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== Biographie ==
BBBDVDV GGYVGYVGGDSYGFG 0000000000000000000000000000OICDKJNCDJNVFJIFJIBDFHVBEUDBDFDSBHBHDFBVHBCJHQJNBXS D 9 SHDS I QI UFZE I°R2019URY99RY77ZX8YF8AUDZEY8GCYSGDCN8C38UC8EHA8CHFQSZCZFCG8YDHUCBUHGEFZEY8EN8YXCB8OXWGQFSYDQUGFGQDSUQXYU8HBUDGSYUEFNNUFDNFBCY FGY GIçBHEUGFEG GFDS8 FGDGSGCYGVDGFHVBHUD G VGCGGRER GZRGFGZGDSGGFUVDSVCGDVCVVDGVCUSDBCDUSVFHUBDSHCVHUSDBHDCBHDSVUVBDCHVDSV HVVCCUGVDUBCHDCVDGSXVCVXCGUCVSUV Charles-François Gounod naît [[place Saint-André-des-Arts]] à [[Paris]]<ref>Extrait du [[registres paroissiaux et d'état civil à Paris|registre d'état civil du {{11e|arrondissement}} de Paris]] (1818) : « L'an mil huit cent dix-huit, le dix-huitième jour du mois de juin, trois heures de relevée. Par devant nous, Antoine-Marie Fieffé, adjoint à M. le maire du onzième arrondissement, faisant fonctions d'officier de l'état-civil, est comparu François-Louis Gounod, peintre âgé de soixante ans, demeurant à Paris, place Saint-André-des-Arts, {{n°|11}}, quartier de l'École de Médecine, lequel nous a présenté un enfant du sexe masculin, né d'hier quatre heures du matin, susdite demeure, de lui déclarant et de Victoire Lemachois, son épouse, mariés à Rouen (Seine-Inférieure) il y a douze [ans] environ, auquel enfant il a déclaré vouloir donner les prénoms de Charles-François. Lesdites déclaration et présentation faites en présence de Nicolas Fleury, coëffeur, âgé de cinquante ans, demeurant même maison, premier témoin, et de Michel Waizenegger, tailleur, âgé de quarante-six ans, demeurant susdite demeure, second témoin. Et ont les père et témoins signé avec nous le présent acte de naissance après lecture. Signé : Gounod, Fleury, Waizenegger, Fieffé. » Le registre a disparu lors des [[Registres paroissiaux et d'état civil à Paris#Les incendies de la Commune de Paris de 1871 et la destruction des archives parisiennes|incendies de la Commune de Paris de 1871]] mais il est cité dans ''Gounod (1818-1893), sa vie et ses œuvres, d'après des documents inédits'', p. 43.</ref>{{,}}<ref>Un [[panneau Histoire de Paris]] lui rend hommage, au croisement avec la [[rue Suger]].</ref>. Il est le second fils du peintre [[François-Louis Gounod]]<ref>D'après [[G. Lenotre]], ''Les Tuileries'', page 69, François-Louis Gounod était le fils d'un fourbisseur du roi, logé aux Tuileries.</ref> et de Victoire Lemachois qui s'étaient mariés à Rouen le 24 novembre 1806. Son père meurt en 1823. Pour survivre, sa mère donne des cours de piano. Son fils Charles sera l'un de ses premiers élèves.
 
Après avoir fait ses classes au [[lycée Saint-Louis]], il étudie l'harmonie avec [[Antoine Reicha]] puis, au [[Conservatoire de Paris]], avec [[Jacques Fromental Halévy]] et la composition avec [[Jean-François Lesueur]]. En [[1839 en musique classique|1839]], il remporte le Grand [[Prix de Rome]] pour sa cantate ''Fernand''. Il profite de son séjour à la [[villa Médicis]] pour étudier notamment la musique religieuse, surtout celle de [[Giovanni Pierluigi da Palestrina|Palestrina]]. De cette époque (1841) date son premier portrait peint connu, par son condisciple [[Charles Octave Blanchard]]<ref>Collections du [[musée de la vie romantique]]).</ref>. En 1842, il découvre ''[[Die Zauberflöte]]'' (''La Flûte enchantée'') de [[Mozart]], à [[Vienne (Autriche)|Vienne]], où est exécutée sa deuxième messe avec orchestre.
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