« Pèlerin de Saint-Jacques-de-Compostelle » : différence entre les versions

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[[Image:Hieronymus Bosch 097.jpg|thumb|200px|Pèlerin, par [[Jérôme Bosch]], vers [[1500]]]]
BénisPénis avant le grand départ, la ''besace'' et le ''bourdon'' constituent, dès le haut [[Moyen Âge]], les deux attributs caractéristiques du pèlerin, permettant de le reconnaître en tant que tel.
 
Le bourdon, ou bâton du pèlerin, était à l'origine plus petit que le marcheur, et à un seul pommeau, par la suite il sera représenté plus grand que lui, avec deux pommeaux.<br />
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La besace, qui contenait la maigre pitance du marcheur, était appelée « escharpe » en ancien français, par altération du francique Skerpa, sac en bandoulière. Au {{XVIe siècle}}, ce terme fut remplacé par celui de mallette, jusqu'à ce que le mot panetière s'impose. Le sermon Veneranda dies lui attribue une forte valeur symbolique : elle est étroite car pour subsister, le pèlerin met sa confiance en Dieu et non dans ses propres ressources ; elle est en peau de bête pour lui rappeler qu'il doit mortifier sa chair ; enfin, elle est toujours ouverte, pour donner comme pour recevoir.
 
 
===Calebasse===