« Mémoire de l'eau » : différence entre les versions

La première allusion à la « mémoire de l’eau » provient de la thèse de doctorat d’État de pharmacie publiée par Claudine Luu en 1974<ref>''Les dilutions homéopathiques : contrôle et étude par spectroscopie Raman-laser'', Claudine Luu-D-Vinh[http://www.sudoc.abes.fr/cbs/DB=2.1//SRCH?IKT=12&TRM=012360481&COOKIE=U10178,Klecteurweb,D2.1,Ee4bebb98-155,I250,B341720009+,SY,QDEF,A%5C9008+1,,J,H2-26,,29,,34,,39,,44,,49-50,,53-78,,80-87,NLECTEUR+PSI,R94.239.75.167,FN]</ref>{{refnec}}. Cette ''Étude des dilutions homéopathiques. Mécanisme d’action de ces dilutions'', était le fruit de ses recherches avec son époux le physicien Vinh Luu <ref>Vinh Luu (1936-2013) venu en France en 1955, docteur en physique a enseigné à l’université de Montpellier, avant de s’intéresser à la [[phytothérapie]]. Quoique Benveniste ne l'ait pas cité Benveniste connaissait Luu.</ref>, travaillant alors à la Faculté des sciences de Montpellier dans un laboratoire équipé d’un [[spectroscope]] Raman-laser.