« Simone Bonnafous » : différence entre les versions

Contenu supprimé Contenu ajouté
Scpl1 (discuter | contributions)
Suppression d'une phrase en doublon et de la mention de "thèse en histoire" qui était erronée. Actualisation des actions de Simone Bonnafous de ces dernières années (ajout d'un paragraphe). Ajout de liens hypertextes vers les sites web des associations.
Balises : Révoqué Éditeur visuel Vérification de modification (références) activé Vérification de modification (références) refusée (incertain)
pas de liens externes dans le texte WP:LE
Balise : Annulation
Ligne 12 :
Après une thèse de troisième cycle relative au [[congrès de Metz]] du [[Parti socialiste (France)|Parti socialiste]], elle est recrutée par l'[[Université Paris-Est Créteil Val-de-Marne|université Paris-Est Créteil (UPEC)]] en [[1980]] comme [[maître de conférences]] en expression-communication à la faculté d'[[Licence d'administration économique et sociale|administration économique et sociale]] où elle dispense des cours de culture générale, de note de synthèse et de communication à destination d'adultes qui préparent les concours de la fonction publique.
 
En [[1990]], Simone Bonnafous soutient sa thèse d’État en Histoire sur le discours sur les immigrés et l'immigration dans la presse française de [[1974]] à [[1984]] (sous la direction de Jean Mazaleyrat) à l'Université Paris 4<ref>{{Lien web |titre=theses.fr |url=https://www.theses.fr/1989PA040150}}</ref>. Le président de l'université lui propose d'intégrer l'équipe de direction où elle devient assesseur à la communication et crée le service de communication de l'UPEC. Parallèlement, elle est élue dans les différents conseils centraux ([[Conseil d'administration|CA]] et [[Université en France#Commission de la formation et de la vie universitaire|CEVU]]).
 
En [[1992]], elle cofonde le département de communication politique et publique où s'ouvrent une licence, une maîtrise, puis une formation continue et un [[Diplôme d'études supérieures spécialisées|DESS]] et devient professeur au sein de ce département de la faculté des lettres.
Ligne 29 :
 
À ce titre, et entre autres dossiers dont elle a la charge, elle met en œuvre la [[loi relative à l'enseignement supérieur et à la recherche]] de 2013 qui rend obligatoires les regroupements d’établissements sur tout le territoire ; elle lance le processus d’accréditation<ref>{{Légifrance|base=JORF|numéro=ESRS1331846A|titre=Arrêté du 22 janvier 2014 fixant les modalités d'accréditation d'établissements d'enseignement supérieur}}</ref> des établissements en lieu et place de l’évaluation des maquettes de formation et porte une réforme du doctorat<ref>{{Légifrance|base=JORF|numéro=MENS1611139A|titre=Arrêté du 25 mai 2016 fixant le cadre national de la formation et les modalités conduisant à la délivrance du diplôme national de doctorat}}</ref> et surtout du master<ref>{{Légifrance|base=JORF|numéro=MENX1631939L|titre=Loi {{numéro|2016-1828}} du 23 décembre 2016 portant adaptation du deuxième cycle de l'enseignement supérieur français au système Licence-Master-Doctorat}}</ref> qui rapproche la France des autres pays européens, en mettant fin à la sélection au milieu du diplôme de master.
 
En 2014, ses pratiques et celles de la ministre Fioraso ont été violemment attaquées {{refnec|par certains comme relevant d’un « néolibéralisme autoritaire »}}.
 
Nommée inspectrice générale le {{date-|12 avril 2017}} par le conseil des ministres, elle est remplacée par {{Lien par élément|Q95232884}} (par intérim).
Ligne 38 ⟶ 40 :
 
Du {{date-|1 septembre 2019}} au {{date-|6 janvier 2020}}, elle occupe les fonctions d'administratrice provisoire de l'[[université d'Aix-Marseille]] (AMU), à la suite du départ du président Yvon Berland, avec pour mission de gérer les affaires courantes et d'organiser les élections des conseils centraux et nouveau président<ref>{{Lien web|titre=Conseil d'administration du 29 août 2019 {{!}} Direction des affaires juridiques et institutionnelles|url=https://daji.univ-amu.fr/public_content/conseils-administration/deliberations-ca/715|site=daji.univ-amu.fr|consulté le=2020-01-07}}</ref>.
 
De {{date-|janvier 2020}} à son départ à la retraite en {{date-|novembre 2021}}, elle est rectrice déléguée pour l'enseignement supérieur, la recherche et l'innovation de la [[Chancellerie des universités de Paris|région académique Île-de-France]].
 
=== Rectrice enseignement supérieur, recherche et innovation pour l'Ile de France ===
En février 2020, elle est nommée<ref>{{Lien web |titre=Décret du 5 février 2020 portant nomination de la rectrice déléguée pour l'enseignement supérieur, la recherche et l'innovation de la région académique Île-de-France - Mme BONNAFOUS (Simone) |url=https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000041536100 |site=www.legifrance.gouv.fr |consulté le=2023-05-23}}</ref> rectrice déléguée pour l'enseignement supérieur, la recherche et l'innovation de la [[Chancellerie des universités de Paris|région académique Île-de-France]] et inaugure donc cette nouvelle fonction. Elle y reste jusqu'à son départ en retraite en novembre 2021.
 
=== Investissement associatif ===
Le 1er novembre 2021, elle fait valoir ses droits à la retraite et devient alors « référente insertion académique et professionnelle » pour deux associations :  d’une part le réseau associatif [https://reseau-mens.org/ MEnS] (le réseau des établissements engagés pour l’accueil et l’accompagnement des étudiants et chercheurs en exil<ref>{{Lien web |langue=en |titre=RÉSEAU MEnS – Le réseau des établissements engagés pour l'accueil des étudiants en exil |url=https://reseau-mens.org/ |consulté le=2023-05-23}}</ref>) qui regroupe 52 universités et écoles accueillant les réfugiés dans des DU passerelles financés par le [[Ministère de l'Enseignement supérieur (France)|Ministère de l'Enseignement supérieur]] et la recherche et d’autre part, [Jesuit Refugee France<ref>{{Lien web |langue=fr-FR |titre=ACCUEIL - JRS France |url=https://www.jrsfrance.org/,%20https://www.jrsfrance.org/ JRS|consulté France] (Jesuit Refugee Service)le=2023-05-23}}</ref>. C’est dans ce cadre qu’avec plusieurs autres associations de soutien aux réfugiés, elle se mobilise tout particulièrement pour faciliter la reprise d’études ou l’exercice professionnel des réfugiés ayant déjà accompli dans leur pays d’origine des parcours dans le domaine de la santé.
 
Elle continue par ailleurs à apporter son soutien à l’[https://afdesri.fr/ AFDESRI], l’Association pour les Femmes Dirigeantes de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, association qu’elle avait contribué à fonder en 2014.
 
=== Médiatrice et membre du CESPMM ===
Depuis janvier 2024, Simone Bonnafous est médiatrice de l’académie de Paris pour l’enseignement supérieur. Elle a été nommée par un arrêté du 5/12/203 du ministère de l’éducation nationale et de l’enseignement supérieur, paru au BO  n° 1 du 4/1/2024.<ref>{{Lien web |langue=fr |titre=Nominations |url=https://www.education.gouv.fr/bo/2024/Hebdo1/MENB2333587A |site=Ministère de l'Education Nationale |consulté le=2024-11-06}}</ref>
 
Elle continue par ailleurs à apporter son soutien à l’[https://afdesri.fr/ AFDESRI]l’AFDESRI, l’Association pour les Femmes Dirigeantes de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, association qu’elle avait contribué à fonder en 2014.
Depuis juin 2024, elle est également membre du Comité Ethique et Stratégique de Parcoursup et Mon Master (CESPMM). Elle a été nommée par un arrêté du 7 juin 2024 du ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche, paru au JO du 9 juin 2024.<ref>{{Ouvrage|titre=Arrêté du 7 juin 2024 portant nomination au comité éthique et scientifique Parcoursup et Mon Master|lire en ligne=https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000049676632|consulté le=2024-11-06}}</ref>
 
== Publications ==
Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/wiki/Simone_Bonnafous ».