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Depuis 1994, pour le « Carnaval Roi des Arts », Moya participe au carnaval de Nice en créant ou dessinant des grosses têtes et des chars, ou comme directeur artistique<ref>{{Lien web |titre=Les Ymagiers |url=https://www.nicecarnaval.com/le-carnaval-de-nice/les-coulisses/les-ymagiers/ |site=Nice Carnaval, page officielle du carnaval de Nice |consulté le=30 juillet 2023}}</ref>.
Il revient à Taiwan en novembre 1995 pour une exposition personnelle, « The sculpture exhibition of Moya », toujours au Kaohsiung Museum of Fine Arts<ref>{{Lien web |titre=liste des expositions |url=https://www.kmfa.gov.tw/FileDownLoad/FileUpload/20170630134811844629.pdf |format=PDF |site=le site du musée de Taiwan, Kaohsiung Museum of Fine Arts : page 2, numéro 42, exposition du 25 novembre 1995 au 4 février 1996 |consulté le=29 juillet 2023}}</ref>.
Il présente dès 1996 de grandes toiles et des sculptures au MAMAC, le [[Musée d'Art moderne et d'Art contemporain de Nice]]<ref>{{Lien web |titre=MAMAC. Expositions. Musée. |url=https://www.mamac-nice.org/wp-content/uploads/2020/07/ListeExpos_fr.pdf |format=PDF, page 12 : "Patrick Moya. 02 février - 10 mars 1996" |site=site du Mamac, Nice |consulté le=11 juillet 2023}}</ref>.
Après une période non figurative, il invente en 1997 un premier alter ego, autoportrait caricatural inspiré du personnage de [[Pinocchio]] qui lui permet de se représenter dans ses œuvres.
En 2004, la ville de [[Cahors]] lui consacre une exposition monographique à La Chantrerie<ref>{{Ouvrage|titre=MOYA|passage=catalogue d'exposition : 27 aout / 24 septembre 2004|lieu=Cahors|éditeur=Ville de Cahors|date=2004|pages totales=32|consulté le=29 juillet 2023}}</ref>.
En {{date-|juin 2007}} est inaugurée, par [[Christian Estrosi]] alors ministre de l'[[France d'outre-mer|Outremer]], la peinture murale intérieure<ref>{{Lien web |auteur=Martine Sautory |titre=La chapelle de Patrick Moya |url=https://www.lavie.fr/papier/2011/3436/26-la-chapelle-de-patrick-moya-41297.php |accès url=payant |site=La Vie |date=4 juillet 2011 |consulté le=29 juillet 2023}}</ref> d'une chapelle à [[Clans (Alpes-Maritimes)|Clans]], village du [[Haut Pays niçois]] : cette peinture raconte l'histoire de [[Jean le Baptiste|Saint Jean-Baptiste]] à base d'autoportraits de l'artiste<ref>{{Ouvrage|auteur1=Florence Canarelli|titre=La chapelle Moya|lieu=Nice|éditeur=Mélis éditions|date=2006|pages totales=128|isbn=978-2-35210-025-6}}</ref>.
En {{date-|octobre 2008}}, il participe à une exposition internationale intitulée « Rinascimento virtuale » (''Renaissance virtuelle'') qui eut lieu dans le [[Musée national d'anthropologie et d'ethnologie de Florence|musée national d'anthropologie et d'ethnologie]] de la ville de [[Florence]] en Italie<ref>{{Lien web |langue=italien |auteur=Mario Gerosa |titre=Rinascimento Virtuale |url=https://www.libreriadellaspada.com/en/rinascimento_virtuale_9788895144009_torre_di_legno.html |site=Libreria della Spada |date=2008 |consulté le=26 juillet}}</ref>.
En 2011, un [[catalogue raisonné]] parait aux éditions ArtsToArts : 2 tomes, plus de 800 pages, {{nombre|4200|œuvres}} référencées, {{nombre|40|ans}} de création<ref>{{Ouvrage|titre=Patrick MOYA, catalogue raisonné|lieu=Nice|éditeur=Artstoarts|date=2011|pages totales=888|isbn=9782953409222|isbn2=9782953409215|lire en ligne=http://www.artstoarts.com/index.php?option=com_virtuemart&page=shop.product_details&product_id=55&Itemid=154|consulté le=2 tomes des oeuvres majeures de 1971 à 2011 de l'artiste. Préfacé par Claude Fournet et Frédéric Ballester,}}</ref>.
Durant tout l'été 2011, il présente « La civilisation Moya »<ref name=":0">{{Lien web |titre=REPORTAGE : Installation de la Civilisation Moya à La Malmaison |url=https://www.artcotedazur.fr/actualite,109/exposition,110/installation-de-la-civilisation-moya-a-la-malmaison,4320.html |site=magazine Art Côte d'Azur |date=juin 2011 |consulté le=27 juillet 2023}}</ref> au centre d'art [[La Malmaison (Cannes)|La Malmaison]] de [[Cannes]].
En 2012, il expose son « Abecedario » (Abécédaire) au Palazzo Samone de [[Cuneo]] (Italie)<ref>{{Lien web |titre=Cuneo riconosce all'eclettico Moya il contributo alla bellezza di piazza Boves |url=https://www.cuneocronaca.it/cuneo-riconosce-all-039-eclettico-moya-il-contributo-alla-bellezza-di-piazza-boves |site=Cuneo Cronaca |consulté le=16 aout 2023}}</ref>
En février 2013, Moya présente des toiles de très grands formats (réalisées durant plusieurs années pour le [[Festival international du cirque de Monte-Carlo|Festival International du cirque de Monte-Carlo]]) sur le thème du « Moya Circus » au centre Culturel de la ville de [[Saint-Raphaël (Var)|Saint-Raphaël]]<ref>{{Lien web |auteur=Eric Deluard |titre=Moya, clown de l'art et nombriliste de talent |url=https://www.varmatin.com/faits-divers/moya-clown-de-l-art-et-nombriliste-de-talent-337591 |site=quotidien Var Matin |date=9 février 2013 |consulté le=29 juillet 2023}}</ref>.
En 2014, il publie un essai, « l’art dans le nuage », qui est une réflexion sur l'art du futur<ref>{{Lien web |titre=L'art dans le nuage |url=https://www.paris-art.com/lart-dans-le-nuage/ |site=magazine en ligne Paris-art.com |date=2014 |consulté le=26 juillet 2023}}</ref>.
En février 2015, le monde coloré de « Moya en abondance » s’expose à la collégiale [[Collégiale Saint-Pierre-la-Cour du Mans|Saint-Pierre-la-Cour]] du Mans<ref>{{Lien web |auteur=Florence LAMBERT |titre=Le monde coloré de Moya à la collégiale |url=https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/le-mans-72000/le-monde-colore-de-moya-la-collegiale-3184372 |site=quotidien Ouest France |date=10 février 2015 |consulté le=29 juillet 2023}}</ref>.
En avril, encore une exposition « Moya Circus», cette fois à [[Caserte|Caserta]] (Italie), au Museo d'Arte Contemporanea<ref>{{Lien web |titre=Patrick Moya |url=https://1995-2015.undo.net/it/mostra/190085 |site=site UnDo.net |date=29 avril 2015 |consulté le=29 juillet 2023}}</ref>.
Parue en {{date-|mai 2015}}, une nouvelle [[biographie]] réactualisée de l'artiste, « Le cas Moya», suit les différentes phases de son travail.
En octobre, « Moya avance masqué », titre d'une nouvelle exposition à [[Melun]] : « Moya a choisi le thème du masque, qui traverse toute son œuvre »<ref>{{Lien web |titre=Moya avance masqué |url=https://www.artistescontemporains.org/evenements_artistiques/patrick-moya-avance-masque/ |site=artistescontemporains.org |date=17 octobre 2015 |consulté le=29 juillet 2023}}</ref>.
En décembre, il retrouve sa ville natale de [[Troyes]] pour une installation in situ : il peint toute l'exposition sur les murs de la [[Maison du Boulanger]]<ref>{{Lien web|titre=L'univers de Patrick Moya à la Maison du Boulanger {{!}} Canal 32 |url=https://www.canal32.fr/thematiques/culture/sujet/lunivers-de-patrick-moya-a-la-maison-du-boulanger.html |site=www.canal32.fr |consulté le=2023-06-13}}</ref>, peintures murales qui seront effacées à la fin de l'exposition<ref>{{Ouvrage|auteur1=Florence Canarelli|titre=Le cas Moya|lieu=Nice|éditeur=éditions Baie des Anges|date=décembre 2017|pages totales=356|isbn=9782917790809}}</ref>.
En 2016, il est choisi par le conservateur du [[Palais ducal de Mantoue|Palazzo Ducale]] de [[Mantoue]], [[Peter Assmann]], pour une grande exposition monographique dans la Cantina, sous le titre « Il laboratoire della metamorfosi »<ref>{{Lien web |langue=it |titre=Patrick Moya. Il Laboratorio delle Metamorfosi |url=https://www.provincia.mantova.it/extendedsearch_thematic_news.jsp?area=102&ID_LINK=1243&page=1020&IDCTX=12488&id_context=12488&COL0001=6 |site=Le site de la Province de Mantova (Mantoue) |date=11 mars 2016 |consulté le=26 juillet 2023}}</ref>.
En juin, il invite à un « Voyage au Moya Land », au [[Château de Madame de Graffigny]], à [[Villers-lès-Nancy]]<ref>{{Lien web |auteur=Lysiane GANOUSSE |titre=Villers-lès-Nancy : Moya, exhibitionniste avec le sourire |url=https://www.estrepublicain.fr/edition-de-nancy-agglomeration/2016/08/21/villers-les-nancy-dernier-jour-de-l-exposition-moya-a-graffigny |site=Est Républicain |date=21 août 2016 |consulté le=29 juillet 2023}}</ref>.
En {{date-|décembre 2017}}, le département des [[Alpes-Maritimes]] lui consacre une rétrospective<ref>{{Lien web |auteur=Pauline Weber |titre=Dans la tête de Patrick Moya |url=https://www.beauxarts.com/expos/dans-la-tete-de-patrick-moya/ |site=Beaux Arts magazine |date=15 février 2018 |consulté le=29 juillet 2023}}</ref> dans son nouvel espace, la Galerie Lympia, sur le port de [[Nice]] : sous le titre « Le Cas Moya », la scénographie de l’exposition présente les différentes facettes de l’œuvre de Moya<ref>{{Lien web |titre=Le Cas Moya |url=https://espacelympia.departement06.fr/archives/le-cas-moya-20094.html |site=Site du Département 06 |date=19 décembre 2017 |consulté le=11 juillet 2023}}</ref>.
En {{date-|avril 2018}}, Moya expose à [[Turin]], dans le Palazzo Saluzzo Paesana, sur le thème « Dolly mon amour »<ref>{{Lien web |titre="Dolly mon amour" |url=https://www.palazzosaluzzopaesana.it/dolly-mon-amour/ |site=le site du Palazzo Saluzzo Paesana, Turin, Italie |date=30 mars 2018}}</ref>{{,}}<ref>{{Lien web |titre=Patrick Moya – Dolly mon amour |url=https://www.artribune.com/mostre-evento-arte/patrick-moya-dolly-mon-amour/ |site=Art Tribune Italie |date=29 mars 2018 |consulté le=29 juillet 2023}}</ref>
En {{date-|mars 2019}}, pour le Palais Royal de Caserta ([[Palais de Caserte|Reggia di Caserta]]), il expose durant un mois, sous le titre « Moya Royal Transmedia »<ref>{{Lien web |titre=Caserta, l’incredibile arte di Patrick Moya |url=https://informareonline.com/caserta-lincredibile-arte-di-patrick-moya/ |site=INFORMARE, magazine de libera informazione |date=28 février 2019 |consulté le=29 juillet 2023}}</ref>, plusieurs peintures de très grand format, une série de portraits « néo-classiques » (ses personnages en tenue « d'époque » en référence aux Bourbons) ainsi que des vidéos montrant son univers virtuel<ref>{{Lien web |langue=it |titre=«Moya Royal Transmedia» in mostra alla Reggia di Caserta |url=https://www.ilmattino.it/cultura/mostre/moya_royal_transmedia_mostra_reggia_caserta-4307942.html |site=le journal Il Matino |date=18 février 2019 |consulté le=26 juillet 2023}}</ref>.
En {{date-|octobre 2019}}, c'est l'inauguration de la « Nouvelle Chapelle Moya », peinte par l'artiste sur murs et plafond (dédiée à [[Saint Sébastien]] bien que non consacrée), dans le village du [[Le Mas|Mas]] ([[Alpes-Maritimes|Alpes Maritimes]]), en présence du maire, Ludovic Sanchez et de Jérome Viaud, maire de [[Grasse]]<ref>{{Ouvrage|auteur1=Florence Canarelli|titre=La Nouvelle Chapelle Moya|lieu=Nice|éditeur=éditions Baie des Anges|date=octobre 2019|pages totales=80|isbn=}}</ref>.
En avril 2020, à la BMVR [[Louis Nucéra|Louis Nucera]] de Nice, l’exposition « Moya fait son Carnaval » est « une immersion dans l’univers réel et virtuel de l’artiste plasticien niçois Patrick Moya. Passionné depuis toujours par le Carnaval de Nice, il a fait partie certaines années des « ymagiers » qui dessinent les chars. »<ref>{{Lien web |auteur=Florence Buades |titre=Carnaval de Nice 2020 : une édition couture sous l’égide du roi de la mode |url=https://www.lefigaro.fr/voyages/carnaval-de-nice-2020-une-edition-couture-sous-l-egide-du-roi-de-la-mode-20200128 |site=Le Figaro |date=février 2020 |consulté le=27 aout 2023}}</ref>
Deux mois plus tard, il rend hommage à son ancien galeriste niçois, Jean Ferrero, dans le cadre d'une exposition qui lui est consacrée, « Les années joyeuses », en peignant in situ une peinture murale éphémère,<ref>{{Lien web|titre=Les années joyeuses. Jean Ferrero & friends, Arman, Ben, César, etc. Vincent Giovannoni |url=https://www.arnaudbizalion.fr/photographie/110-les-annees-joyeuses-jean-ferrero-friends-9782369801870.html |site=Arnaud Bizalion Editeur |consulté le=2023-06-13}}</ref> sorte de cabinet de curiosités géant, dans une salle du [[Musée Masséna]] de [[Nice]]. Il est l'invité de [[Guillaume Durand]] sur [[TV5 Monde]] pour parler de sa peinture éphémère<ref>{{Lien web |titre=''300 Millions de critiques'' au Musée Masséna à Nice |url=https://presse.tv5monde.com/div300-millions-de-critiques-au-musee-massena-a-nicebr-les-samedis-6-13-et-20-juin-a-19h05divdivnbspdiv/ |site=TV5 Monde, émission ''300 Millions de critiques'' |date=13 juin 2020 |consulté le=29 juillet 2023}}</ref>.
En novembre 2020 débute, au centre d’art L’Artistique à Nice, une nouvelle exposition intitulée « la Télé de Moya : Holala quelle histoire !» sur ses premières réflexions de l’époque où il était étudiant à la [[Villa Arson]], qui serviront de base à son œuvre à venir. En résumé, la télévision en direct et les nouveaux réseaux à venir bouleverseront l’histoire de l’art, transformant le créateur en créature<ref>{{Ouvrage|titre=Le Cas MOYA / L'exposition|passage=page 69|lieu=Gand|éditeur=Snoeck|date=2017|pages totales=104|isbn=978-94-6161-431-5|lire en ligne=https://lessaisons.fr/livre/13106831-le-cas-moya-patrick-moya-snoeck}}</ref> : « les médias d'information transforment tout en créature. Pour la première fois dans l'histoire de l'art, la créature est sans créateur »<ref>{{Lien web |titre=La télé de Moya. Oh la la, quelle histoire |url=https://www.nice.fr/fr/l-agenda/la-tele-de-moya?type=events#:~:text=Jusqu%27au%2023%20mars%202021,Artistique%20virtuel%20de%20Second%20Life. |site=site de la ville de Nice |date=28 novembre 2020 |consulté le=26 juillet 2023}}</ref>.
En 2022, il signe avec la maison [[Christian Dior Couture]] pour la création d’un lapin et d’une calligraphie originale déclinant le nom de DIOR, qui seront utilisés dans le cadre de la collection printemps/ été 2023 de [[Baby Dior]]<ref>{{Article|titre=Baby Dior Printemps 2023|périodique=Le Guide de l'Avenue Montaigne|date=9 novembre 2022|lire en ligne=https://avenuemontaigneguide.com/baby-dior-printemps-2023/}}</ref>.
Trois expositions personnelles au printemps 2023 : « Moyaland »<ref>{{Lien web |titre=Patrick Moya expose au château de Courcelles |url=https://www.republicain-lorrain.fr/culture-loisirs/2023/04/19/patrick-moya-expose-au-chateau-de-courcelles |site=Le Républicain lorrain |date=19 avril |consulté le=16 juillet 2023}}</ref>, au [[Château de Courcelles (Montigny-lès-Metz)|Château de Courcelles]] à [[Montigny-lès-Metz]]; « Moya, le petit céramiste »<ref>{{Lien web |titre=L'artiste Patrick Moya à l'honneur à la maison de la céramique "Terra Rossa" de Salernes |url=https://www.varmatin.com/culture/moya-expose-son-univers-colore-a-terra-rossa-849561 |site=Var Matin |date=24 mai 2023 |consulté le=16 juillet 2023}}</ref> à la maison de la céramique Terra Rossa de [[Salernes]], et « Moya, le Maitre des avatars »''<ref>{{Lien web |titre=EXPOSITION « MOYA, MAÎTRE DES AVATARS » |url=https://www.cabries.fr/event/exposition-moya-maitre-de-avatars/ |site=Ville de Cabries |consulté le=16 juillet 2023}}</ref>'' au Château-musée Edgar Mélik de [[Cabriès|Cabries]].
Le 16 juin 2023, inauguration par [[Christian Estrosi]], maire de Nice, de la « Grande Dolly Bleue », sculpture en résine de {{unité|240|cm}} de hauteur, installée sur la Place du Pin<ref>{{Lien web |auteur=Célia Soddu |titre=La nouvelle brebis "Dolly" de Patrick Moya, emblème de la communauté LGBTQIA+, inaugurée à Nice |url=https://www.nicematin.com/arts/la-brebis-le-peintre-et-la-communaute-lgbt-855162 |site=Nice Matin |date=17 juin 2023 |consulté le=16 juillet 2023}}</ref>.
== Performances et installations ==
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