« Caroline De Haas » : différence entre les versions

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→‎Controverses et critiques : Ajout de l'affaire de licenciement abusif à Telerama induite par Caroline de Haas
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En {{date-|février 2018}}, elle affirme qu'{{citation|un homme sur deux ou trois est un agresseur}} sexuel<ref>[https://www.20minutes.fr/societe/2221919-20180215-homme-deux-trois-agresseur-militante-feministe-caroline-haas-balance-chiffres « "Un homme sur deux ou trois est un agresseur" ? La militante féministe Caroline de Haas balance des chiffres »], ''20minutes.fr'', 15 février 2018.</ref>{{,}}<ref>{{Lien web |titre=La réponse de "L'Obs" à Caroline De Haas: "Je découvre que j'ai été enregistrée" |url=https://www.lexpress.fr/actualite/medias/un-homme-sur-deux-ou-trois-est-un-agresseur-l-obs-repond-a-caroline-de-haas_1988540.html |site=lexpress.fr |date=28 février 2018 |consulté le=28 mai 2019}}.</ref>. Elle est très critiquée pour ces propos, notamment par [[Marlène Schiappa]]<ref>[https://www.marianne.net/societe/video-un-homme-sur-deux--agresseur-caroline-de-haas-recadree-par-marlene-schiappa "Un homme sur deux ou trois est un agresseur" : Caroline De Haas recadrée par Marlène Schiappa], marianne.net, 19 février 2018</ref>, qui lui répond que {{citation|mathématiquement, arithmétiquement, ce chiffre-là est faux}}, considérant qu'il est {{citation|inopérant et contre-productif de jeter comme ça en l’air des chiffres}}<ref>{{Lien web |langue=fr |titre="Un homme sur deux ou trois est un agresseur": Schiappa répond à Haas |url=https://www.bfmtv.com/politique/gouvernement/un-homme-sur-deux-ou-trois-est-un-agresseur-schiappa-repond-a-haas_AV-201802180030.html |site=BFMTV |consulté le=2021-06-17}}</ref>, mais aussi par [[Dominique Besnehard]] qui, en {{date|mars 2018}}, déclare à la télévision avoir envie de {{citation|la gifler}}. Elle porte plainte contre lui quelques jours plus tard<ref>{{Lien web |auteur=Cassandra de Carvalho |titre=Dominique Besnehard a envie "de gifler" Caroline de Haas, elle porte plainte |url=https://www.huffingtonpost.fr/2018/03/02/dominique-besnehard-a-envie-de-gifler-caroline-de-haas-elle-porte-plainte_a_23375367/ |site=Le Huffington Post |date=2 mars 2018 |consulté le=10 mars 2018}}.</ref>. Après ses déclarations sur [[France Info]] concernant l'[[Nicolas Hulot|accusation d'agression sexuelle portée contre Nicolas Hulot]] par le magazine ''[[Ebdo]]'', il lui est reproché de colporter des rumeurs<ref>[https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/le-rendez-vous-du-mediateur/l-affaire-hulot-l-invitee-feministe-caroline-de-haas-fait-bondir-les-auditeurs_2591510.html « "L'affaire Hulot" : l'invitée féministe Caroline de Haas fait bondir les auditeurs »] sur ''francetvinfo.fr''.</ref>{{,}}<ref>[https://www.marianne.net/societe/affaire-nicolas-hulot-et-la-caroline-de-haas-lance-de-nouvelles-rumeurs-de-harcelement « Affaire Nicolas Hulot : et là, Caroline de Haas lance de nouvelles rumeurs de harcèlement »] sur ''marianne.net''.</ref>. Elle avait notamment déclaré : {{citation|J’ai eu des amies qui m’ont dit qu’elles avaient entendu des victimes parler de faits de harcèlement. Au moins deux ou trois}}. Se disant fatiguée des messages haineux à son encontre, elle ferme ses comptes Twitter et Facebook avant de les rouvrir quelques mois plus tard et de contribuer à la médiatisation de l'affaire dite de la [[Ligue du LOL]]<ref>{{Lien web |auteur=Peggy Sastre |titre=Subi ou provoqué par Caroline de Haas, le harcèlement en ligne est une abomination |url=https://www.slate.fr/story/158407/caroline-de-haas-harcelement-en-ligne-reseaux-sociaux |site=Slate |date=7 mars 2018 |consulté le=10 mars 2018}}.</ref>.
 
En 2019, après une enquête menée par le cabinet Egaé sur demande de Caroline De Haas, François (prénom modifié à sa demande), ancien journaliste de Télérama, a été licencié . L'enquête, initiée par un questionnaire anonyme, a abouti à des accusations floues et contestées de comportements sexistes. François a contesté son licenciement pour "faute simple" devant les prud'hommes et a remporté son procès en 2021, une décision confirmée en appel en novembre 2023. Le tribunal a jugé que les accusations ne reposaient sur aucune preuve concrète. Télérama a été condamné pour licenciement abusif et doit verser 90 000 euros de dommages-intérêts à François.<ref>{{Lien web |auteur=Bussigny, N. |titre=Les méthodes controversées de Caroline De Haas : retour sur le licenciement d’un journaliste de Télérama. |url=https://factuel.media/societe/articles/les-methodes-controversees-de-caroline-de-haas-retour-sur-le-licenciement-d_tco_20587472 |date=2024, 21 juillet}}</ref>
 
{{Pertinence détail|date=juillet 2022|Le {{date-|1 novembre 2019}}, Caroline De Haas signe une tribune appelant à une « marche contre l'[[islamophobie]] », publiée dans ''Libération,'' dans laquelle figure parmi les signataires l’imam Abou Anas qui, dix ans auparavant, avait légitimé le viol conjugal. Devant la controverse, Caroline De Haas finit par retirer son nom de cette tribune tout en appelant à participer au cortège. Elle se justifie dans un billet de blog sur ''[[Mediapart]]''<ref>{{Lien web|langue=fr|auteur1=Laury-Anne Cholez|titre=Voici pourquoi ils ont marché contre l'islamophobie|url=https://www.lesinrocks.com/2019/11/10/actualite/societe/voici-pourquoi-ils-ont-marche-contre-lislamophobie/|site=lesinrocks.com|date=10 novembre 2019}}.</ref>.}}
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