« Abbaye Saint-Symphorien de Metz » : différence entre les versions

L'abbaye s’élevait en dehors des [[remparts médiévaux de Metz|fortifications de la ville]]<ref>{{Article|langue=fr-FR|prénom1=Michèle|nom1=Gaillard|titre=Les abbayes du diocèse de Metz au IXe siècle. Décadence ou réforme|périodique=Revue d'histoire de l'Église de France|volume=79|numéro=203|date=1993|issn=0300-9505|doi=10.3406/rhef.1993.1115|lire en ligne=http://www.persee.fr/doc/rhef_0300-9505_1993_num_79_203_1115|consulté le=2018-09-26|pages=261–274}}</ref> près de la [[porte Serpenoise]], au niveau de l’actuelle avenue Lattre de Tassigny et de la [[caserne Barbot]]<ref>http://promenade.temporelle.free.fr/dotclear/public/import/sablon/images/christianisme/image002.jpg</ref>.

Elle est détruite par les barbares{{qui}}{{quand}}. L'évêque [[Adalbéron II de Metz|Adalbéron II]] (984-1005)<ref>{{Article|langue=fr-FR|prénom1=Erlande-Brandenburg,|nom1=Alain|titre=L'abbaye de Saint-Symphorien à Metz|périodique=Bulletin Monumental|volume=124|numéro=3|date=1966|lire en ligne=http://www.persee.fr/doc/bulmo_0007-473x_1966_num_124_3_7693|consulté le=2018-09-26}}</ref> la rétablit sous le nom de Saint-Symphorien, et y mit des moines de saint Benoît avec un abbé.

Le {{date-|12 septembre 1444}}, les armées du [[René Ier d'Anjou|roi René]], de [[Charles d'Anjou]], d' [[Artus de Richemont]], connétable de France et de [[Pierre de Brézé]], sénéchal de Poitou, [[Siège de Metz (1444)|assiègent de Metz]] avec {{Nombre|10000|hommes}}. Le magistrat de Metz, craignant que cette abbaye, proche de la porte Serpenoise, ne soit un obstacle à la défense de la ville, la fait brûler en 1444<ref name="bsduh2324"/>{{,}}<ref>Religieux bénédictins, ''Histoire de Metz'', chez Jean-Baptiste Collignon, Metz, 1775, tome 2, {{p.|644}} [https://books.google.fr/books?id=ZHpVAAAAcAAJ&pg=PA644#v=onepage&q&f=false (''lire en ligne'')]</ref>. L'abbé de l'abbaye, Poince de Champel, et ses religieux se sont retirés dans une grande maison dite ''la cour de Morimont'' qui appartenait à l'[[abbaye de Morimond]]<ref>{{Harvsp|''Histoire de Metz''|, tome 2|page=648}}</ref>.

* monastère La Madeleine, au [[Metz-Centre|centre-ville]], abandonné en 1768.

* [[Vaux (Moselle)|Vaux]]

* Angomont et le ban-le-moine (près Badonviller) limitrophe de l'abbaye de Saint-Sauveur (borne de la Croix-Bagué).

{{DEFAULTSORT:Saint-Symphorien de Metz, abbaye de}}

[[Catégorie:Abbaye audu haut Moyen Âge]]