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« Sihame Assbague » : différence entre les versions

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En 2016, elle donne une conférence contre l'état d'urgence à Gennevilliers aux côtés d'[[Alexis Bachelay]], député socialiste, bras droit de [[Benoît Hamon]]<ref>Claude Ardid, Malika Bret, Nadège Hubert, ''Qui veut tuer la laïcité ?'', [[Eyrolles|Éditions Eyrolles]], Paris, 2020.</ref>.
 
=== Soutien de Tariq Ramadan ===
Dans le cadre de l’[[affaire Tariq Ramadan]], elle signe, le {{date-|21|février|2018}}, aux côtés d'une cinquantaine de personnalités dans un blog de ''médiapart'', la tribune {{Citation|Pour une justice impartiale et égalitaire}} réclamant sa libération immédiate pour raisons de santé<ref>{{Lien web|url=https://blogs.mediapart.fr/les-invites-de-mediapart/blog/210218/tariq-ramadan-pour-une-justice-impartiale-et-egalitaire|titre=Tariq Ramadan : pour une justice impartiale et égalitaire|auteur=Collectif|site=mediapart.fr|date=21-02-2018}}.</ref>{{,}}<ref>{{article|auteur=Robin Andraca / Check News|périodique=Libération|lire en ligne=http://www.liberation.fr/checknews/2018/02/27/mediapart-soutient-il-la-remise-en-liberte-de-tariq-ramadan-comme-l-a-affirme-la-ministre-nathalie-l_1653254|date=27-02-2018|titre=Mediapart soutient-il la remise en liberté de Tariq Ramadan, comme l’a affirmé la ministre Nathalie Loiseau sur France Inter ?}}.</ref>.
 
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Pour Alexandra Wanjiku Kelbert, les réactions violentes de la part de l'''[[establishment]]'' journaliste et politique à la tenue de ce camp sont emblématiques du [[racisme d'État]] qui affecte les femmes [[afroféminisme|afroféministes]] et les excluent du champ du [[féminisme en France]], utilisant le discours même de l'[[antiracisme]] pour taxer leurs initiatives de [[racisme antiblanc]] et, ainsi, exclure leurs voix du débat public<ref>{{Article|prénom1=Alexandra Wanjiku|nom1=Kelbert|titre=Taking minority women’s activism seriously as epistemic justice|périodique=Ethnic and Racial Studies|volume=41|numéro=13|date=2018-10-21|issn=0141-9870|doi=10.1080/01419870.2018.1487567|lire en ligne=https://doi.org/10.1080/01419870.2018.1487567|consulté le=2022-04-17|pages=2310–2317}}.</ref>.
 
=== Militante politique ===
Caroline Fourest affirme : {{citation|quelques mois après sa victoire, la nouvelle mairie ([[Union des démocrates et indépendants|UDI]]) [de [[Bobigny]]] confiait des missions de formation et de « communication » à Studio Praxis et à Sihame Assbague}}<ref name="Fourest336"/>.
 
[[Eve Szeftel]] écrit que {{citation|la municipalité UDI a également embauché studio praxis pour deux autres missions : gérer l'affaire Sabrina Saïdi durant l'été 2014 et former des élus de la ville}}. Elle indique que le devis de studio praxis pour l'affaire Saïdi était de 18 150€<ref>''Le Maire et les barbares.'' Par Eve Szeftel · éditions Albin Michel, 2020, chapitre : studio praxis aux manettes</ref>.
 
Pour Benjamin Sire, {{citation|Elle n’a pourtant pas hésité à soutenir [[Jean-Christophe Lagarde]] (UDI), le clientéliste partisan des polices municipales armées.<ref>https://www.franc-tireur.fr/la-france-moi-non-plus</ref>}}.
 
== Polémiques autour de ses prises de position ==
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