« Romano Guardini » : différence entre les versions

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'''Romano Guardini''', né le {{date de naissance-|17|février|1885}} à [[Vérone]] ([[Italie]]) et mort le {{date de décès-|1|octobre|1968}} à [[Munich]] ([[Allemagne]]), est un [[prêtre catholique]], un [[théologien]] et un [[Philosophie de la religion|philosophe de la religion]].
 
Guardini fait partie des grands théologiens catholiques du {{s-|XX}}, aux côtés d'[[Henri de Lubac]], [[Karl Rahner]] ou [[Hans Urs von Balthasar]]. On lui doit en particulier une réflexion approfondie sur la [[Liturgie catholique|liturgie]] et il est un des protagonistes majeurs du [[Mouvement liturgique]]''.
 
== Biographie ==
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== Pensée de Romano Guardini ==
Guardini est surtout connu pour ses ouvrages sur la nature de la liturgie et sa participation essentielle au [[mouvement liturgique]]<ref>“Le Mouvement liturgique est comme un signe de la providence divine pour notre temps ; il était une intervention du Saint-Esprit dans son ÉgliseEglise, pour rendre les hommes plus accessibles aux mystères de la foi et aux richesses de la grâce, qui coulent de la participation active des fidèles à la vie liturgique.” Pie XII, ''Lettre au Congrès d’Assise'' (1956).</ref>. Pour les premiers, citons ''Vom Geist der Liturgie'' 1918 (''L’Esprit de la liturgie'' 1930), ''Von Heiligen Zeichen'' 1922-1923 (''Les signes sacrés'' 1930) et ''Besinnung vor der Feier der Heiligen Messe'' 1939 (''La Messe'' 1957). Pour la seconde, il est nécessaire de percevoir l’importance du projet du château de Rothenfels entre les deux guerres, véritable laboratoire liturgique et spirituel, source d’un renouveau intense dans la jeunesse allemande, au sein du mouvement des [[Quickborn]]. Le cœur de la théologie liturgique de Guardini était l’assemblée, et l’assemblée concrète. Sans elle, la liturgie est vide.
 
Selon des notes autobiographiques, la source de la vocation « liturgique » et des intuitions de Guardini est une expérience fondatrice pendant des [[complies]] à l’[[Abbaye de Beuron|abbaye bénédictine de Beuron]]. La conviction de Guardini sur sa vocation de théologien est peu commune en son temps dans le monde académique allemand : « ma propre vocation : non pas de scruter minutieusement tel ou tel domaine précis de la théologie, mais d’expliciter et d’interpréter la réalité chrétienne dans son ensemble, avec bien sûr le sérieux scientifique voulu et un niveau spirituel aussi élevé que possible »<ref>Frédéric Debuyst, ''L’Entrée en liturgie. Introduction à l’œuvre liturgique de Romano Guardini'', Paris, Éditions du Cerf, coll. « Liturgie » 17, 2008, p. 58.</ref>.
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La pensée de Guardini est inséparable de son action pastorale. Il est l'un des acteurs de ce renouveau à Rothenfels, avec les architectes [[Rudolf Schwarz (architecte)|Rudolf Schwarz]], Martin Weber et Emil Steffann ou les liturgistes Heinrich Kahlefeld et Alois Goergen.
 
Guardini a été le professeur du jeune [[Benoît XVI |Josef Ratzinger]] à Munich. Celui-ci, devenu le pape [[Benoît XVI]], se réfère très fréquemment à son ancien maître. Il reprend par exemple le titre ''L'esprit de la liturgie'' pour un de ses propres ouvrages, et revendique la concordance de leurs projets<ref>Silvano Zucal, « ''Ratzinger et Guardini, une rencontre décisive'' », in ''Vita e Pensiero'', revue de l'université catholique de Milan, traduit sur le site [http://chiesa.espresso.repubblica.it/articolo/207016?fr=y Chiesa], ''[[L'Espresso]]''</ref>.
 
== Écrits ==
[[Fichier:Papa Paolo VI consegna l&#039;anello cardinalizio a Joseph Ratzinger.jpg|vignette|Le pape [[Paul VI]] remet la bague de cardinal à Joseph Ratzinger (1977).]]
Théologien allemand, il a marqué de son empreinte exceptionnelle tous les courants théologiques du {{s-|XX}}, préparant le [[IIe concile œcuménique du Vatican|concile de Vatican II]].
 
=== Influence sur la pensée de Benoît XVI ===
Il a considérablement influencé la pensée du [[pape Benoît XVI]].
:;''La joie du repentir''
{{citation bloc|Dieu peut donner une nouvelle pureté au cœur souillé qui se tourne vers lui avec repentir. Dans l'être desséché comme un champ sans pluie. Il peut dégager les sources intérieures. Quelquefois, tout y est blessé par la nostalgie ou par la douleur, ou par ces déchirures de tout l'être qu'aucun médecin ne saurait guérir, mais auxquelles le salutaire « doigt de Dieu » peut remédier. Lui seul a le pouvoir de libérer ce qui est raidi et convulsé : la mauvaise volonté, le défi, la haine, l'endurcissement dans le mal, l'indifférence, la dureté, la froideur, la détresse muette qui sent avec désespoir que cet état est terrible et ne peut cependant en sortir.<br />
Non, nous ne pouvons pas sortir de nous-mêmes. Il doit venir, l'Esprit libérateur, et nous conduire à travers la prison que nous sommes pour nous-mêmes jusqu'au large divin ! Il doit détendre ce qui est raidi, faire fondre la glace, et lui seul, souverain conseiller qui connaît tous les chemins, peut frayer une voie dans le chaos intérieur qui n'a ni porte ni issue. Il peut faire que l'on recommence à marcher, que, de nouveau, un but et une voie apparaissent|''Le Dieu vivant'', Artège, Perpignan, 2010, p. 137.}}<br>
:;''Avoir la foi du centurion<ref>[[Évangile selon Matthieu]] 8, 5-17.</ref>''
{{citation bloc|Le Christ est venu nous révéler quelles sont les dispositions de Dieu à notre égard : il ne méprise pas le monde ; il ne le hait pas ; il ne joue pas de lui ; il ne le regarde pas d'en haut dans une impassibilité olympienne, mais il l'aime. Quand on aime quelqu'un, cela signifie qu'on participe à sa vie, en donnant et en recevant.<br>C'est ainsi qu'il faut évaluer la gravité de cette pensée que Dieu nous aime. Il n'éprouve pas seulement une bienveillance lointaine, tout près de l'indifférence, mais il nous aime au sens fort du mot. C'est ce qui s'est manifesté dans le Christ.<br>Cela sourd de ses paroles, de tout son comportement vis-à-vis des hommes, ses frères. Dieu est allé jusqu'au bout de sa volonté de nous aimer, comme nous le montre la mort du Christ. Dieu devenu homme se lève parmi nous et dit à chacun de nous, à moi aussi : « Je veux te faire quitter ton état de [[L'Espérance oubliée|déréliction]]<ref>La déréliction, c'est « la perte des repères spirituels, (...) l’abandon de toute référence morale et politique autant dans le domaine privé que public ».</ref>. Je veux ton salut. » Écouter ces paroles, croire possible cette promesse et s'y fier malgré tout ce qui en nous et autour de nous s'y oppose, voilà l'espérance chrétienne.|''Vie de la foi'', Cerf,1968, p. 66-67.}}
 
=== Interprétations ===
[[Fichier:Preobrazhenie.jpg|vignette|''La Transfiguration''. Le Christ transfiguré entre [[Élie]] (le prophète) à sa droite et [[Moïse]] (la Loi) à sa gauche. En bas de gauche à droite les apôtres [[Jacques d'Alphée|Jacques]], [[Jean (apôtre)|Jean]] et [[Pierre (apôtre)|Pierre]].]]
Figure majeure de l’Église du {{s-|XX}} et auteur prolifique grâce à ses [[Best-seller]]s, ''L’Esprit de la liturgie'', publié en 1918 et ''Le Seigneur'' en 1937<ref>[http://terredecompassion.com/2018/09/26/romano-guardini-le-regard-remonte-a-la-source/ Romano Guardini : le regard remonte à la source]</ref>.
:;''Pour une vie infinie''<ref>[[Évangile selon Luc|Lc 9, 28-39]].</ref>
{{citation bloc|La [[Transfiguration (christianisme)|Transfiguration]] est comme le prodrome<ref>[https://fr.wiktionary.org/wiki/prodrome Définition].</ref> lumineux de la [[Résurrection (christianisme)|Résurrection]]. Elle est aussi le gage de notre propre résurrection ; car cette vie doit aussi venir en nous. Être racheté, c'est participer à la vie du Christ. Nous aussi, nous devrons ressusciter. Notre corps aussi sera transfiguré par l'Esprit, lui-même transfiguré par Dieu. En nous aussi doit s'éveiller l'immortalité, et en nous comme homme.<br>
Voilà la vie intérieure et éternelle à laquelle nous croyons. Éternel ne veut pas dire seulement qui ne finit jamais. Dans ce sens nous le sommes par nature, puisque Dieu a fait de nous des êtres spirituels. Mais l'indestructibilité de notre âme en tant que telle n'est pas encore la vie éternelle et bienheureuse dont parle la [[Révélation]].<br>
Celle-ci ne nous vient que de Dieu. Le mieux serait de dire qu'elle est la vie céleste, qui est une participation à la vie divine. Cette vie reçoit de Dieu d'être définitive, unifiée et distincte ensemble, infinie et harmonieuse, toutes qualités qui nous manquent à présent et contre l'absence desquelles nous protestons et devons protester au nom de la dignité que nous tenons de Dieu. Cette éternité se trouve dans la vie nouvelle, dans celle d'un saint ou du ''plus petit dans le royaume des Cieux'' (Mt 11, 11).|Romano Guardini. ''Le Seigneur'', Paris, Salvator, 2009, p. 283.}}
 
Romano Guardini, théologien et [[Philosophie de la religion|philosophe des religions]], a été un des grands animateurs du [[Liturgie catholique|mouvement liturgique]], et l'une de ces voix, subtile et discrète, dans le concert européen<ref>[https://www.cairn.info/revue-etudes-2014-6-page-53.htm L'Europe de Romano Guardini. Une polyphonie bien accordée].</ref>.
:;''Prier''
{{citation bloc|Quand nous prions pour nous-mêmes, c'est tout le particulier de notre nature et de notre vie qui jaillit vers Dieu et se formule en chaude requête sur nos lèvres. Nous avons le droit absolu de prier de la sorte et ce droit, jamais l'Église ne songera à nous le contester ni à le limiter. Dans cette prière-là, c'est notre vie propre que nous vivons, nous sommes pour ainsi dire en tête-à-tête avec Dieu. Il est ici tourné vers chacun d'entre nous en particulier ; chacun d'entre nous peut ici l'appeler « son Dieu ». Car c'est en cela précisément que réside l'infini de la richesse de Dieu ; qu'il puisse être le Dieu de chacun, neuf pour chacun, adapté et appartenant à chacun d'une autre manière qu'au voisin.
 
Mais nous ne sommes pas seulement des individus, nous appartenons à une communauté ; notre vie ne doit pas seulement être considérée dans le déroulement du temps comme un fragment d'histoire, quelque chose d'elle appartient à l'ordre éternel. Et c'est ce quelque chose que satisfait la liturgie. En elle, nous prions en tant que membres de l'Église : elle nous permet d'atteindre le Royaume qui est situé au-dessus de l'individu et parce qu'il est au-dessus de chacun, est accessible à tous, à tous les tempéraments, à toutes les époques, à tous les lieux. À cet ordre de chose correspond seul le style liturgique avec son universalité, son objectivité, sa limpidité.
 
Ces deux prières doivent coopérer. Il y a entre elles un vivant rapport d'échange. Elles se prêtent mutuellement fécondité et lumière.|Romano Guardini. ''L'esprit de la liturgie'', Les Plans, Parole et silence, 2007, p. 53-54.}}
 
=== Une pensée prophétique ===
 
Théologien majeur du siècle dernier, Romano Guardini a aussi exercé une profonde influence sur le [[pape François]].
 
Dans ''La fin des temps modernes'' (1950, traduit en français en 1952), plusieurs fois cité dans l'[[encyclique]] ''[[Laudato si']]''<ref>[[Pape François]], encyclique ''[[Laudato si']]'', § 105, 108, 115, 154, 203, [http://www.vatican.va/content/francesco/fr/encyclicals/documents/papa-francesco_20150524_enciclica-laudato-si.html lire en ligne], consulté le 7 février 2021</ref>, il aborde la manière dont l'homme, de l'[[Antiquité]] à l'[[époque moderne]] en passant par le [[Moyen Âge]], s'est construit dans son rapport au [[divin]] et à la [[technique]]. La confiance dans le [[progrès]] et la [[science]] a engendré un pessimisme culturel profond. Guardini renvoie l'homme à ses limites et invite à passer du temps de [[Descartes]] à celui de [[Blaise Pascal|Pascal]].
 
Dans ''La puissance'' (1951, traduit en français en 1954)), suite logique du livre précédent, Romano Guardini examine comment la puissance de l'homme a pris de telles proportions que tous les problèmes en sont bouleversés : connaissance de la matière, domination de la [[nature]], construction de nouveaux types de société ; rien ne semble désormais hors de son atteinte. Mais s'il est près de tout dominer, l'homme est-il capable de dominer sa propre puissance ?
 
Ainsi, dès [[1950]], Romano Guardini peint prophétiquement le tableau de la civilisation que la [[modernité]] exsangue doit enfin laisser advenir.
 
== Œuvres traduites ==
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* ''Royaume de Dieu et liberté de l'homme'', trad. par Marlyse Guthmann, Paris, Desclée de Brouwer, 1960
* ''[[Dante]], visionnaire de l'éternité'', trad. par Jeanne Ancelet-Hustache, Paris, Seuil, 1962
* {{Ouvrage |titre=Les fins dernières |éditeur=Saint-Paul |année=1999 |pages totales=144 |isbn=978-2-85049-784-19782850497841}}
* ''Vie de la foi'', Desclée De Brouwer, 1968.
* {{Ouvrage |titre=Les fins dernières |éditeur=Saint-Paul |année=1999 |pages totales=144 |isbn=978-2-85049-784-1}}
* ''La polarité : essai d'une philosophie du vivant concret'', trad. par Jean Greisch et Françoise Todorovitch, Paris, Cerf, 2010.
* ''Initiation à la prière'', Perpignan, Artège, 2013.
* ''Vie de la foi'', Desclée De Brouwer, 1968.
* {{Ouvrage|langue=fr|langue originale=de|auteur1=[[Benoît XVI]]|auteur2=Abbé Romano Guardini|auteur3=[[Robert Sarah]] (Préface)|titre=L'Esprit de la liturgie|sous-titre=Édition double|lieu=Paris/Perpignan|éditeur=Artège Editions|collection=Art. Christiani.|année=2019|pages totales=304|isbn=979-10-336-0919-3}}
 
== Notes et références ==
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* Henri Engelsmann et Francis Ferrier, ''Romano Guardini'', Paris, Éd. Fleurus, 1966.
* Grégory Woimbée, ''L'esprit du christianisme : introduction à la pensée de Romano Guardini'', Genève, Éd. Ad Solem, 2009, 221 p.
* {{Ouvrage|langue=fr|langue originale=deouvrage|auteur1=Hanna-Barbara Gerl-Falkovitz (Auteur)|auteur2=Jean Greisch (Postface, Traduction)|titre=Romano Guardini|sous-titre= : Sa vie et son oeuvre|lieu=Paris|éditeur=[[Salvator (éditions)|Salvator]]|année=2012|pages totales=550|isbn=978-2-7067-0747-62706707476}}
* ''Vom Geist der Liturgie. 100 Jahre Romano Guardinis "Kultbuch" der Liturgischen Bewegung. Begleitpublikation zur Ausstellung in Maria Laach, Heiligenkreuz Hochschule Benedikt XVI., Burg Rothenfels, Trier, Köln und München.'' édité par Stefan K. Langenbahn. (collection Libelli Rhenani, 68). Cologne, Erzbischöfliche Diözesan- und Dombibliothek, 2017. Remarquable catalogue d'exposition sur le 1er livre de Guardini, devenu un des plus grands classiques de la littérature théologique du 20e siècle<ref>[https://www.blick-aktuell.de/Berichte/Vom-Geist-der-Liturgie-284205.html Conférence et exposition à Maria Laach. ''De l'esprit de la liturgie''. 100 ans Romano Guardini, « livre de culte » du mouvement liturgique]</ref>
=== Références ===
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== Annexes ==
=== Bibliographie ===
* {{Ouvrageouvrage|titre=Les Fins dernières|éditeur=Saint-Paul Editions Religieuses|année=1999|pages totales=140|isbn=978-2-85049-784-12850497841}}
* {{ouvrage|titre=Le Seigneur|éditeur=Salvator|année=2009|isbn=978-2706706868}}
* {{Ouvrage|langue=fr|langue originale=de|auteur1=[[Robert d'Harcourt]] (Traduction)|titre=L'esprit de la liturgie|lieu=Paris/Les Plans (Suisse)|éditeur=[[Parole et Silence]]|collection=Signatures|année=2007|pages totales=118|isbn=978-2-84573-552-1}}
* {{ouvrage|auteur1=Jean Greisch (Traduction)|auteur2=Françoise Todorovitch (Traduction)|titre=La polarité : Essai d'une philosophie du vivant concret|éditeur=Cerf|collection=La nuit surveillée|année=2010|isbn=978-2204094061}}
* {{Ouvrage|langue=fr|langue originale=de|titre=Le Seigneur|sous-titre=méditations sur la personne et la vie de Jésus-Christ|lieu=Paris|éditeur=[[Salvator (éditions)|Salvator]]|année=2009|pages totales=636|isbn=978-2-7067-0686-8}}
* {{Ouvrage|langue=fr|langue originale=de|auteur1=Jean Greisch (Traduction)|auteur2=Françoise Todorovitch (Traduction)ouvrage|titre=LaLe polarité : Essai d'une philosophie duDieu vivant concret|lieu=Paris|éditeur=CerfArtège|collection=LaLes nuitclassiques surveilléede la spiritualité|année=2010|pages totales=200|isbn=978-2-204-09406-12916053943}}
* {{Ouvrage|langue=fr|langue originale=deouvrage|titre=LeInitiation Dieuà vivant|lieu=Perpignanla prière|éditeur=[[ÉditionsEditions Artège|Artège]]|collection=Les classiquesClassiques de la spiritualitéSpiritualité|année=2010|pages totales=1392013|isbn=978-2-916053-94-32360402250}}
* {{Ouvrage|langue=fr|langue originale=deouvrage|titre=Chemin de Croix du Seigneur Notre Sauveur|lieu=Paris|éditeur=[[Salvator (éditions)|Salvator]]|année=2013|pages totales=73|isbn=978-2-7067-0982-12706709821}}
* {{Ouvrage|langue=fr|langue originale=de|titre=Initiation à la prière|lieu=Perpignan|éditeur=[[Éditions Artège|Editions Artège]]|collection=Les Classiques de la Spiritualité|année=2013|pages totales=281|isbn=978-2-36040-225-0}}
* {{Ouvrageouvrage|langueauteur=fr|langue originale=de|auteur1=[[Paul Ricoeur]] (Traduction)|titre=La mort de Socrate|sous-titre=interprétation : Interprétation des dialogues philosophiques "Euthyphron", "Apologie", "Criton", "Phédon"|lieu=Paris|éditeur=Editions Ipagine|année=2015|pages totales=240|isbn=979-10-91749-61-91091749619}}
* {{Ouvrage|langue=fr|langue originale=de|titre=Chemin de Croix du Seigneur Notre Sauveur|lieu=Paris|éditeur=[[Salvator (éditions)|Salvator]]|année=2013|pages totales=73|isbn=978-2-7067-0982-1}}
* {{Ouvrage|langue=fr|langue originale=deouvrage|titre=De la mélancolie|lieu=Paris|éditeur=[[Éditions Points|Points]]|collection=Points Vivre|année=2016|pages totales=82|isbn=978-2-7578-5762-52757857625}}
* {{Ouvrage|langue=fr|langue originale=de|auteur1=[[Paul Ricoeur]] (Traduction)|titre=La mort de Socrate|sous-titre=interprétation des dialogues philosophiques "Euthyphron", "Apologie", "Criton", "Phédon"|lieu=Paris|éditeur=Editions Ipagine|année=2015|pages totales=240|isbn=979-10-91749-61-9}}
* {{Ouvrage|langue=fr|langue originale=de|titre=De la mélancolie|lieu=Paris|éditeur=[[Éditions Points|Points]]|collection=Points Vivre|année=2016|pages totales=82|isbn=978-2-7578-5762-5}}
 
=== Articles connexes ===
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* ''[[Æterni Patris]]''
* ''[[Humani generis]]''
* ''[[Prince Mychkine]]''
 
=== Liens externes ===
* {{Autorité}}
* {{Bases religion}}
 
{{Portail|philosophie|catholicisme|éducation|théologie}}
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[[Catégorie:Membre de l'Académie bavaroise des beaux-arts]]
[[Catégorie:Grand officier de l'ordre du Mérite de la République fédérale d'Allemagne]]
[[Catégorie:Récipiendaire de la croix Pour le Mérite (ordre civil)]]
[[Catégorie:Naissance en février 1885]]
[[Catégorie:Naissance à Vérone]]
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