« Familles de Laforcade, de La Forcade et de Forcade » : différence entre les versions

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== Famille éteinte de Forcade (Béarn) ==
Cette famille éteinte du nom de Forcade est la plus ancienne. Elle remonte sa filiation à Jean de Forcade, né à [[Orthez]] vers 1440 sous le règne de [[Charles VII (roi de France)|Charles VII]], et marié sous celui de [[Louis XI]], qualifié écuyer et premier jurat de la ville d'[[Orthez]] dans son testament du {{date-|21 juillet 1505}}<ref name="O'Gilvy174"> Gabriel O'Gilvy, {{Gallica|id=bpt6k5406359g/f185.image|t=Nobiliaire de Guienne et de Gascogne : revue des familles d'ancienne chevalerie ou anoblies de ces provinces, antérieures à 1789, avec leurs généalogies et leurs armes ; Traité héraldique sous forme de dictionnaire. Tome 3}}, 1860, page 174.</ref>.
 
Jean de Forcade avait des fiefs en [[Béarn]] et à [[Bordeaux]], et sa maison comptait au nombre des familles importantes de cette ville, puisqu'il était en possession de la Tour Catsies du mur d'enceinte de [[Bordeaux]] (d'où probablement la ''rue de la Tour de Gassies'' dans le Bordeaux d'aujourd'hui). Il déclare céder cette tour à son deuxième fils Gaston dans son testament de 1505<ref name="O'Gilvy179"/>.
 
Les familles de La Forcade de Tauzia et de Forcade de la Grézère ont revendiqué sans preuves une origine commune avec cette famille<ref name="Chaix313"/>.
 
== Famille de Laforcade (Armagnac puis Toulouse) ==
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Jean la Forcade coat of arms.jpg|<center>Armoiries de Jean de Laforcade (1696)</center>- période pré-révolutionnaire -
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Cette famille a fourni de nombreux officiers, des magistrats, des agents de change près la Bourse de Paris, etc. Plusieurs de ses représentants ont péri sur différents champs de bataille. Elle n'est pas titrée<ref name="Chaix309"/>.
 
Armes actuelles : ''« D'azur à deux lions adossés d'or armés et lampassés de gueules, rampant contreaux une colonnecolonnes d'argent misetournés vers les bords de l'écu »''<ref name="Saint-Simon584">E de Séréville, F de Saint-Simon ''Dictionnaire de la noblesse française'', 1975, page 584.</ref>. La disposition des pièces aurait changé à la Révolution : orientés vers le centre pour signifier le courage mis à disposition de la cité, ils s'adossent ensuite en signe de refus de la décadence.
 
Cette famille est inscrite à l’[[Association de la noblesse française|ANF]]<ref name="Saint-Simon584"/>.
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== Famille de La Forcade de Tauzia et du Pin (Agenais) ==
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Fichier:Famille de La Forcade de Tauzia et du Pin 2.svg|alt=Écartelé au 1 d'argent à un lion de gueules, armé et lampassé de sable, aux 2 et 3 d'azur à trois étoiles d'or, au 4 d'argent à trois bandes de gueules. |Armoiries d'Armand de Forcade (1698)
Armand de Forcade.jpg|<center>Armoiries d'Armand de Forcade (1698)</center>
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Elle revendique une origine commune avec une famille éteinte de Forcade qui appartenait {{s-|XVI|e}} à la noblesse des environs d’[[Orthez]] en [[Béarn]], mais cette communauté d’origine n’est pas établie<ref name="Chaix313">Gustave Chaix d'Est-Ange, {{gallica|id=bpt6k112011p/f337.image|t=Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle}}, volume XVIII, 1922, page 313.</ref>.
 
Elle remonte sa filiation suivie à Jean de Forcade, nommé gouverneur du château d'[[Auvillar]] par [[Jeanne d'Albret]], reine de Navarre. Il figure avec les qualifications de noble et d'écuyer dans le contrat de son mariage avec Odette de Rey, passé le {{date|29 avril 1554}} devant notaire à la Plume, et dans son testament, passé devant le même notaire le {{date|7 septembre 1571}}<ref name="Chaix313"/>{{,}}<ref name="Jougla29">Henri Jougla de Morenas, ''Grand Armorial de France'', tome 4, pages 29.</ref>.
 
Son fils, Bernard de La Forcade, écuyer, seigneur de la Prade, était archer de la [[Garde écossaise (France)|garde écossaise]] des gardes du corps d'[[Henri IV (roi de France)|Henri IV]], habitait [[Laplume]] dont il fut premier consul en 1626. De ses quatre fils, trois furent tués au combat, dont en 1672 à la suite du siège d'[[Augsbourg]]<ref name="O'Gilvy179">Gabriel O'Gilvy, {{gallica|id=bpt6k5406359g/f190.image|t=Nobiliaire de Guienne et de Gascogne : revue des familles d'ancienne chevalerie ou anoblies de ces provinces, antérieures à 1789, avec leurs généalogies et leurs armes ; Traité héraldique sous forme de dictionnaire. Tome 3}}, 1860, page 179 à 185</ref>.
 
Philippe de La Forcade, fils de Bernard d'un second mariage, écuyer, seigneur de la Prade, premier consul de [[Laplume]] en [[1646]], capitaine au régiment de Marin par commission de 1648, fut maintenu dans sa noblesse le {{date|9 septembre 1666}}, par jugement de Dupuy, subdélégué de Pellot, intendant de Bordeaux. Sa famille obtint une seconde maintenue de noblesse en [[1696]] et fut anobli en tant que besoin en mars [[1700]] (assimilé à un anoblissement par Gustave Chaix d'Est-Ange)<ref>{{gallica|id=bpt6k112011p/f338.item.|t=Famille de La Forcade de Tauzia et du Pin}}.</ref>. La branche cadette fit ses preuves en [[1787]] pour l'admission de Jean-Baptiste-Octavien de La Forcade à l'EcoleÉcole militaire et la branche aînée fut reconnue noble par arrêt du {{date-|29 juin 1787}} du Conseil d'Etat<ref name="Chaix313"/>.
 
Le fils de Philippe, Armand, sieur de La Prade et du Pin, fut lieutenant commandant la compagnie de Sainte-Livrade, dans le [[Régiment d'Aquitaine|régiment d'Anjou]], de 1655 à la [[Paix des Pyrénées]] de 1659. Il enregistra ses titres de noblesses en 1698 à [[Condom (Gers)|Condom]] et il fit enregistrer ses armoiries de l'[[Armorial général de France|armorial d'Hozier]].
C'est à partir de son fils François que les La Forcade se présentent comme seigneurs du Grand Tauzia<ref name="O'Gilvy179"/>.
 
La famille s'est divisée en deux branches dites "de La Forcade de Tauzia" et "de la Forcade du Pin" à partir des enfants de Renaud de la Forcade, fils de François, né à Condom en 1714 : Antoine et Jules-Arnould. Renaud et ses enfants habitaient le [[château du Tauzia|château du Grand Tauzia]]<ref name="Chaix313"/>.
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Au début du {{s-|XX}} la seule branche subsistante était fixée en [[Prusse]]<ref name="Chaix315"/>{{,}}<ref name="Saint-Simon441">E de Séréville, F de Saint-Simon ''Dictionnaire de la noblesse française'', 1975, page 441.</ref> où elle fut illustrée par :
* Jean de Forcade de Biaix (Johann Quirin von Forcade de Biaix), né à Pau le {{date|14 décembre 1663}} et décédé le {{date|2 février 1729}} à [[Berlin]]. Refusant de se convertir au catholicisme, malgré le choix de son père et de son frère, il émigra en Prusse au service du roi [[Frédéric Ier de Prusse|Frédéric Ier]]. Il devint commandant du {{23e|régiment}} d'infanterie (qui prit le nom ''Regiment von ForKade'' de 1716 à 1729 puis de 1748 et 1765). Il fut lieutenant-général des armées prussiennes et gouverneur militaire de Berlin. IL fut nommé chevalier de l'[[Ordre de l'Aigle noir]] et était membre du ''Tobacco collegium'', où se réunissait le cercle intime de Frédéric Ier<ref name="Leopold von Zedlitz 1836">[https://books.google.de/books?id=HdkEAAAAIAAJ&pg=PA179#v=onepage&q&f=false Leopold von Zedlitz-Neukirch, ''Neues preußisches Adels-lexicon'',1836, volume 2, page 179 (en allemand).]</ref>{{,}}<ref name="Leopold von Zedlitz 1837">[https://books.google.de/books?id=fZdAAAAAcAAJ&pg=PA390#v=onepage&q&f=false Leopold von Zedlitz-Neukirch, ''Neues preußisches Adels-lexicon'',1837, volume 4, page 390 à 392 (en allemand).]</ref>.
 
* Friedrich Wilhelm Quirin von Forcade de Biaix, fils aîné du précédent, né à Berlin le {{date|10 février 1698}} et mort en la même ville le {{date|23 mars 1765}}. Comme son père il commanda le {{23e|régiment}} d'infanterie et devint lieutenant-général des armées prussiennes. Il fut l'un des officiers les plus appréciés de [[Frédéric II de Prusse]]. Il fut nommé [[chanoine]] d'[[Havelberg]], bailli de [[Zinna]], président de l'Ober-Collegium Sanitatis de Berlin et gouverneur de [[Breslau]]. Il fut nommé chevalier de l'ordre [[Pour le Mérite]] (1746) accompagné d'une pension de 600 [[Thaler]], chevalier de l'[[Ordre de l'Aigle noir]]. En 1747, Frédéric II fut parrain de son fils et en cadeau de baptême, nomma le père de l'enfant gouverneur militaire de [[Neuenrade]]) en précisant que cette charge serait héréditaire et transmis à l'enfant. En 1851, son nom fut inscrit sur la face nord de la statue équestre de Frédéric Le Grand à Berlin. Certaines sources font référence à Friedrich Wilhelm Quirin von Forcade de Biaix comme "marquis de Biaix", mais il ne semble s'agir que d'un titre de courtoisie. Avec le {{23e|régiment}} d'infanterie, il s'illustra lors de la deuxième [[Guerres de Silésie|Guerre de Silésie]]. Il combattit à [[Prague]] (''2–{{date-|18 septembre 1744}}''), à [[Pless]] (''{{date-|27 novembre 1744}}''), à [[Paczków|Patschkau]] (''{{date-|27 décembre 1744}}'') à la [[Bataille de Hohenfriedberg]] (''{{date-|4 juin 1745}}''), à [[Velká Bukovina|Gross Bocken]] (''{{date-|31 juillet 1745}}''), autour de [[Nové Město nad Metují|Neustadt en Bohème]] (''11–{{date-|12 septembre 1745}}''), à la [[Bataille de Soor]] et à [[Žacléř|Schatzlar]] (''{{date-|16 octobre 1745}}''). Gravement blessé à la [[Bataille de Soor]] (''{{date-|30 septembre 1745}}''), il fut laissé pour mort sur le champ de bataille. Frédéric II attribua la gloire de la victoire du jour à son action<ref name="Eduard Lange">[https://books.google.de/books?id=pqNDAAAAYAAJ&pg=PA91#v=onepage&q&f=false Eduard Lange, ''Die soldaten Friedrich's des Grossen'', pages 91 et 92 (en allemand).]</ref>{{,}}<ref name="Leopold von Zedlitz 1837"/>. Le régiment von Forcade fut l'objet en 1906 d'un poème de Georg von Kries mis en musique par Hans Hermann<ref>[https://books.google.fr/books?id=YTohAQAAIAAJ&pg=PA608&dq=%22Georg+von+Kries%22++Forkade&hl=fr&sa=X&ved=0CDMQ6AEwA2oVChMIuYr658-NxwIV1JuICh1uXggU#v=onepage&q=%22Georg%20von%20Kries%22%20%20Forkade&f=false Library of Congress. Copyright Office, ''Musical Compositions'': Part 3, 1908.]</ref>.
 
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Famille originaire de [[Guyenne]]<ref name="Chaix310">Gustave Chaix d'Est-Ange, {{Gallica|id=bpt6k112011p/f334.image|t=Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle}}, volume XVIII, 1922, page 310.</ref>{{,}}<ref name="Saint-Simon441"/>{{,}}<ref name="Jougla28">Henri Jougla de Morenas, ''Grand Armorial de France'', tome 4, pages 28.</ref>.
 
La famille de Forcade de la Grézère revendique comme la famille de La Forcade de Tauzia une origine commune avec une famille éteinte du nom de Forcade qui appartenait {{s-|XVI}} à la noblesse des environs d’[[Orthez]] en [[Béarn]], mais cette communauté d’origine n’est pas établie<ref name="Chaix313"/>.
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Jean II de Forcade et Étienne de Forcade furent les auteurs de deux rameaux. Ils obtinrent en juillet [[1681]], des lettres patentes qui les rétablissaient dans leur ancienne noblesse et qui les relevaient de la [[dérogeance]] encourue par leur père<ref name="Chaix310"/>
 
Cette famille de Forcade fut maintenue dans sa noblesse, le {{date|29 juillet 1666}}, par jugement de Dupuy, subdélégué de Pellot, intendant de Bordeaux, après avoir prouvé sa filiation depuis noble Jean de Forcade, écuyer, premier jurat d'Orthez, qui teste en [[1505]], mais ce jugement de maintenue ne fut pas accepté par Pellot qui, par un nouveau jugement du {{date|6 décembre 1667}}, le révoqua et condamna la famille de Forcade à payer une amende comme [[Fausse noblesse|usurpateurs de noblesse]]. Ce fut seulement le {{date|5 avril 1697}} que cette famille de Forcade put se faire maintenir dans sa noblesse, par jugement de M. de Bezons, successeur de Pellot, au vu des lettres de réhabilitation de [[1651]]<ref name="Chaix310"/>.
 
Elle s'est divisée en deux branches dites "de Forcade de La Grézère" (subsistante) et "de Forcade de La Roquette" (éteinte)<ref name="Saint-Simon441"/>.
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Mathieu de Forcade de la Grézère obtint en 1785 du roi [[Louis XVI]] en 1785 des [[lettres patentes]] le maintenant dans sa noblesse. Il prit part en 1789 aux assemblées de la noblesse tenues à Bazas et à Agen. Son fils Jean-Gaston de Forcade fut maire de Marmande sous la Restauration. Son autre fils Jean de Forcade de la Roquette, né en 1780 fut longtemps [[Justice de paix en France|juge de paix]] à Paris<ref name="Chaix310"/>.
 
Cette famille a été illustrée par [[Adolphe de Forcade Laroquette|Jean Louis Victor Adolphe de Forcade]], fils du précédent, né à Paris en 1820, sénateur du Second Empire, ministre des Finances en 1860, ministre des Travaux publics en 1867<ref name="Chaix310"/>.
 
En 1847, avec son demi-frère le maréchal [[Armand Jacques Leroy de Saint-Arnaud]], ils héritent de Catherine de Forcade du [[Château Malromé]], qu'ils feront restaurer dans le goût de Viollet-le-Duc<ref>Conseil régional d'Aquitaine, [http://visites.aquitaine.fr/chateau-malrome Présentation du château Malromé], sur ''Visites.Aquitaine.fr''. Consulté le 9 novembre 2015.</ref>. Le château sera vendu en 1883 aux parents d'[[Henri de Toulouse-Lautrec]]<ref>[https://books.google.fr/books?id=FPk_AAAAIAAJ&pg=PA86&dq=Forcade++Ch%C3%A2teau+Malrom%C3%A9&hl=fr&sa=X&ved=0CC4Q6AEwBDgKahUKEwjomZr4k__IAhVM6mMKHUhgDZI#v=onepage&q=Forcade%20%20Ch%C3%A2teau%20Malrom%C3%A9&f=false Gustave Coquiot, ''Lautrec: ou quinze ans de mœurs parisiennes 1885-1900'', 1921, page 86.]</ref>.
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== Notes et références ==
{{Références}}
{{références|taille=40}}
 
== BibliographieVoir aussi ==
==== Bibliographie ===
* [[Gustave Chaix d'Est-Ange]], {{Gallica|id=bpt6k112011p/f333.image|t=Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du {{s-|XIX}}}}, volume 18, 1922, p.309 : de La Forcade ou Laforcade ; p.310 : de Forcade de La Grézère et de La Roquette, de La Forcade de Tauzia et du Pin
* Gabriel[[Gustave OChaix d'GilvyEst-Ange]], {{Gallica|id=bpt6k5406359gbpt6k112011p/f184f333.image|t=Nobiliaire de Guienne et de Gascogne : revueDictionnaire des familles d'anciennefrançaises chevalerieanciennes ou anobliesnotables deà cesla provinces,fin antérieuresdu à 1789{{s-|XIX}}}}, avecvolume leurs18, généalogies1922, et{{p.|309}} leurs: armesde ;La TraitéForcade héraldiqueou sousLaforcade forme; de dictionnaire{{p. Tome 3|310}}, 1860, p.173 : de Forcade de laLa Grézère et de La Roquette ; p.179 :, de La Forcade de Tauzia et du Pin
* É.Gabriel de SérévilleO'Gilvy, F{{Gallica|id=bpt6k5406359g/f184.image|t=Nobiliaire de Saint-Simon,Guienne ''Dictionnaireet de laGascogne noblesse: française'revue des familles d'ancienne chevalerie ou anoblies de ces provinces, 1975antérieures à 1789, p.441avec :leurs degénéalogies Forcadeet leurs armes ; Traité héraldique sous forme de Biaixdictionnaire. etTome 3}}, 1860, {{p.|173}} : de Forcade de Lala Grézère et de laLa Roquette ; {{p.584|179}} : de La Forcade, de La Forcade de Tauzia et du Pin
* [[HenriÉ. Jouglade Séréville, F. de Morenas]]Saint-Simon, ''Grand ArmorialDictionnaire de Francela noblesse française'', tome 41975, {{p.27 à 29|441}} : de Forcade de Biaix (15734),et de Forcade de La Grézère et de la Roquette (15735); {{p.|584}} : de La Forcade, de La Forcade de Tauzia et du Pin (15736)
* [[Henri Jougla de Morenas]], ''Grand Armorial de France'', tome 4, {{p.|27}} à 29 : de Forcade de Biaix (15734), de Forcade de La Grézère et de la Roquette (15735), de La Forcade de Tauzia et du Pin (15736)
 
=== Articles connexes===
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* [[Liste des familles subsistantes de la noblesse française (A à K)]]
* [[Armorial des familles de Gascogne et Guyenne]]
 
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[[Catégorie:Liste de familles nobles françaises homonymes|La Forcade]]