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« Luc Leblanc » : différence entre les versions

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/* Luc Leblanc sortira bientôt sa biographie
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En 1990, il rejoint l’équipe [[équipe cycliste Castorama|Castorama]], il remporte le [[Tour du Haut-Var]], le [[Grand Prix de Wallonie 1990|Grand Prix de Wallonie]] et une étape du [[Critérium du Dauphiné libéré|Critérium du Dauphiné Libéré]].
 
En 1991, il remporte une étape du [[Grand Prix du Midi libre]]. Mais surtout, lors de sa deuxième participation au [[Tour de France 1991|Tour de France]], il porte le [[Maillot jaune]] à l'issue de la 12e étape dans les Pyrénées. Le lendemain, il est victime d'une fringale dans le [[col d'Aspin]], et son coéquipier [[Laurent Fignon]] en profite pour attaquer et jouer sa chance (par jalousie se demande-t-il)<ref name="strategie">« Je n'aime pas trop la stratégie des Sky », interview de Luc Leblanc, ''[[L'Équipe]]'', lundi {{1er}} juillet 2013.</ref><sup>·</sup><ref>{{Lien web|langue=fr|titre=ITW - Luc Leblanc : «Une fringale m'a fait perdre le Tour de France»|url=https://www.cyclismactu.net/news-itw-luc-leblanc-une-fringale-m-a-fait-perdre-tour-france-91054.html|site=www.cyclismactu.net|consulté le=2020-05-13}}</ref>. Il termine néanmoins cinquième à Paris.
 
En 1992, il remporte sa première grande course par étapes, le [[Grand Prix du Midi libre 1992|Grand Prix du Midi libre]], se classe {{2e}} du [[Critérium du Dauphiné|Critérium du Dauphiné libéré]] avant de devenir [[Championnats de France de cyclisme sur route|Champion de France]] dans la polémique car il a contré son partenaire échappé [[Gérard Rué]]. Il termine par la suite hors-délai au [[Tour de France 1992|Tour de France]].
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Depuis 2018, il est chargé de relations publiques de l'équipe belgo-algérienne [[Équipe cycliste Sovac-Natura4Ever|Sovac - NAtura4Eever]]. En 2019, il rend visite à [[Raymond Poulidor]] hospitalisé à [[Saint-Léonard-de-Noblat]]<ref>{{Lien web|langue=français|auteur1=Allain Morineau|titre=Ronde cycliste de Thiberville : Luc Leblanc supplée Raymond Poulidor|url=https://actu.fr/normandie/thiberville_27629/ronde-cycliste-thiberville-luc-leblanc-supplee-raymond-poulidor_28395432.html|site=actu.fr|date=14 octobre 2019}}</ref>, et assiste à ses obsèques dans la même ville<ref>{{Lien web|langue=français|auteur1=|titre=Obsèques de Raymond Poulidor : amis, champions et anonymes réunis pour un dernier hommage|url=https://www.lexpress.fr/actualite/societe/obseques-de-raymond-poulidor-amis-champions-et-anonymes-reunis-pour-un-dernier-hommage_2108032.html|site=LExpress.fr|périodique=|date=2019-11-19}}</ref>.
 
=== Luc Leblanc et le dopage ===
En 2000, lors du procès de l’[[affaire Festina]] devant le tribunal correctionnel de Lille, il déclare s’être dopé sur certaines courses seulement à partir de 1994 (notamment sur la [[Tour d'Espagne 1994|Vuelta 1994]], terminée {{6e}} avec le gain du classement annexe de la Montagne, et le [[Tour de France 1994|Tour de la même année]], terminé {{4e}}) mais pas sur la [[Championnats du monde de cyclisme sur route 1994|course où il gagnera le titre mondial en août 1994]]<ref>
{{lien web
|url=http://www.cyclisme-dopage.com/actualite/2000-10-24-reuters-yahoo.htm
|titre=Cyclisme : Luc Leblanc dénonce la "dictature" de l'UCI
|site=cyclisme-dopage.com
|auteur=Reuters - Yahoo
|date=24 Octobre 2000
|consulté le=25 juillet 2013
}}</ref>. Dans une interview au journal ''[[L'Équipe]]'', en {{date-|juillet 2013}}, il assure de nouveau n'avoir jamais pris quoi que ce soit lors de sa carrière amateur et déclare avoir terminé {{5e}} du [[Tour de France 1991]], sans avoir eu recours à l'[[Érythropoïétine|EPO]] (qui avait déjà fait son apparition dans le peloton). Il ajoute avoir gagné, en 1992, son titre de champion de France et remporté des courses comme le [[Grand Prix du Midi libre 1992]] et le [[Grand Prix de Wallonie 1990]], à l'eau claire. Il déclare avoir commencé à se doper pour seulement conserver son rang dans la hiérarchie et non pour élever son niveau. S'il a participé au procès de l'[[affaire Festina]] treize ans plus tôt, en qualité de témoin, c'était pour se repentir et défendre [[Bruno Roussel]]. Éprouvant le besoin de s'exprimer, il trouvait le lieu adéquat car, dit-il, prendre de l'EPO était contraire à son éducation et à ses croyances<ref name=strategie>« Je n'aime pas trop la stratégie des Sky », interview de Luc Leblanc, ''[[L'Équipe]]'', lundi {{1er}} juillet 2013.</ref>.
 
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