« Thomas Clay » : différence entre les versions

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hop on le remet, les CAOU de 2019 se réveillent étrangement après les modifications récentes
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allègement: 3 fois écrit "son intégrité n'est pas remise en cause", étrange d'insister autant..
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{{refins|Il siège régulièrement dans des tribunaux CIRDI, par exemple dans l'affaire Nova v. Roumanie<ref>{{Lien web|langue=anglais|titre=Nova Group Investments, B.V. v. Romania (ICSID Case No. ARB/16/19)|url=https://icsid.worldbank.org/fr/Pages/cases/casedetail.aspx?CaseNo=ARB/16/19|site=icsid.worldbank.org|date=}}</ref>, ou Serter v. France<ref>{{Lien web|titre=Serter v. France {{!}} Investment Dispute Settlement Navigator {{!}} UNCTAD Investment Policy Hub|url=https://investmentpolicy.unctad.org/investment-dispute-settlement/cases/510/serter-v-france|site=investmentpolicy.unctad.org|consulté le=2019-12-24}}</ref>, dans lequel il a été nommé par la France comme coarbitre dans le premier arbitrage CIRDI intenté contre le pays. Arbitre nommé par [[Sergueï Pougatchev]] dans la procédure qui l’a opposée à la Russie, il s’oppose à l’interprétation que font ses coarbitres du [[Traité bilatéral d'investissement]] entre la France et la Russie et émet une opinion dissidente annexée à la sentence qui a débouté [[Sergueï Pougatchev]] de sa demande de {{nombre|14.5|milliards}} de dollars<ref>{{Article |langue=français |auteur1=Fabrice Nodé-Langlois |titre=Pougatchev contre la Russie : une manche judiciaire perdue pour l'oligarque réfugié en France |périodique=Le Figaro |date=24 juin 2020 |lire en ligne=https://www.lefigaro.fr/conjoncture/pougatchev-contre-la-russie-une-manche-judiciaire-perdue-20200623 |pages= }}</ref>.|date=avril 2024}}
 
En janvier 2023, la [[Cour d'appel de Paris]] a annulé une sentence arbitrale rendue par un tribunal arbitral présidé par Thomas Clay dans le cadre d'un litige entre [[Bolloré Transport & Logistics|Bolloré Logistics]] et le [[Port autonome de Douala]] au [[Cameroun]], tout en indiquant ne pas "remettre en cause l’intégrité intellectuelle et professionnelle de l’intéressé"<ref>Cour d’appel de Paris, arrêt du 10 janvier 2023, n° RG 20/18330.</ref>. Lors de la phase finale de l'arbitrage, le Port autonome de Douala a formulé une demande de récusation de l'arbitre, Thomas Clay, à la suite de la publication d'un éloge funèbre au [[Recueil Dalloz]], en 2021, lors du décès d'[[Emmanuel Gaillard (juriste français)|Emmanuel Gaillard]], conseil de la partie adverse. Dans cet hommage cité par [[Le Canard enchaîné]], l'arbitre parle de celui qui avait été membre de son jury de thèse comme étant devenu son {{Citation|ami}} et précisant qu’il l’{{Citation|aimait}} et qu’il le {{Citation|consultait avant toute décision importante}}. Tout en indiquant que l’« intégrité intellectuelle et professionnelle n'était pas en cause », laLa Cour d’appel de Paris a annulé le 10 janvier 2023 la sentence au nom de ces {{Citation|liens personnels étroits}}, même s’ils étaient notoires<ref>{{Lien web |langue=fr |auteur=Le360 Afrique (avec AFP) |titre=Cameroun: concession portuaire, un arbitrage favorable à Bolloré annulé à Paris |url=https://afrique.le360.ma/economie/cameroun-concession-portuaire-un-arbitrage-favorable-a-bollore-annule-a-paris_ZREX2JJ3TZG2TDBPVKJXGHHQWY/ |site=Le 360 Afrique |date=2023-01-20 |consulté le=2023-01-21}}</ref>. Contacté par le Canard enchaîné, Thomas Clay répond que {{Citation|la sentence qui a été annulée a été rendue en toute impartialité}} et rappelle que la Cour d'appel a mentionné que {{Citation|[s]on intégrité intellectuelle et professionnelle n'[était] pas en cause}}<ref>{{Article|auteur1=Marine Babonneau|titre=Sale coup pour l'arbitre de Bolloré|périodique=Le Canard enchaîné|date=2023-01-18}}</ref>. Un pourvoi devant la Cour de cassation est pendant.{{Refnec|date=4 avril 2024}}
 
==== Présence médiatique ====
Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/wiki/Thomas_Clay ».