« Laurent Dingli » : différence entre les versions
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Il est docteur en histoire. En 1995, il soutient à l'université de Paris IV Sorbonne une thèse de doctorat intitulée ''L’œuvre de Seignelay : structuration de l'État sous le règne de Louis XIV'', sous la direction de [[Jean Meyer (historien, 1924)|Jean Meyer]]. [[Seignelay (Yonne)|Seignelay]] était le [[marquisat]] du fils de [[Jean-Baptiste Colbert]], également nommé [[Jean-Baptiste Colbert de Seignelay|Jean-Baptiste Colbert]].
Influencé par la psychanalyse et l'ethnologie, Laurent Dingli s'est particulièrement intéressé aux questions d'identité, notamment à travers son roman, ''Une pureté sans nom'', consacré à l'histoire de l'Allemagne entre 1914 et 1945<ref>Voir [https://www.humanite.fr/node/363299 « Laurent Dingli, autre retour sur le nazisme »], par Jean-Claude Lebrun dans ''L'Humanité'' du 4 janvier 2007.</ref>.
== Situation personnelle ==
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Dans cette biographie, Laurent Dingli avance que Robespierre a contribué à forger avec [[Bertrand Barère]] le mythe national, notamment à travers le culte des héros Bara et Viala, qui sera repris sous la {{IIIe}} République, et conservera une réelle vigueur jusqu'à la Première Guerre mondiale. {{Citation|Le culte de la Belle Mort […] fut l'un des fondements de l'idéologie républicaine sous la {{IIIe}} République, du moins jusqu'en 1914}}<ref>Entretien cité avec Frédéric Mitterrand.</ref>. Se référant de surcroît à l'historiographie américaine, Laurent Dingli explique l'influence passagère de Robespierre comme le recours d'une population française en perte de repères.
=== Dans l'ombre des Lumières ===
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