« Alain Girelli » : différence entre les versions

{{interprétation personnelle|Un nouveau vocabulaire graphique de formes simples et pures va naître}}, {{référence nécessaire|mais la légèreté des bois séchés oblige Girelli à trouver une solution pour obtenir une meilleure assise et un nouvel équilibre. Il intègre à ses sculptures alors des pierres naturelles travaillées par le temps qu’il choisit pour leur apparence, leur esthétique et leur poids. Il les gravera par la suite, inscrivant des signes inspirés par les écritures primitives de Max Ernst.}}

 

En février 1977, il est invité à l'exposition ''Le Bois et l’Homme'' qui aura lieu à l’[[aéroport de Paris-Orly]] où seront exposés des chefs-d’œuvre du [[Musée de l'Homme]]<ref>{{Lien web |langue=fr |titre=Exposition "Le bois et l'Homme" (1978) |url=https://francearchives.fr/fr/facomponent/593ba3bb67153a6dc7f349b56c78cd15b43571a9 |site=FranceArchives |consulté le=2022-01-20}}</ref>. Un article paraît dans ''Nice Matin''<ref>{{Article |langue= |auteur1=J.P. Giraud |titre=L'œuvre du sculpteur Alain Girelli très remarquée à l'exposition d'Orly |périodique=Nice Matin|date=9 mars 1977 |issn= |lire en ligne= |pages= }}</ref>. C'est d'ailleurs lors de cet évènement qu'il réalise sa première performance avec de la [[Juniperus oxycedrus|poudre de cade (''Juniperus oxycedrus'']]). Il eu l'honneur faire sa performance devant [[Jacqueline Baudrier]], [[Jacques Larché]] et [[Jean Dorst]].