« Emmanuelle Ménard » : différence entre les versions

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Elle quitte la FIDH en 2003, affirmant que celle-ci a peu apprécié la concurrence incarnée par Robert Ménard à la tête de RSF<ref name="Mediapart"/>.
 
Rédactrice en chef du site internet ''[[Boulevard Voltaire (site web)|Boulevard Voltaire]]'', elle enseigne depuis 2014 à l'Institut des hautes études de journalisme de [[Montpellier]] où elle donne des [[Classe de maître|classes de maître]]<ref name="Mediapart"/>{{,}}<ref>Arnaud Gauthier, [http://www.midilibre.fr/2016/03/07/mme-menard-j-essaie-de-proteger-notre-cocon,1296406.php « Les confidences d'Emmanuelle Ménard, la femme du maire de Béziers »] sur ''[[Midi libre]]'', 7 mars 2016</ref>. Elle gère pendant un temps les éditions Mordicus<ref name="Mediapart"/> et publie le livre de [[Bruno Gaccio]] et [[Dieudonné]], en 2010, ''Peut-on tout dire?'', réponse au livre de [[Raoul Vaneigem]], ''Rien n'est sacré, tout peut se dire'', préfacé, en 2003, par [[Robert Ménard]], critiquant la [[loi Gayssot]] et défendant la liberté d'expression des négationnistes.
 
Elle pousse son mari à se présenter aux élections municipales à [[Béziers]]<ref name="DéputéMaire"/>. Bien qu'elle n'ait aucun rôle officiel auprès de lui à la mairie, elle participe largement aux prises de décision de ce dernier, inspirant notamment l’installation d'une crèche dans l’hôtel de ville pour les fêtes de Noël en 2014<ref name="Mediapart"/>.
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