« Manic GT » : différence entre les versions
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=== Habitacle ===
L'habitacle compte deux [[Siège baquet|sièges baquets]].
La position de conduite, rapprochée du sol, s'apparente à celle d'une voiture de course<ref name=":8" />{{,}}<ref name=":9" />.
Les instruments et cadran du tableau de bord (pression d'huile, température, ampèremètre) de la version de série proviennent de la [[Renault 16]] tandis que la version de présérie est équipée de boutons et de témoins lumineux. En outre, la version de base de la GT est équipée d'une « foule d'accessoires » tels qu'un [[autoradio]] fonctionnant sur les bandes [[Radio AM|AM]] et [[Radio FM|FM]], une [[Lunette arrière (automobile)|lunette arrière]] munie d'un dégivreur, un cadran compte-tour et un volant en cuir<ref name=":9" />.
=== Performances et tenue de route ===
Avec le groupe motopropulseur de base (moteur de {{Unité|65 ch}} et boîte à quatre rapports), Jacques Duval mesure une accélération de 0 à {{Conversion|60|mi:h|km:h|0|abbr=on}} en {{Unité|13.5 s}}, ainsi qu'une vitesse de pointe à {{Conversion|100|mi:h|km:h|0|abbr=on}}. Duval note une chute « importante » du régime de moteur entre le 3{{E}} et le 4{{E}} rapport de vitesse<ref name=":9" />.
Quant à la tenue de route, Duval rapporte une conduite « agréable », similaire à une voiture de course. Le comportement de la voiture « inspire confiance » de façon générale, mais la tenue de route du coupé devient « délicate et imprévue » sous la pluie. Le poids réparti sur l'essieu arrière cause une perte d'adhérence rapide sur des chaussées glissantes. La légèreté relative de l'[[avant-train]] et le [[sous-virage]] qui en résulte ne sont notables que lorsque la voiture est poussée à la limite<ref name=":9" />.
== Notes et références ==
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