« Remarques sur les couleurs » : différence entre les versions
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m A priori, ici, pour RC, voir aussi 2eme ed, 1984 (cf note 3 p.8 de Quelques remarques sur la forme logique#Éditions (1985) : […] « cf. « Le tournant » (p. 100 à 115) »; ed. 1983, p. 100 : […] « la problématique nouvelle ne parvient pas à sortir de l’impasse du T » […]) |
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Estimant que les énigmes philosophiques sur la [[couleur]] ne peuvent être résolues qu'en prêtant attention aux [[Jeu de langage (philosophie)|jeux de langage]] impliqués, Wittgenstein considère les propositions de [[Johann Wolfgang von Goethe|Goethe]] dans
Wittgenstein s'est intéressé au fait que certaines propositions sur la couleur ne sont apparemment ni empiriques ni ''a priori'', mais un entre-deux, créant l'impression d'une sorte de [[Phénoménologie (philosophie)|phénoménologie]], comme celle de Goethe. Cependant, Wittgenstein a adopté la ligne selon laquelle {{cita|Il n’y a certes pas de phénoménologie, mais il y a bel et bien des problèmes phénoménologiques{{sfn|id=RC|''Remarques sur les couleurs''|loc=I § 53, III § 248|p=15, 57}}.}} Il se contentait de considérer les observations de Goethe comme une sorte de logique ou de géométrie.
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