« François d'Orléans (1961-2017) » : différence entre les versions
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Atteint de [[toxoplasmose]] pendant la grossesse de sa mère, François d'Orléans était, comme sa sœur cadette Blanche (1962) gravement handicapé mentalement. Son handicap, reconnu par la justice, était la source d'une controverse au sein de la famille d'Orléans et leurs partisans (appelés orléanistes) à propos de sa capacité à être le prochain chef de la [[Quatrième maison d'Orléans|Maison d’Orléans]]. Des décisions contradictoires ont alors été prises par son grand-père et son père.
Son grand-père, alors aîné des Orléans, avait décidé, le 25 septembre 1981, de l'écarter de la « succession au trône » au profit de son frère cadet, [[Jean d'Orléans (1965)|Jean]], duc de Vendôme, sans possibilité d'y revenir<ref>{{Lien web|langue=|titre=Acte du 25 septembre 1981 du comte de Paris|url=http://princejeandefrance.fr/wp-content/uploads/Acte-du-25-septembre-1981.png|site=princejeandefrance.fr|date=25 septembre 1981|consulté le=16 mai 2017}}</ref>. En [[1999]], [[Henri d'Orléans (1933-2019)|Henri d'Orléans]] devint à son tour l'aîné des Orléans
Le [[18 mai]] [[2016]], le [[Henri d'Orléans (1933-2019)|comte de Paris]] fit savoir, via le magazine ''[[Point de vue (magazine)|Point de vue]]'', qu'il reconnaissait comme son héritier à la tête de la maison de France son fils aîné, le comte de Clermont, et ce malgré son handicap. François d'Orléans, s'il était devenu chef de maison à la mort de son père, aurait été entouré d'un « conseil de régence » composé de son frère Jean d'Orléans, duc de Vendôme, de son oncle [[Jacques d'Orléans]], [[duc d'Orléans]], de son cousin germain [[Charles-Louis d'Orléans]], [[duc de Chartres]], et de deux personnes issues de la société civile<ref>''Point de vue'', n{{o}} 3539, semaine du 18 mai au 21 mai 2016, p. 54-57.</ref>.
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