« François Vérove » : différence entre les versions

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=== Mort et identification ===
L'enquête de la brigade criminelle, reprise ensuite au sein de cette brigade par l'unité d'analyse criminelle et des affaires classées, s'était orientée vers un criminel issu des forces de l'ordre en activité à l'époque des faits à cause de plusieurs éléments qui s'accumulaient pourtant depuis des décennies : utilisation à plusieurs reprises d'une carte professionnelle de policier ou de gendarme sur laquelle figurait la mention « sous-officier » (utilisation lors de laquelle il avait même donné son véritable prénom lors d'une fête dans les années 1980), d'un [[talkie-walkie]], dedes [[menottes]] professionnelles, maîtrise du jargon policier (corroboré par plusieurs témoins), soupçon de connaissance précise des procédures et manières d'opérer des enquêteurs par sa capacité à échapper à une enquête très serrée<ref name="Le Monde" />.
 
Dans l'affaire du double meurtre du [[Le Marais (quartier parisien)|Marais]] en 1987 ([[affaire Politi-Müller]]), il avait probablement donné à Irmgard Müller une fausse identité, Élie Lauringe, avec une fausse adresse dans le [[13e arrondissement de Paris|{{13e}} arrondissement de Paris]] qui correspondait à un ancien local de la police. En outre, la dernière affaire imputée au « Grêlé » avait eu lieu à [[Saclay]] près d'un centre d'entraînement de la gendarmerie.
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