« Luisa Piccarreta » : différence entre les versions
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{{À sourcer|date=décembre 2021}}
{{Admissibilité à vérifier|date=mai 2023|motif=Toujours aucune source démontrant l'admissibilité. Cf. pdd.}}
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}}
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Lucia était considérée, y compris par les prêtres, comme une jeune fille exaltée et névrosée qui voulait attirer l'attention<ref name="santiebeati.it" />.
Adolescente, elle devint membre du [[Fraternités laïques dominicaines|Tiers Ordre de saint Dominique]]
L'[[Archidiocèse de Trani-Barletta-Bisceglie|archevêque de Trani]] est intrigué et lui délègue un confesseur spécial, Don Michele De Benedictis. Celui-ci impose des limites à ses épreuves : par exemple il lui impose de manger au moins une fois par jour. Jusqu'à sa mort, elle aura pour confesseurs ceux qui lui sont attribués par les archevêques successifs de Trani. En 1899, son confesseur lui demande d'écrire ce qui lui arrive. Elle reçoit l'ordre de cesser d'écrire en 1938<ref name="santiebeati.it" />.
À l'âge adulte, elle devint [[Dentellier|dentellière]], sans interrompre sa vie mystique.{{refnec}}
En février [[1899]], sur demande de son second directeur spirituel, Don Gennaro de Gennaro, elle commença à rédiger un journal de ses expériences spirituelles dont elle poursuivit la rédaction jusqu'au 28 décembre 1938. Au prix de nombreux efforts, elle en produisit trente-six volumes totalisant {{unité|10000|pages}} environ où elle décrivit les grâces qu'elle reçut, reporta tout ce que lui enseignait le Christ. Ils contenaient aussi d'importantes révélations sur la «sanctification» selon la Volonté Divine. Elle écrivit également "Les Heures de la Passion de Notre Seigneur Jésus-Christ", auxquelles sont attribuées d'innombrables bienfaits spirituels, ainsi que le "Livre d'or", dicté par la [[Vierge Marie]] elle-même : "La Reine du Ciel dans le Royaume de la Divine Volonté". Il s'agit d'une exhortation maternelle à vivre dans la Volonté Divine à travers la Mère et la reine de la volonté divine, en trente leçons de la Mère Céleste.{{refnec}}▼
Au début du {{s|XX}}, saint Hannibal Marie Di Francia devint son directeur spirituel et le censeur de ses écrits qui seront régulièrement examinés et approuvés par l'[[Tribunal ecclésiastique|Autorité ecclésiastique]]. Le saint l'encouragea alors à continuer de rédiger les visions qu'elle avait, sans négliger aucun détail. Elle publia alors "L'horloge de la Passion", qu'elle médita chaque matin et en recommanda les prières.{{refnec}}▼
▲En février [[1899]], sur demande de son second directeur spirituel, Don Gennaro de Gennaro, elle commença à rédiger un journal de ses expériences spirituelles dont elle poursuivit la rédaction jusqu'au 28 décembre 1938. Au prix de nombreux efforts, elle en produisit trente-six volumes totalisant {{unité|10000|pages}} environ où elle décrivit les grâces qu'elle reçut, reporta tout ce que lui enseignait le Christ. Ils contenaient aussi d'importantes révélations sur la «sanctification» selon la Volonté Divine. Elle écrivit également "Les Heures de la Passion de Notre Seigneur Jésus-Christ", auxquelles sont attribuées d'innombrables bienfaits spirituels, ainsi que le "Livre d'or", dicté par la [[Vierge Marie]] elle-même : "La Reine du Ciel dans le Royaume de la Divine Volonté". Il s'agit d'une exhortation maternelle à vivre dans la Volonté Divine à travers la Mère et la reine de la volonté divine, en trente leçons de la Mère Céleste.
▲Au début du {{s|XX}}, saint Hannibal Marie Di Francia devint son directeur spirituel et le censeur de ses écrits qui seront régulièrement examinés et approuvés par l'[[Tribunal ecclésiastique|Autorité ecclésiastique]]. Le saint l'encouragea alors à continuer de rédiger les visions qu'elle avait, sans négliger aucun détail. Elle publia alors "L'horloge de la Passion", qu'elle médita chaque matin et en recommanda les prières.
''L'Horloge de la Passion'' est un succès d'édition et subit cinq [[Tirage (imprimerie)|tirages]]<ref name="santiebeati.it" />.
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En [[1926]] il demanda à Luisa d'écrire son [[autobiographie]] qui fut rédigée sous le titre ''Mémoires d'enfance''<ref name="santiebeati.it" />.
Le {{date-|1 juin 1927}}, saint Hannibal Marie décédera sans avoir eu le temps de tout faire publier des écrits de Luisa Piccarreta.{{refnec}}
Le {{date-|7 octobre 1928}} fut achevée à [[Corato]] la construction de la maison des religieuses de la "Congrégation du Divin Zèle". Luisa Piccarreta y fut transférée après la mort de saint Hannibal Marie.{{refnec}}
En 1938, trois de ses écrits sont mis à l'Index par le [[Congrégation pour la doctrine de la foi|Saint-Office]] : elle se soumet au jugement et donne tous ses manuscrits aux autorités ecclésiastiques. Ceux-ci sont alors conservés aux [[archives du Vatican]]<ref name="santiebeati.it" />. Cependant, les volumes un à dix-neuf sont copiés avant d'être remis et reçoivent le ''[[Nihil obstat]]'' d'Hannibal Marie Di Francia, le confesseur de Luisa Piccarreta<ref>{{lien web|url=https://www.crisismagazine.com/vault/contested-will|site=crisismagazine.com|titre=Contested Will|auteur=Mary Jo Anderson|langue=en|date=1 avril 1998}}.</ref>.
Le {{date-|4 mars 1947}}, Luisa Piccarreta mourut à l'âge de 81 ans<ref name="postulator" />, après quinze jours de [[Pneumonie aiguë|pneumonie]]. Une foule importante assiste à ses obsèques<ref name="santiebeati.it" />.
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En 1993, sa dépouille a été transférée au [[sanctuaire de la Vierge grecque]] à Corato<ref name="Thoman 2021" />.
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Le 20 novembre 1994, le [[Saint-Siège]] annonce à l'[[archidiocèse de Trani-Barletta-Bisceglie]] qu'il n'y a pas d'obstacle à l'ouverture officielle de la cause de [[béatification]]<ref name="postulator" />.{{Référence insuffisante}}
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Ce processus [[diocésain]] d'enquête et de documentation, exécuté au sein du [[diocèse]] de Trani-Barletta-Bisceglie-Nazareth, s'est achevé le {{date-|29 novembre 2005}}. Cette phase diocésaine achevée, le dossier est transmis à la [[Congrégation pour les causes des saints]] au Vatican<ref name="santiebeati.it" />.
En [[2007]] commence un examen approfondi des écrits de Luisa Piccarreta, "... pour clarifier des difficultés d'ordre théologique"<ref name="Giovan">{{lien web|langue=en|url=https://www.ewtn.com/expert/answers/Luisa_Piccarreta1112.htm |titre=Letter of the Archbishop of Trani|date=1 Novembre 2012|brisé le=2023-2-3}}</ref>. Cette revue s'avère quelque peu compliquée, du fait que Luisa Piccarreta écrivait dans son dialecte régional
En {{date-|janvier 2023}}, l'étude de l'héroïcité des vertus est toujours en cours. Les textes ne sont pas encore étudiés par la [[Dicastère pour la Doctrine de la foi]], la traduction est achevée mais doit être encore vérifiée. Aucune traduction officielle n'existe dans une autre langue que l'italien<ref>{{lien web|url=https://www.ewtn.com/catholicism/answers/luisa-piccarreta-and-the-divine-will-14286|site=ewtn.com|titre=Luisa Piccarreta & the Divine Will|auteur=Colin B. Donovan, STL|langue=en|date=janvier 2023}}.</ref>.
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