« Pierre Soulages » : différence entre les versions

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À [[Nara]] et à [[Kyoto]], les révélations esthétiques se succèdent pour le peintre attiré par l’architecture traditionnelle en bois des temples et des résidences impériales. Au [[Kinkaku-ji|Pavillon d'or]], ce sont la disposition des rochers dans le lac et le rapport à l'espace qu'ils dessinent qui le séduisent. De même que le célèbre jardin sec du [[Ryōan-ji]] voisin. Il aime, évoquant son {{Citation|émotion infinie}}, ce rectangle parcouru de sillons de fin gravier, cet espace né de l'agencement des pierres<ref group="E" name="cheron"/> et y voit une construction géométrique et métaphysique{{sfn|Séguéla|2022|p=23}}.
 
{{Citation bloc|Quand j’ai vu Ryōan-ji et Kinkaku-ji à Kyoto, cela m’a rappelé mes souvenirs d’enfance.|Pierre Soulages<ref{{sfn|de groupSaint-Cheron|Séguéla|2019|p="E" name="cheron"/>66}}}}
 
En 1984, à l'initiative du mécène [[Tsujii Takashi]], une rétrospective est consacrée à Soulages au musée d’art Seibu de Tokyo. Les Outrenoirs présentés sont l'occasion d'un nouveau rapprochement avec l'art traditionnel de la laque<ref group="E" name="cheron"/>.
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