Thérèse Huber
Thérèse Huber, née Marie Therese Heyne à Göttingen le et morte à Augsbourg le , est une auteure allemande.
Naissance | |
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Pseudonyme |
Anonymous |
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Activités |
Écrivaine, éditrice, journaliste, éditeur associé |
Père | |
Fratrie |
Alfred Heyne (d) |
Conjoints |
Georg Forster (à partir de ) Ludwig Ferdinand Huber |
Enfants |
Partenaires |
Helmina von Chézy (depuis ), Johann Friedrich Cotta (depuis ), Helmina von Chézy (depuis ) |
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Personnes liées |
Fanny Tarnow (en), Helmina von Chézy, Helmina von Chézy, Isabelle de Charrière |
Elle fait partie des Universitätsmamsellen, un groupe de cinq femmes actives académiquement durant les XVIIIe siècle et XIXe siècle, avec Meta Forkel-Liebeskind, Dorothea Schlözer, Philippine Engelhard et Caroline Schelling.
Biographie
modifierFille de Christian Gottlob Heyne, elle perd sa mère très jeune. En 1784, elle épouse Georg Forster puis, après la mort de celui-ci en 1794, Ludwig Ferdinand Huber[1].
Elle se consacre à la littérature et publie sous le nom de son mari jusqu'à son décès en 1804. Elle s'installe alors à Stuttgart où elle écrit le Morgenblatt für gebildete Stände (en). En 1828, elle publie aussi deux volumes de la Correspondance de J.-G. Forster[1].
Les six volumes de ses Contes ne sont édités par son fils qu'à titre posthume de 1830 à 1833[1].
Thérèse Huber dans la culture
modifier- 1989 : Le Rendez-vous de Travers, un film sur la relation entre Thérèse Huber et Georg Forster.
Notes et références
modifier- Dezobry et Bachelet, Dictionnaire de biographie, T. 1, Ch. Delagrave, 1878, p. 1353
Liens externes
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