Charles Gounod

compositeur français

Charles Gounod est un compositeur français né le à Paris (ancien 11e arrondissement) et mort le à Saint-Cloud (Seine-et-Oise)[1],[2].

Charles Gounod
Description de cette image, également commentée ci-après
Charles Gounod, photographie de Nadar, vers 1887.
Nom de naissance Charles François Gounod
Naissance
Paris (France)
Décès (à 75 ans)
Saint-Cloud (France)
Activité principale Compositeur
Style Musique romantique
Formation Conservatoire de Paris
Maîtres Antoine Reicha, Jacques Fromental Halévy, Jean-François Lesueur
Famille Pierre-Joseph-Guillaume Zimmerman (beau-père)
Récompenses Prix de Rome (1839)
Distinctions honorifiques Grand officier de la Légion d'honneur (1880)
Signature de Charles Gounod

Œuvres principales

Fichier audio
« Ô ma lyre immortelle » de Sapho
noicon
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Détail de la sépulture de Charles Gounod au cimetière d'Auteuil à Paris.

Biographie

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Charles-François Gounod naît place Saint-André-des-Arts à Paris[3],[4]. Il est le second fils du peintre François-Louis Gounod[5] et de Victoire Lemachois qui s'étaient mariés à Rouen le . Son père meurt en 1823. Pour survivre, sa mère donne des cours de piano. Son fils Charles sera l'un de ses premiers élèves.

Après avoir fait ses classes au lycée Saint-Louis, il étudie l'harmonie avec Antoine Reicha puis, au Conservatoire de Paris, avec Jacques Fromental Halévy et la composition avec Jean-François Lesueur. En 1839, il remporte le Grand Prix de Rome pour sa cantate Fernand. Il profite de son séjour à la villa Médicis pour étudier notamment la musique religieuse, surtout celle de Palestrina. De cette époque (1841) date son premier portrait peint connu, par son condisciple Charles Octave Blanchard[6]. En 1842, il découvre Die Zauberflöte (La Flûte enchantée) de Mozart, à Vienne, où est exécutée sa deuxième messe avec orchestre.

En 1843, de retour à Paris, il accepte le poste d'organiste et de maître de chapelle de l'église des Missions étrangères de Paris. En 1847, l'archevêque de Paris l'autorise à porter l'habit ecclésiastique. Il s'inscrit au cours de théologie de Saint-Sulpice et va écouter les sermons de Lacordaire à Notre-Dame. En 1848, après les journées révolutionnaires, il renonce à sa vocation sacerdotale et quitte son poste des Missions étrangères.

En 1849, grâce à l'appui de Pauline Viardot, il obtient le livret de Sapho[7] d'Émile Augier qui est créé à l'Opéra le , sans grand succès. Il compose ensuite une musique de scène pour Ulysse de François Ponsard. En 1852, il épouse Anna Zimmerman (1829-1907), fille de Pierre-Joseph-Guillaume Zimmerman.

Il présida les Orphéons de la Ville de Paris, de 1852 à 1860. Il a alors écrit de nombreux chœurs, comme le Vin des Gaulois. En tant que compositeur de musique sacrée, il assiste en 1860 au Congrès pour la restauration du plain-chant et de la musique de l'Église.

Il compose Le Médecin malgré lui, opéra-comique en 3 actes d'après Molière, sur un livret de Jules Barbier et Michel Carré, avec qui il collaborera souvent. L'œuvre est créée au Théâtre-Lyrique le , jour anniversaire de la naissance de Molière. En 1859, son opéra Faust est joué au Théâtre-Lyrique, remportant un succès considérable, avec 70 représentations la première année. En 1860, il écrit deux opéras-comiques Philémon et Baucis et La Colombe. Il crée en 1862 La Reine de Saba, livret de Jules Barbier et Michel Carré, opéra qui s'arrêta au bout de quinze représentations.

Le critique musical de la Revue des deux Mondes, un certain Paul Scudo, écrit sur La Reine de Saba un compte rendu au vitriol resté célèbre : « Nous savons que l'esprit ingénieux mais faible de M. Gounod a le malheur d'admirer certaines parties altérées des derniers quatuors de Beethoven. C'est la source troublée d'où sont sortis les mauvais musiciens de l'Allemagne moderne, les Liszt, les Wagner, les Schumann, sans omettre Mendelssohn ». Il ajoute que si le compositeur devait s'obstiner dans cette voie, il « serait irrévocablement perdu[8]. » En , il fait la connaissance de Frédéric Mistral, qui a accepté qu'un livret soit tiré de son poème Mirèio (Mireille). Il vient s'installer à Saint-Rémy-de-Provence où sa musique s'imprègne de l'atmosphère du Midi. « Je peux tout [...] , écrit-il, dès qu'il n’y a autour de moi ni bruit ni mouvement [...] À Paris, [...] on regarde le silence comme un tombeau. Un tombeau ! Mais c'est un paradis que le silence ! » [9].

L'opéra est créé à Paris au Théâtre Lyrique en et n'obtient qu'un succès mitigé.

En revanche, en 1867 pendant l'Exposition universelle, Roméo et Juliette connaît un succès très vif.

Une plaque dans la ville de Londres, sur le mur de son ancienne résidence.

En 1870, fuyant l'invasion allemande, Gounod s'installe en Angleterre, où il fait la connaissance de la chanteuse Georgina Weldon (en) avec qui il aura une liaison pendant quatre ans. En 1872 est donné Les Deux Reines de France, drame de Legouvé, qui est mal accueilli. Puis est créé au théâtre de la Gaîté, Jeanne d'Arc, drame historique de Jules Barbier, qui ravive le patriotisme français. En 1874, Gounod quitte la Grande-Bretagne. En 1876 est exécutée en l'église Saint-Eustache la Messe du Sacré Cœur de Jésus.

De 1878 à 1893, il habite Paris au coin de l'actuelle place du Général-Catroux et du no 1 de la rue Jacques-Bingen (plaque).

Dans la dernière partie de sa vie, Gounod compose beaucoup de musique religieuse, notamment un grand nombre de messes et deux oratorios La Rédemption (1882) et Mors et vita (1885).

Il meurt le à Saint-Cloud, juste après avoir parachevé son Requiem en do majeur, devenu son chant du cygne[10]. Ses obsèques ont lieu dix jours plus tard en l'église de la Madeleine, avec le concours de Camille Saint-Saëns et de Théodore Dubois à l'orgue et de Gabriel Fauré à la tête de la maîtrise, selon leurs fonctions[11]. Par décret daté du 25 octobre, il s'agissait d'obsèques nationales financées par l'État[12]. Fauré dirigea, d'après le vœu de Gounod, la messe grégorienne des défunts[11] (la Missa pro defunctis). Il est inhumé à Paris, au cimetière d'Auteuil[13].

L'auteur-compositeur-interprète Pauline de Lassus, connue sous le nom de scène Mina Tindle, est l'une de ses descendantes[14],[15]. Dans l'émission La Revue de presse du lundi , le journaliste Jérôme de Verdière fait remarquer à l'invitée Roselyne Bachelot, qui présente une compilation de musiques d'opéras français, qu'il est un descendant du compositeur Charles Gounod.

Charles Gounod laisse environ 500 œuvres musicales.

Œuvres principales

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Gounod est surtout réputé pour ses opéras, principalement :

Affiche de Jules Chéret pour Polyeucte.
  • Faust, d'après la pièce de Goethe. Marguerite est séduite par Faust après qu'il a vendu son âme au diable. On y entend l’air de Méphisto Le Veau d'or, l'air de Marguerite dit des bijouxAh ! je ris —, immortalisé à sa façon par La Castafiore de Hergé[17], le chœur des soldats Gloire immortelle de nos aïeux, la musique de ballet de la Nuit de Walpurgis et le chœur des anges Sauvée, Christ est ressuscité.
  • Roméo et Juliette, d'après la pièce de Shakespeare. Les airs les plus connus sont la valse de Juliette, Je veux vivre, et l'air du ténor, Ah ! lève-toi, soleil !
  • Mireille d'après le poème en provençal Mireio de Frédéric Mistral.
  • Cinq-Mars, Une conjuration sous Louis XIII, sur un livret de Paul Poirson et de Louis Gallet, librement adapté du roman historique d'Alfred de Vigny. L’œuvre fut créée à l'Opéra-Comique le dans sa forme d'opéra dialogué en 4 actes, avec un accueil mitigé : « Si elle n'ajoute rien à la gloire de Gounod, elle ne la diminue pas non plus. » [18] avant d'être remaniée avec des récitatifs chantés et 5 actes. La nouvelle version fut créée à Lyon le . Deux airs de l'opéra figurent parfois dans les récitals : « Nuit resplendissante » (Princesse Marie de Gonzague) et « Ô chère et vivante image » (Cinq-Mars).

Il est également l’auteur des œuvres suivantes :

Liste des œuvres

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Période Titre Représentation Type Détails
Opéras et musiques de scène
1851 Sapho
Opéra
opéra en 3 actes
Livret d'Émile Augier. Nouvelle version en 5 actes créée à l'Opéra Garnier en 1884.
1852 Ulysse
Théâtre-Français
musique de scène
Tragédie en 5 actes de François Ponsard
1854 La Nonne sanglante
Opéra Le Peletier
opéra en 5 actes
Livret d'Eugène Scribe et Germain Delavigne
1858 Le Médecin malgré lui
Théâtre-Lyrique
opéra-comique en 3 actes
Livret de Jules Barbier et Michel Carré, d'après la pièce-homonyme de Molière.
1859 Faust
Théâtre-Lyrique
opéra en 5 actes
Livret de Jules Barbier et Michel Carré d'après la pièce de Goethe. Il eut près de 200 représentations avant d'être repris, augmenté d'un ballet, en 1869 à l'Opéra Le Peletier (Paris), puis à l'Opéra Garnier où il atteignit sa 500e représentation en 1887.
1860 La Colombe
Baden-Baden
opéra-comique en un acte
Livret de Jules Barbier et Michel Carré d'après Le Faucon de Jean de La Fontaine. Repris dans une version en deux actes à l'Opéra-Comique en 1866.
1860 Philémon et Baucis
Théâtre-Lyrique
opéra-comique en 3 actes Livret de Jules Barbier et Michel Carré d'après la fable-homonyme de La Fontaine. Ramené à deux actes en 1876.
1862 La Reine de Saba
Opéra Le Peletier
opéra en quatre actes
Livret de Jules Barbier et Michel Carré.
1864 Mireille
Théâtre-Lyrique
opéra en 5 actes Livret de Michel Carré d'après le poème provençal de Frédéric Mistral
1867 Roméo et Juliette
Théâtre-Lyrique
opéra en cinq actes
Livret de Jules Barbier et Michel Carré. Après une centaine de représentations, il fut monté dans les capitales belge et autrichienne et demeure à l'affiche des grandes scènes lyrique mondiales.
1872 Les Deux Reines de France
salle Ventadour
musique de scène Drame en quatre actes d'Ernest Legouvé
1873 Jeanne d'Arc
Gaîté
musique de scène
Drame en 5 actes de Jules Barbier
1877 Cinq-Mars
Opéra-Comique
opéra en 4 actes
Livret de Paul Poirson et Louis Gallet, d'après le roman d'Alfred de Vigny
1878 Polyeucte
Opéra Garnier
opéra en 5 actes
livret de Jules Barbier et Michel Carré d'après le drame-homonyme de Pierre Corneille
1881 Le Tribut de Zamora
Opéra Garnier
opéra en 5 actes
livre d'Adolphe d'Ennery et Jules Brésil
1893 Les Drames sacrés
Théâtre du Vaudeville
musique de scène
poème dramatique en un prologue et 10 tableaux, en vers, d'Armand Silvestre et Eugène Morand
Musiques religieuses, instrumentales, symphoniques et vocales
1842 Requiem en ré mineur
1853 Messe à 3 voix en ut mineur « Aux Orphéonistes »
1854 Tobie (en) (oratorio)
1855 Messe solennelle en l'honneur de sainte Cécile et deux symphonies

Les Sept Paroles de N.S. Jésus-Christ sur la Croix (pour chœur à 4 voix mixtes)

1862 Messe à 4 voix d'hommes en sol majeur « pour les Sociétés chorales »
1871 Gallia Motet-lamentation pour soprano, chœur et orchestre
1873 Messe « Angeli Custodes »
1873 Messe brève pour les morts
1875 Requiem en fa majeur
1876 Cantate pour la fête du T-C Frère Libanos[23]
1876 Messe solennelle du Sacré Cœur
1876 Messe à la congrégation des Dames auxiliatrices, en ut majeur (messe no 4). Pour 2 voix égales, orgue ou harmonium [révisée vers 1890, par Gounod ?, comme Messe brève no 7, dite « aux chapelles », pour chœur mixte à 4 voix avec parties pour voix solistes]
1882 La Rédemption (oratorio pour soli, chœur et orchestre, exécuté pour la première fois au Festival de Birmingham en 1882)
1883 Messe solennelle de Pâques
1885 Petite Symphonie, pour 9 instruments à vent
1885 Mors et Vita (oratorio pour soli, chœur et orchestre, exécuté pour la première fois au Festival de Birmingham en 1885)
1887 Messe à la mémoire de Jeanne d'Arc
1888 Messe chorale sur l'intonation de la liturgie catholique
1888 Messe de saint Jean
1891 Saint François d'Assise [Oratorio]
1893 Messe des morts (Requiem en do majeur) : posthume
1895 Messe dite « de Clovis »
Morceaux de musique patriotique
La Statue de la Liberté, cantate créée à l'Opéra de Paris au profit de la souscription pour l'érection de l'œuvre de Bartholdi
Nombreuses mélodies pour chant et piano, sur des paroles françaises, italiennes ou anglaises qui furent éditées à Paris et à Londres[24]. Citons : Sérénade de Victor Hugo, Le soir d'Alphonse de Lamartine, Venise d'Alfred de Musset.
Ouvrages littéraires
1890 Le Don Juan de Mozart
1896 Mémoires d'un artiste
1875 Autobiographie de C. Gounod sur la routine en matière d'art (Londres) : ouvrage d'études esthétiques sur la musique, la critique, le public et la propriété des auteurs.

Distinctions

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Hommages

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Une ville d'Algérie, créée en 1899 dans le département de Constantine au sud de Guelma a porté son nom : Gounod. Elle est aujourd'hui appelée Aïn Larbi. Des collèges de Saint-Cloud[27] et Canteleu[28] portent son nom.

De nombreuses grandes villes de France (rue Gounod à Paris[29], Bordeaux, Toulouse, Nantes, Grenoble, Montpellier, Tourcoing) ont une rue à son nom ainsi que la rue Gounod de Saint-Cloud, ville où le compositeur a passé ses dernières années.

Une carte postale de la rue Gounod de Saint-Cloud.

Portraits

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Dessins
  • Ingres, Rome, 1841, The Art Institute, Department of Prints and Drawings, Chicago.
Peintures

Notes et références

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  1. Actuellement Hauts-de-Seine.
  2. Mairie de Saint-Cloud, « Acte de décès n° 107 du 19/10/1893 photo 41/50 E_NUM_SCL_D18931893 », sur AD Hauts-de-Seine (consulté le ) : « Charles François Gounod compositeur de musique, membre de l'Institut, Grand officier de la Légion d'honneur décédé hier à 6h25 du matin, à 75 ans. »
  3. Extrait du registre d'état civil du 11e arrondissement de Paris (1818) : « L'an mil huit cent dix-huit, le dix-huitième jour du mois de juin, trois heures de relevée. Par devant nous, Antoine-Marie Fieffé, adjoint à M. le maire du onzième arrondissement, faisant fonctions d'officier de l'état-civil, est comparu François-Louis Gounod, peintre âgé de soixante ans, demeurant à Paris, place Saint-André-des-Arts, no 11, quartier de l'École de Médecine, lequel nous a présenté un enfant du sexe masculin, né d'hier quatre heures du matin, susdite demeure, de lui déclarant et de Victoire Lemachois, son épouse, mariés à Rouen (Seine-Inférieure) il y a douze [ans] environ, auquel enfant il a déclaré vouloir donner les prénoms de Charles-François. Lesdites déclaration et présentation faites en présence de Nicolas Fleury, coëffeur, âgé de cinquante ans, demeurant même maison, premier témoin, et de Michel Waizenegger, tailleur, âgé de quarante-six ans, demeurant susdite demeure, second témoin. Et ont les père et témoins signé avec nous le présent acte de naissance après lecture. Signé : Gounod, Fleury, Waizenegger, Fieffé. » Le registre a disparu lors des incendies de la Commune de Paris de 1871 mais il est cité dans Gounod (1818-1893), sa vie et ses œuvres, d'après des documents inédits, p. 43.
  4. Un panneau Histoire de Paris lui rend hommage, au croisement avec la rue Suger.
  5. D'après G. Lenotre, Les Tuileries, page 69, François-Louis Gounod était le fils d'un fourbisseur du roi, logé aux Tuileries.
  6. Collections du musée de la vie romantique).
  7. « Sapho : opéra en 3 actes : [Partition chant et piano] », sur Bibliothèques spécialisées de la Ville de Paris (consulté le ).
  8. Paul Scudo, « Revue musicale : La Reine de Saba », Revue des deux mondes,‎ , p. 506 et suiv. (lire en ligne).
  9. Camille Belaigue, « Charles Gounod », Revue des deux mondes,‎ , p. 795 (lire en ligne).
  10. « Charles Gounod : Masses, requiem », sur www.charles-gounod.com, (consulté le ).
  11. a et b Hilaire Vallier, Une vie au cœur du XIXe siècle français, Famille chrétienne, 16 juin 2018, p. 41.
  12. Décret n° 27262, le 25 octobre 1893 [1].
  13. Jacques Hillairet, Dictionnaire historique des rues de Paris, Les Éditions de Minuit, septième édition, 1963, t. 1 (« A-K »), « Rue Claude-Lorrain », p. 352.
  14. Jean-Yves Dana, « Mina Tindle, des reflets dans une voix d’or », La Croix, .
  15. Frédérique Charlot, « Mina Tindle : To carry many talents », Standardsandmore.fr, .
  16. « Charles Gounod », dans Figures contemporaines tirées de l'album Mariani, lire en ligne sur Gallica.
  17. « Bianca Castafiore, star d’opéra chez Hergé | Philharmonie de Paris », sur philharmoniedeparis.fr (consulté le ).
  18. La Comedie no. 18 ; cité dans Steven Huebner : " Les opéras de Gounod ", p.92.
  19. « Marche funèbre d'une marionnette (Charles Gounod) », sur Bru Zane Media Base (consulté le ).
  20. « Alfred Hitchcock présente... », sur LExpress.fr, (consulté le ).
  21. Xavier Maugendre, L’Europe des hymnes dans leur contexte historique et musical, Paris, Mardaga, .
  22. « Inno », sur www.vaticanstate.va (consulté le ).
  23. Directeur du Pensionnat de Passy de 1855 à 1883.
  24. Liste des chants avec les paroles.
  25. Membres honoraires depuis 1826.
  26. Médailles d'or depuis 1870.
  27. « Collège Gounod », sur Ministère de l'Education Nationale de la Jeunesse et des Sports (consulté le ).
  28. « Collège Charles Gounod », sur Ministère de l'Education Nationale de la Jeunesse et des Sports (consulté le ).
  29. « Les rues de Paris | rue Gounod | 17ème arrondissement », sur www.parisrues.com (consulté le ).

Annexes

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Bibliographie

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  • Funérailles de M. Gounod, membre de l'Académie le vendredi 27 octobre 1893, Institut de France, Paris, 1893 (lire en ligne)
  • Gérard Condé, Charles Gounod, biographie et catalogue complet, Fayard, 2009.
  • Joël-Marie Fauquet (direction) (préf. Joël-Marie Fauquet), Dictionnaire de la Musique en France au XIXe siècle, Paris, Fayard, , 1405 p. (ISBN 2-213-59316-7), p. 523.
  • Yves Bruley, Charles Gounod, Paris, Bleu nuit éditeur, coll. « Horizons », , 176 p. (ISBN 978-2-35884-044-6).

Articles connexes

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Liens externes

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Bases de données et dictionnaires

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Partitions

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