The Bukowskies est un groupe belge de garage rock originaire de Liège, fondé en 2012 par Andrea Lafontaine et Olivier Dechamps. Leur premier album, Opium, est sorti en et a été produit par Moonzoo Music (Machiavel, Vegas). Ils sortent ensuite Brown-brown en 2016[1],[2],[3]. Leur troisième album, Youth Crime or the influence of... est acclamé par la critique musicale belge[4],[5] et étrangère[6].

The Bukowskies
Pays d'origine Drapeau de la Belgique Belgique
Genre musical Garage rock, rock indépendant
Années actives 2012
Labels Moonzoo
Composition du groupe
Membres Andrea Lafontaine
Olivier Dechamps
Adrien Timmermann
Xavier Blanchart
Florence Vandendooren

Historique modifier

C'est en 2012 que le groupe se forme, lorsque Olivier demande à Andrea, son ami d'enfance, de lui donner des cours de guitare. Après quelques mois d’apprentissage, ils décident de se lancer et rapidement, Thomas Monjoie se joint à eux à la batterie, suivi un peu plus tard de Guillaume Lemaire à la basse. The Bukowskies parcourt ses premières scènes au mois de avant d'être rapidement repéré par le label Moonzoo[7].

Ils se mettent au travail avec Roland De Greef (Machiavel). S'ensuivent de longues semaines de réflexion et d'enregistrement qui déboucheront sur leur premier album, Opium, en .

Au-delà de ce travail de studio, c'est principalement sur la scène que les garçons font leurs armes. On note de nombreux festivals en Belgique et également une tournée en France qui passa notamment par Lyon et Paris, au Gibus, concerts à partir desquels Xavier Blanchart remplace le précédent bassiste.

Le , ils sont invités par Mario Guccio à l'accompagner sur scène aux Francofolies de Spa. Dès lors, c'est Adrien Timmermann qui remplace Thomas Monjoie à la batterie.

Leur nouvel album est annoncé pour .

Influences modifier

Les influences du groupe sont tout d'abord d'ordre musical, avec The Libertines, Lou Reed ou encore The Strokes dont l'influence sur Andrea, l'auteur-compositeur des chansons du groupe est d'autant plus marquée par le charisme de Julian Casablancas.

L'importance de la littérature est capitale dans l'esprit et l'écriture des morceaux. Des auteurs comme Oscar Wilde, Alberto Moravia, Bret Easton Ellis sont autant de moteurs pour The Bukowskies. Une référence supplémentaire à cette culture est le nom du groupe lui-même, héritée de l'écrivain Charles Bukowski.

Critiques modifier

Opium a fait l'objet d'une importante couverture médiatique dès sa sortie. Fortement soutenus par Classic 21[8] et la RTBF, on a pu les entendre à de très nombreuses reprises sur une grande partie des radios belges.

On notera de plus une critique très positive de ce premier opus dans les principaux journaux francophones (Le Soir[9], La Dernière Heure[10], Moustique) et les magazines culturels et spécialisés (Karoo[11], Guido).

Notes et références modifier

  1. Guido, « Sortie CD: The Bukowskies – Brown-Brown »
  2. Branchés culture, « La drogue c’est mal, sauf quand elle est rock et qu’elle s’appelle « The Bukowskies » »
  3. L'Avenir, « Un nouvel album bien accueilli », L'Avenir,‎ (lire en ligne)
  4. Guido, « THE BUKOWSKIES: Roma calling! »
  5. Branchés culture, « Andrea Lafontaine et The Bukowskies livrent une filmographie idéale et un album parfait »
  6. Louis-Henri de La Rochefoucauld, « Journal d'un groupe pas dégueulasse », Technikart, no 231,‎ , p. 118 (lire en ligne)
  7. (en) « Moonzoomusic.be », sur moonzoomusic.be (consulté le ).
  8. « rtbf.be/classic21/article_sequ… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  9. http://mad.lesoir.be/musiques/pop-rock/cd/108382-the-bukowskies-opium/
  10. « Opium, leur rêve ! », La Dernière Heure/Les Sports,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  11. « The Bukowskies l’enfant terrible », sur Karoo, (consulté le ).