], de l'autre.
Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/wiki/Rougé ».