« Télécran » : différence entre les versions
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Orwell s'est emparé d'une innovation qui faisait débat à l'époque : la [[télévision]], dont le nom était en lui-même tout un programme. La confusion entre récepteur et caméra était, en outre, une inquiétude répandue aux débuts de la télévision, certaines des rares personnes équipées se croyant surveillées par l'appareil.
Le rapprochement a été fait avec le [[panopticon]]<ref>Marie-Claire Rouyer, « Introduction », {{p.}}11–19 (17), et Louis Roux, « Secrets d'État : Du pouvoir et du savoir en Nouvelle-Atlantide », {{p.}}225–238 (233), dans {{ouvrage|auteur1=Marie-Claire Rouyer|directeur1=oui|nom2=Groupe d'études et de recherches britanniques ([[Université Bordeaux III|Bordeaux III]])|directeur2=oui|titre=Figures du souverain|éditeur=Presses universitaires de Bordeaux|année=1996|lieu=Talence|isbn=2-86781-191-0|pages totales=338}}.</ref>{{,}}<ref>Bernard Gensane, « [ftp://ftp.univ-pau.fr/pub/ALAES/TEXTES/orwellbg.rtf Patriote et écrivain : Orwell s'en va-t-en guerre] », {{p.}}110.</ref>, et {{inédit|on peut aussi faire le parallèle avec un ordinateur [[piratage informatique|piraté]] doté d'une [[webcam]] et d'une [[connexion Internet]] ; mais également avec tous les objets connectés ([[
== Références ==
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