Terville
Terville, Terwen en Hochdeutsch, est une commune française située dans le département de la Moselle, en région Grand Est.
Terville | |
Église Saint-Sébastien. | |
Blason |
|
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Grand Est |
Département | Moselle |
Arrondissement | Thionville |
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Portes de France-Thionville |
Maire Mandat |
Olivier Postal 2020-2026 |
Code postal | 57180 |
Code commune | 57666 |
Démographie | |
Gentilé | Tervillois |
Population municipale |
7 456 hab. (2021 ) |
Densité | 1 947 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 20′ 43″ nord, 6° 08′ 05″ est |
Altitude | Min. 155 m Max. 188 m |
Superficie | 3,83 km2 |
Type | Ceinture urbaine |
Unité urbaine | Thionville (banlieue) |
Aire d'attraction | Luxembourg (partie française) (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Thionville |
Législatives | Huitième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | www.terville.fr |
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C’est une ville du plat pays thionvillois qui est attenante à Thionville, ses habitants sont appelés les Tervillois et sont au nombre de 7456 en 2021.
Géographie
modifierLocalisation
modifierLa commune de Terville se situe dans le Nord-Est de la France, entre Metz et Luxembourg-Ville, à environ trente kilomètres de chacun. Elle jouxte Thionville, deuxième ville de Moselle en termes de population.
Le territoire communal de Terville est enclavé par celui de Thionville, excepté au Sud.
Voies de communication et transports
modifierCette commune est traversée par l'autoroute A31 ainsi que par les routes départementales D13 et D13a.
Hydrographie
modifierRéseau hydrographique
modifierLa commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le ruisseau le Veymerange[Carte 1].
Le Veymerange, d'une longueur totale de 10,9 km, prend sa source dans la commune de Thionville, dans le bois de Thionville, et se jette dans la Moselle dans la même commune, après avoir traversé Terville[1].
Gestion et qualité des eaux
modifierLe territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Bassin ferrifère ». Ce document de planification, dont le territoire correspond aux anciennes galeries des mines de fer, des aquifères et des bassins versants associés, d'une superficie de 2 418 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est la région Grand Est[2]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le SDAGE du Bassin Rhin-Meuse[3].
La qualité du ruisseau le Veymerange peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 818 mm, avec 12,6 jours de précipitations en janvier et 9,2 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Malancourt », sur la commune d'Amnéville à 9 km à vol d'oiseau[6], est de 10,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 884,1 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,3 °C, atteinte le ; la température minimale est de −17,9 °C, atteinte le [Note 1],[7],[8].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Température minimale moyenne (°C) | −0,4 | −0,3 | 2,2 | 4,9 | 8,5 | 11,5 | 13,6 | 13,4 | 10,2 | 7,1 | 3,2 | 0,6 | 6,2 |
Température moyenne (°C) | 1,8 | 2,7 | 6,3 | 10 | 13,7 | 16,9 | 18,9 | 18,7 | 14,8 | 10,4 | 5,7 | 2,6 | 10,2 |
Température maximale moyenne (°C) | 4,1 | 5,8 | 10,4 | 15 | 18,8 | 22,2 | 24,3 | 24 | 19,4 | 13,8 | 8,1 | 4,6 | 14,2 |
Record de froid (°C) date du record |
−17,9 05.01.1985 |
−15,6 07.02.1991 |
−14,6 01.03.05 |
−6,1 12.04.1986 |
−1,4 06.05.1979 |
−0,1 05.06.1991 |
2,9 22.07.1980 |
2,9 24.08.1980 |
1,3 07.09.1985 |
−3,4 24.10.03 |
−10,8 23.11.1998 |
−15,5 03.12.1973 |
−17,9 1985 |
Record de chaleur (°C) date du record |
15,2 05.01.1999 |
20,9 27.02.19 |
25,6 31.03.21 |
27,9 21.04.18 |
32,4 28.05.17 |
35,4 26.06.19 |
39,3 25.07.19 |
38,2 08.08.03 |
33,1 15.09.20 |
26,2 10.10.1979 |
21,1 02.11.20 |
15,6 17.12.15 |
39,3 2019 |
Précipitations (mm) | 85,9 | 70,2 | 67,5 | 52,6 | 67,9 | 68,4 | 70,7 | 69,5 | 69,6 | 79,7 | 81,7 | 100,4 | 884,1 |
Diagramme climatique | |||||||||||
J | F | M | A | M | J | J | A | S | O | N | D |
4,1 −0,4 85,9 | 5,8 −0,3 70,2 | 10,4 2,2 67,5 | 15 4,9 52,6 | 18,8 8,5 67,9 | 22,2 11,5 68,4 | 24,3 13,6 70,7 | 24 13,4 69,5 | 19,4 10,2 69,6 | 13,8 7,1 79,7 | 8,1 3,2 81,7 | 4,6 0,6 100,4 |
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm |
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[9]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Terville est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Thionville[Note 2], une agglomération intra-départementale regroupant douze communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 3],[12],[13]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Luxembourg (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[13]. Cette aire, qui regroupe 115 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[14],[15].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (76,8 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (74,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (68,2 %), forêts (11,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (9,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (7,8 %), terres arables (1,5 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,8 %), zones agricoles hétérogènes (0,3 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Toponymie
modifierEn allemand : Terwen[17]. En francique lorrain : Tierwen[18] et Tiirwen.
Mentions anciennes
modifierTerwen (VIIIe siècle), Therovie (1269)[19], Terven (1282)[17], Teirwel (1292)[20], Treville (1447)[17], Terffen (1524)[17], Tervern (1544)[17], Le quartier du Roi (1756)[17], Therville (xviiie siècle[17], 1793[21] et 1801[21]), Terville anciennement Thierville (1824)[22], Terwen vulgairement Terville (1863)[23].
Étymologie
modifierTerwen est possiblement un nom celtique ou une germanisation d'un nom celtique. Quoi qu'il en soit, le mot Ter était un nom donné à une partie de terrain étant élevée au-dessus du niveau des inondations de la Fensch[23], une rivière qui coule au Sud de cette ville.
Pour Ernest Nègre, le toponyme Terville se compose peut-être du nom de personne germanique Tarbo suivi du suffixe -heim, remplacé plus tard par -ville[24].
D'autre part, Terwen a donné les noms de famille germaniques Terwer et Terver, signifiant « de Terville » et étant surtout portés dans la région thionvilloise.
Histoire
modifierEn 1282, un Jean de Thionville et Mathilde, sa femme, léguèrent à l'abbaye de Bonnevoie 25 maldres de seigle à tirer de Terven, un village luxembourgeois qui leur appartenait[23]. Le château féodal est détruit par les Messins en 1386[20].
La juridiction seigneuriale sur Terville se partageait jadis entre le siège prévôtal de Thionville et la seigneurie de Bertrange[23].
En 1643, Louis II de Bourbon-Condé a établi dans cette ville son quartier-général pour le siège de Thionville[25] et de ce fait Terville a été surnomée le « Quartier du roi »[25]. À la suite de la victoire française de ce siège, Terville est annexée au royaume de France en 1659, via les articles 38 et 41 du traité des Pyrénées.
En 1748, Terville est le siège d’un fief et d’une haute justice à la représentation du roi et par aliénation du domaine royal[17]. À la même époque, il y a en outre dans cette ville une seigneurie foncière appartenant à l’abbé de Bonnevoye[17]. Tout cela sachant que Terville dépend alors du bailliage de Thionville[17].
Administration et politique
modifierLe , la commune de Terville est rattachée à celle de Veymerange par décret[17]. En 1894, Terville redevient une commune indépendante[21].
Cette commune fait partie du canton de Florange de 1790 à 1802[17], puis de celui de Thionville à partir de 1802[17]. Entre 1967[21] et 2015, Terville fait partie du canton d'Yutz et retourne ensuite dans son canton précédent.
Les maires
modifierTendances politiques et résultats
modifierÉlections de 2007
modifierEn , le conseil municipal avait démissionné en bloc pour demander la confiance de la population dans le combat mené par l’équipe du maire Patrick Luxembourger contre certaines banques responsables selon lui de l’endettement faramineux de la ville.
Avec une participation de 47 % des inscrits (4993 inscrits en 2007) ce qui constitue une participation honorable dans une élection municipale partielle deux mois avant des élections présidentielles et législatives, le dimanche , la liste emmenée par Patrick Luxembourger l’emportait avec 74,19 % des suffrages exprimés. La liste de gauche et d’union des démocrates, rassemblée autour de Thierry Dosch, a réuni 15,67 % des voix, et celle de Pierre Le Lay 10,13 %.
Depuis , la justice a été saisie par le maire. Une enquête a été ouverte sur des détournements de fonds et des faux en écriture publiques présumés.
Élections de janvier 2011
modifierÀ la suite de la démission en bloc de vingt élus municipaux, Patrick Luxembourger a été réélu avec 54,96 % des voix au premier tour (23 conseillers). Parmi les autres candidats, la liste PS/Verts menée par Alfred Mescolini obtint 19,22 % (3 sièges) ; Edith Talarczyk (ancienne 1re adjointe) 18,42 % (2 sièges). L'ancien maire PC Pierre Le Lay a obtenu 7,4 % des voix (1 siège).
La participation fut de 43 %.
Population et société
modifierEn 1817, Terville possédait 468 habitants répartis dans 49 maisons[25].
Démographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[27].
En 2021, la commune comptait 7 456 habitants[Note 5], en évolution de +9,58 % par rapport à 2015 (Moselle : +0,52 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
modifier- École primaire Le Moulin, ce nom est donné car un moulin se situait à proximité sur un chemin piéton reliant Terville à Thionville. Par ailleurs, cette école abrita un temps sous ses préaux, des garages où les troupes américaines déposèrent certains de leurs véhicules à la fin de la Seconde Guerre mondiale,
- École primaire Marcel-Pagnol, victime d'un incendie criminel en 2010, puis reconstruite,
- École maternelle Pomme-d'Api, accolée à l'école Le Moulin,
- École maternelle Le Scarabée et La Farandole accolée à l'école Marcel-Pagnol.
Services publics
modifier- Caserne des pompiers, à l'arrière du bâtiment de la mairie et à proximité du poste de police municipale ;
- Salle de sports municipale « Le 111 » ;
- Salle de concerts « Le 112 » ;
- Pour mémoire, l'agence postale a été fermée. Ses services ont été transférés pour partie à un bureau de la mairie et pour une autre partie à un magasin tabac-journaux de la localité ;
Sports et loisirs
modifier- Association Tervilloise du Nouvel Âge (ATNA), structure mise en place d'activités destinées aux Anciens ;
- Gueules Jaunes de Terville ;
- Terville Florange Olympique Club (volley-ball) ;
- Club de marche de Terville ;
- AS Terville tennis de table ;
- Sporting Club Terville ;
- Parcours de santé (dans le Bois de Terville entre la route de Veymerange et celle de Marspich) ;
Économie
modifierCulture locale et patrimoine
modifierLinguistique
modifierTerville a longtemps été une localité de langue francique. Cette ville est située dans une zone du francique luxembourgeois où il y a une tendance très nette à la monophtongaison, c'est-à-dire une réduction des diphtongues en une voyelle longue et parfois même en une voyelle brève[29].
En 1887, c'est surtout les habitants âgés qui sont germanophones[30]. Malgré cela, les habitants des localités francophones environnantes considèrent que Terville est une commune germanophone[30].
En , selon une carte allemande, les Tervillois qui ont le français pour langue maternelle ne dépassent pas les 20 %[31].
Lieux et monuments
modifierÉdifices civils
modifier- Passage d’une voie romaine ;
- Sépultures mérovingiennes ;
- Château féodal, détruit en 1386[20] ;
- Porte de 1717, rue Basse ;
- Monument aux morts honorant les victimes des guerres dans le cimetière communal.
Édifices religieux
modifier- Église paroissiale Saint-Sébastien, située route de Verdun : construite de 1935 à 1937 à l’initiative du curé Houdlinger, d'après des plans de l’architecte Alfred Nasousky.
- Chapelle Saint-Sébastien, située rue Haute : construite en 1472 (date portée par la clef de voûte du chœur). C'était une annexe de la paroisse de Volkrange[17], qui a été élevée au rang d'église paroissiale au début du XVIIIe siècle. Cette chapelle a été démolie en 1858, reconstruite en 1862, désaffectée en 1937 après la construction de la nouvelle église paroissiale route de Verdun. Cet édifice fut alors désigné comme « la vieille église » par les Tervillois, les habitants de l'endroit, puis utilisé comme salle polyvalente avant que d'être réaménagé en médiathèque, inaugurée en 2011.
- Six calvaires dont celui sculpté de Beuren.
- Calvaire, situé 2 rue Haute, érigé en 1692 (date portée à la base du croisillon) ; renversée en 1870, restaurée en 1880 (date portée à la base du fût).
- Calvaire, situé route de Veymerange, érigé durant la première moitié du XIXe siècle ; probablement restauré en 1876 (date portée sur le socle), très endommagé, il manque la statue de saint Jean et la moitié supérieure du croisillon.
Personnalités liées à la commune
modifier- Gilbert Fioriti, joueur de football français y est né en 1936
Héraldique
modifierBlason | De gueules à un chevron d'or, accompagné en pointe d'une tour d'argent. |
|
---|---|---|
Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Liens externes
modifier
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Ressource relative à la musique :
- Site de la mairie
Notes et références
modifierNotes et cartes
modifier- Notes
- Les records sont établis sur la période du au .
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Thionville comprend une ville-centre et onze communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Terville » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ) - Pour recentrer la carte sur les cours d'eau de la commune, entrer son nom ou son code postal dans la fenêtre "Rechercher".
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- Sandre, « le ruisseau le Veymerange »
- « SAGE Bassin ferrifère », sur gesteau.fr (consulté le ).
- « Les SDAGE des districts Rhin et Meuse (2022-2027) », sur eau-rhin-meuse.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Terville et Amnéville », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Malancourt », sur la commune d'Amnéville - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Malancourt », sur la commune d'Amnéville - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Thionville », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Terville ».
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- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Ernest de Bouteiller, Dictionnaire topographique de l'ancien département de la Moselle, rédigé en 1868 sous les auspices de la Société d'archéologie et d'histoire de la Moselle, Paris, Imprimerie nationale.
- Marcel Konne et Albert-Louis Piernet, « Dierfer vun äiser Hemecht », Hemechtsland a Sprooch, no 1, (ISSN 0762-7440).
- Académie impériale de Metz, Mémoires de l'Académie Impériale de Metz, XLVe année, Metz, Rousseau-Pallez, 1865, p. 490
- G. F. Teissier, Histoire de Thionville : suivie de divers mémoires, Metz, Verronnais, 1828.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Guillaume-Ferdinand Teissier, Recherches sur l'étymologie des noms de lieu et autres, dans la sous-préfecture de Thionville, Thionville, 1824.
- Publications de la Société pour la Recherche et la Conservation des Monuments Historiques dans le Grand-Duché de Luxembourg, volume 18, 1863, p. 224
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, volume 2, Droz, 1990, p. 817
- Claude Philippe de Viville, Dictionnaire du département de la Moselle, Metz, 1817.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- (mul) Albert-Louis Piernet (dir.), Hemechtsland a Sprooch : Gentréngen (no 6), (ISSN 0762-7440), p. 175
- (de) Constant This, Die deutsch-franzoesische Sprachgrenze in Lothringen, Strassburg, Heitz & Mündel, 1887, p. 19
- (de) Statistischen Landesamt für Elsass-Lothringen, Die Verbreitung der französischen Muttersprache in den Gemeinden Elsass-Lothringens : nach der Volkszählung am 1 Dezember 1910.