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=== Guerre d'Algérie ===
Il rentre en Algérie en {{date-|mars 1954}} et crée, avec huit autres militants, qui devinrent les « chefs historiques du FLN »<ref>À l'origine de la création du FLN, ces neuf militants prendront le nom de « chefs historiques du FLN », ou les « historiques ». Ils sont, avec Mohamed Boudiaf, [[Hocine Aït Ahmed]], [[Ahmed Ben Bella]], [[Krim Belkacem]], [[Mostefa Ben Boulaïd]], [[Larbi Ben M'Hidi]], [[Rabah Bitat]], [[Didouche Mourad|Mourad Didouche]] et [[Mohamed Khider]].</ref>,Le [[Front de libération nationale (Algérie)|Fln]] avec pour objectif l'indépendance de l'Algérie par la lutte armée, le [[Comité révolutionnaire d'unité et d'action]] (CRUA) dont il est élu président lors de lad'une réunion {{refnec|qui s'est tenue dans une modeste villa du [[El Madania|Clos Salambier]] appartenant à [[Lyès Deriche]]}}.
Après l'échec du CRUA, il fait partie, une nouvelle fois comme coordonnateur général, du « groupe des 22 », quifut organiseorganisée la préparation de la lutte armée désormais certaine<ref name=elmo/>. Titulaire de la carte {{Numéro}}1 du [[Front de libération nationale (Algérie)|Front de libération nationale]] (FLN), créé pour rassembler dans la lutte les différentes forces nationalistes, il. estSera décidé comme date du déclenchement des « hostilités » le [[Toussaint rouge|{{1er}} novembre 1954]] — date qui marquemarquant le début de la [[guerre d'Algérie]].
À l'issue du [[Congrès de la Soummam]], en {{date-|août 1956}} il devient membre du [[Conseil national de la révolution algérienne]] (CNRA). Le {{date-|22 octobre 1956}}, il est arrêté, avec d'autres chefs du FLN, par l'[[armée française]] à la suite du détournement de l’avion civil marocain qui le menait vers la [[Tunisie]]. Il dirige alors depuis sa prison la fédération de France du FLN et est nommé en 1958 ministre d’État du [[Gouvernement provisoire de la République algérienne]] (GPRA), à sa création, puis vice-Président en 1961<ref name=elmo/>. Il est libéré le {{date-|18 mars 1962}} après les [[accords d'Évian]].
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