« Bataille de Mansourah » : différence entre les versions

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{{refnec|En arrière, le gros de l’armée croisée affronte les Sarrasins dès sa traversée du fleuve et réussit à repousser la cavalerie adverse qui l’avait contre-attaquée. Dès le lendemain (9 février), Baybars attaque les croisés qui résistent et installent leur camp devant Mansourah}}.
 
{{refnec|Une nouvelle bataille générale a lieu le 11 février. Les mamelouks utilisent du [[feu grégeois]]<ref>{{Article|langue=français|auteur1=Jules Toutain|titre=Le Feu Grégeois [compte-rendu]|périodique=Journal des Savants|date=1953|issn=0021-8103|lire en ligne=https://www.persee.fr/doc/jds_0021-8103_1953_num_2_1_3183|pages=}}</ref>. Si Charles d’Anjou est sauvé de la capture par {{monarque|Louis|IX}}, qui remporte la victoire<ref>Ducluzeau (2006) {{p.|85-86}}.</ref>, Robert d'Artois, Guillaume de Sonnac et Jean de Ronay sont tués.
 
== L’après-bataille ==