Tullio De Piscopo

batteur et percussionniste de jazz et de variétés

Tullio De Piscopo, né le à Naples, dans le quartier populaire de Porta Capuana, est un batteur et percussionniste italien.

Tullio De Piscopo
Tullio De Piscopo en 1979.
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Biographie

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Son père Giuseppe, qui était aussi batteur et percussionniste, jouait dans l'orchestre de Giuseppe Anepeta - un spécialiste de la chanson napolitaine - et son frère Romeo (batteur, né en 1937) jouait avec des groupes à Bagnoli, près de la base de l'Allied Joint Force Command Naples. Romeo mourut à vingt ans, en 1957, après une soirée avec l'Orchestre du Cercle des Officiers de la base OTAN de Bagnoli. À la maison, Tullio De Piscopo écoutait des disques de musiciens, tels que Charlie Parker, Miles Davis, Kenny Clarke, Art Blakey, Max Roach. À l'âge de 13 ans, il a trouvé un emploi dans un night-club de Bagnoli, fréquenté par les officiers américains. Il prenait des leçons de contrebasse d'un musicien ami de son père ; mais il a vite abandonné cet instrument, puisque sa famille manquait l'argent pour acheter l'instrument. Il s'est donc consacré entièrement à la batterie[1].

Avec ses assolo, son drumming de batterie, il exhortait sa colère pour les privations auxquelles il était soumis par manque d'argent, par la mort tragique et soudaine de son frère, par l'absence d'un débouché dans un métier rémunérateur[2].

Après son service militaire à Pordenone, dans les Bersaglieri, il a épousé en 1969 une fille de Sassuolo, dont il a eu deux filles : Micaela et Giusi. En 1970, il a déménagé à Bologne, où on l'a accueilli comme batteur dans l'Orchestre de Paolo Zavallone. Il a ensuite décidé de résider à Milan, où il a déplacé sa famille. Il a joué au Jazz Club Il Capolinea, puis avec le groupe d'Enrico Intra. Il a joué de batterie aussi, d'abord dans le "Franco Cerri Quartet", ensuite dans le "Franco Cerri Quintet".

Il travaillait simultanément et inlassablement dans les studios d'enregistrement, où sa batterie a donné le rythme à des chanteurs déjà connus, tels que Adriano Celentano, Enzo Jannacci e Giorgio Gaber. Il a enregistré, dans ces années là, même avec Ornella Vanoni, Mia Martini, Iva Zanicchi, Mino Reitano, Toto Cutugno, Roberto Vecchioni, Fabrizio De Andrè, Pino Donaggio, Milva, Donatella Rettore, Domenico Modugno, les New Trolls, Marcella Bella, Don Backy et Franco Battiato[3].

Summit-ReunionCumbre, 1974[note 1]

En 1971, on l'a choisi comme batteur dans le groupe de Gianni Basso et d'Oscar Valdambrini et il a enregistré son premier single, un 45 tours pour seule batterie et percussion : les chansons sont Fasness et Coagulation[4]. Avec Enrico Intra, Dino Piana et Gianni Basso, il a formé le quatuor "Jazz Power Group" et il a aussi formé un trio avec Renato Sellani et Dodo Goya.

Astor Piazzolla et Gerry Mulligan

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En 1974, Astor Piazzolla a monté en Italie son "Conjunto Electrónico" (orgue Hammond, marimba, flûte, guitare basse électrique, batterie, guitare électrique, percussions et violons) avec des musiciens, tels que Hugo Heredia à la flûte, Umberto Benedetti Michelangeli premier violon, Pino Presti à la basse électrique, Tullio De Piscopo à la batterie (les deux derniers sont aussi dans l'album Reunión Cumbre (Summit), du 1974 ; invité : Gerry Mulligan).

Les doigts d'Astor Piazzolla, 1984.

En 1974, Tullio De Piscopo a enregistré avec Astor Piazzolla Libertango - la chanson de Piazzolla la plus connue et interprétée : c'est le plus célèbre tango moderne, un genre de musique qui, avant Piazzolla, ne contemplait pas de batterie. Tullio De Piscopo a accompagné Astor Piazzolla, lors d'une longue tournée mondiale et il a collaboré avec lui pour plusieurs autres LP.

De Piscopo est présent sur deux albums de Gerry Mulligan, qu'il a suivis en tournée, en France et en Espagne, notamment au Festival mondial de la musique de Palma de Majorque. En 1977, Kai Winding a appelé De Piscopo à collaborer à son album Duo Bone, qui a été enregistré avec Dino Piana et Enrico Pieranunzi.

Pino Daniele

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C'était un jeune cantautore et guitariste. Pino Daniele téléphona à Tullio De Piscopo, pour lui demander d'écouter son premier disque Terra mia ; mais De Episcopo avait déjà entendu parler de cet musicien par son père - qui jouait dans l'orchestre de l'émission télévisée Auditorio A[5] sur RAI 2 - parce que Pino Daniele, en 1977, avait participé à une émission. Ils sont devenus inséparables amis : Daniele était plus versé pour le soul et Tullio le conduisit vers le Jazz fusion. Avec Pino Daniele, De Piscopo a enregistré des disques, tels que Vai mo', Bella 'mbriana, Sciò, Common Ground, Acqua e viento, Assaje, Ricomincio da 30, Anema e core.

Une vie en musique, en Italie et à l'étranger

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En 1981 Tullio De Piscopo a lancé son premier album live, où il s'est produit avec Larry Nocella, "Lucky" Luciano Milanese et Riccardo Zegna ; en même temps est né le groupe "Vai mo'" : Tullio De Piscopo, Pino Daniele, Tony Esposito, Rino Zurzolo, James Senese et Joe Amoruso[6]. Cet ensemble a popularisé le terme « blues urbain ». Le De Piscopo a joué à Piazza del Plebiscito, à Naples, en face de 200.000 personnes, avec cette formation, toute napolitaine.

Aux Rencontres de Sorrento du 1984 - qui a été le premier Festival Jazz sorrentino - Tullio De Piscopo a joué avec Dizzie Gillespie et Chick Corea. Puis il est parti en tournées, aux USA, au Canada, au Brésil, en Australie. Sa batterie a fait partie de l'Orchestre Scarlatti de la RAI, qui la première a porté le jazz au Teatro San Carlo de Naples, avec la composition de Tullio De Piscopo Piccola suite di un percussionista schizofrenico.

En , à l'Apollo Theatre de Harlem, Tullio De Piscopo a présenté des chansons napolitaines, avec Edoardo Bennato, James Senese, Tony Esposito, Joe Amoruso, Rino Zurzolo, Ernesto Vitolo. Parmi les musiciens invités à participer a cet événement musical, on retrouve James Brown, The Temptations, Eumir Deodato, Lester Bowie, Steve Thornton, Famadou Donmoyèe et Alphonso Johnson.

Mario Trevi, Tullio De Piscopo et Fulvio Marzocchella, 2010.

Le 1988 c'est l'année de la chanson Andamento lento, présentée au Festival de Sanremo et qui est restée, pendant quelques mois, en tête des classements. Le 1988 est aussi l'anné du Prix Arena d'oro, pour Bello Carico, le disque le plus vendu dans le cadre du Festivalbar, qui se déroulait à l'Arene de Verone. En 1995, Tullio De Piscopo a enregistré un single titré Zzacotturtaic, auquel ont collaboré le chœur de La Scala de Milan, l'Orchestre Franz Schubert de Milan, Renato Sellani, Antonio Faraò et Roberto Fabbriciani.

En 2008, Tullio De Piscopo, avec Senese, Esposito, Amoruso, Zurzolo et Pino Daniele, a recomposé le groupe qui avait joué vingt-sept ans auparavant dans l'album et le tour Vai no'. Un triple CD a été imprimé, avec quarante-cinq chansons, intitulé Ricomincio da 30. Ce groupe parti pour une nouvelle tournée et le il se produit à Naples, sur la Piazza del Plebiscito, dans un concert auquel ont participé, comme invités, Giorgia, Irene Grandi, les Avion Travel, Nino D'Angelo, Gigi D'Alessio. Ce concert a été diffusé en direct télévision sur RAI 1, puis sur DVD.

En 2010, pour commémorer ses 40 premières années de carrière, il a publiés deux CD, intitulés Questa è la Storia, avec des blues, du jazz et de la musique classique, comme les Carmina Burana, le Dies Irae et le Requiem de Giuseppe Verdi. Le 2012 c'est l'année de ses six concerts live, avec de la musique classique et du jazz - au Palapartenope de Naples - intitulés Tutta 'nata storia. Dans le groupe : Pino Daniele, James Senese, Tony Esposito, Joe Amoruso, Rino Zurzolo, Enzo Gragnaniello, Raiz et Antonio Onorato[7].

En 2015, la NCCP (Nuova Compagnia di Canto Popolare) a été engagée pour dix dates théâtrales, pendant la tournée qui a célébrés les cinquante ans de carrière du percussionniste napolitain.

Une maladie grave. La mort de Pino Daniele

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En 2012, Tullio De Piscopo est tombé gravement malade, mais il n'a pas diffusé en exactitude cette nouvelle ; Pino Daniele, cependant, a deviné la gravité de ce mal et lui a rendu visite à l'hôpital, pour le réconforter[8]. Après l'opération, De Piscopo s'est rétabli et est retourné à son travail de musicien[9]. Il se sentait un miraculé et il intensifia son activité pour la bienfaisance[10].

La nouvelle de la mort soudaine de Pino Daniele, le , l'a pris par surprise ; mais il a su réagir et recueillir l'héritage que son ami musicien, guitariste et poète a laissé à la grande tradition de la chanson napolitaine[11].

Discographie

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Musiques pour films

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Concerts et participations

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Festival de Sanremo
Tours
  • - : Tour mondial avec Astor Piazzolla
  • - : Tour mondial avec Gerry Mulligan
  • 1987 : Tour en Europe avec Gato Barbieri, Joe Amoruso, Rino Zurzolo
  • 2013 : Tour mondial avec Pino Daniele et groupe
  • 2014 : Tour en Italie Nero a Metà (c'est le dernier tour avec Pino Daniele)
  • 2015 : Tour en Italie avec la "Nuova Compagnia Canto Popolare" (NCCP)
  • 2016 : Tour en Italie Tullio De Piscopo & Friends - Ritmo e Passione
  • 2020 : Tour en Italie
Concerts et participations
  • 1975 : Rome. (Basilique de Maxence et Constantin), Dal classico al pop al jazz[note 2]
  •  : Naples. (Piazza de Plebiscito), (avec Pino Daniele, Amoruso, Zurzolo, Esposito et Senese)
  • 1984 : Orvieto. Umbria Jazz (avec Gerry Mulligan, Gianni Basso, Renato Sellani, Dodo Goya)
  • 1986 : L'Aquila (Basilique de Collemaggio), Festa della Perdonanza[note 3]
  • 1988 : Verone. (Arenes de Verone). Festivalbar (il présente Andamento lento)
  • 1989 : Bologne. Jazz Bo (avec le "M' Boom Re Percussion")
  • 1990 : Rome. 1er mai - Festa dei Lavoratori (avec Mario Rusca, Luciano Milanese, Claudio Chiara, Andrea Pozzo et une Big Band)
  • 1994-1995 (saison) : Piacenza. (Théâtre municipal)[note 4]
  • 1998 : Rome. Giubileo della Terra (concert à la présence du pape Jean Paul II)
  • 1991 : Rome. Ai Confini tra Sardegna e Jazz (avec Sal Nistico)
  • 1999 : Un'onda sul mare (concert pro victimes du tremblement de terre à Sarno)
  • 2000 et 2002 : Lombardia Festival
  • 2002 : Pérouse (Théâtre Morlacchi) (avec Rossano Sportiello, Carlo Maria Micheli, Stefano Calcagno, Stefano Scalzi, Roberto Coltellacci et Paul Pelella)
  • 2004 : La lunga notte delle batterie (concert dédié au batteur Enrico Lucchini)
  • 2007 : Rome. 1er mai - Festa dei Lavoratori (il présente son album Bona Jurnata)
  • 2009 : Kenya (avec sa Band "Malindi Protegge i Bambini" il est testimonial de la campagne du CISP-Sviluppo dei Popoli, avec l'UNICEF et le "Malindi & Watamu Tourism Welfare Group")
  • 2010 : Forte dei Marmi (Villa Bertelli)[12]
  • 2011 : Assago. (Forum de Assago), La lunga notte della batteria
    • : Bari. (Auditorium du Sheraton) (avec la "Jazz studio Orchestra" de Paolo Lepore)
    • : Milan - (Villa Scheibler), Jazz Alchemy (en hommage à Buddy Rich)
    • : Cesena (Théâtre Alessandro Bonci) (avec l'Orchestre Synphonique Giuseppe Verdi, dirigée par Giorgio Leardini)
    • : Bergame. Notte di Stelle (avec la Big Band de Gabriele Comeglio)
    • : Bologne. (Piazza Santo Stefano), La strada del Jaz (en hommage à Chet Baker et à Alberto Alberti)
    • : Macerata. (Théâtre Lauro Rossi) (avec le trio "MTM"(Mike Melillo, Tullio De Piscopo et Massimo Moriconi)
    • : Gênes. Jazz per Genova (concert pro inondés de Gênes)
  • 2012 : Laigueglia (Savone). Percfest
    • : Cernobbio (Como). Cernobbio Festival
    • : Salò (Brescia). Estate Musicale del Garda Gasparo da Salò
    • : Frosinone. World Music Project
    • : Naples. (Palapartenope), Tutta 'nata storia (avec Pino Daniele, James Senese, Tony Esposito, Joe Amoruso, Rino Zurzolo, Enzo Gragnaniello)
    • : Torrepaduli (Lecce) Notte a San Rocco[13]
  • 2013 : Londres. (Barbican Hall), 1re date du Tour 2013 (avec Pino Daniele et groupe)
    • : Umbria Jazz (avec Pino Daniele et groupe)
    • : Palerme (avec Paul Pelella, Domingo Do' Basel, Alex La Corte et Matteo Mammolo Mammoliti)[14]
  • 2014 : Salerne, Luci d'artista[15]
  • 2016 : Giffoni Valle Piana (Salerne), Giffoni Film Festival
    • : Naples. (Théâtre Augusteo), 50 anni di carriera
  • 2019 : Taranto. Il grande viaggio insieme - Concerto per la città (avec Francesco De Gregori)
    • : Foggia. (Théâtre Giordano), Un'orchestra per Pino Daniele
    • : Benevento (avec l'Orchestre Ritmo-Symphonique du Conservatorio de Benevento)[16]
  • 2020 : Nervi (Gênes) (avec Dado Moroni et Aldo Zunino)[17]
Télévision
Radiodiffusion
  • 1994 : Tullio De Piscopo en Professione Cantante de Adriano Mazzoletti (Rai Radio 1)[20]
Théâtre

Prix et distinctions

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En tant qu'enseignant
  • 1998 : Milo (Catania). "Master Class" de batterie (autres enseignants, pour le chant et pour la musique: Franco Battiato et Lucio Dalla)
  • 2001 : Rimini. (Fiera de Rimini). Il a présenté son Jazz Walking', avec un CD-AUDIO (avec la participation de Luciano Milanese)

Il enseigne batterie et percussions au NAM (Nuova Audio Musicmedia) de Milàn[22].

En tant que directeur artistique

Depuis le 2007, il a la direction artistique du "Festival Sorrento Jazz" et il est président honoraire de deux associations sans but lucratif sorrentine : "A.T.S." ("Arti Turismo Sport", à partir du 1997 et "Association Gino et Michela Stinga", à partir du 2008).

En tant qu'acteur de cinéma
  • 1985 : Blues metropolitano, réalisation de Salvatore Piscicelli (avec Pino Daniele et Tony Esposito)

Ouvrages

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Livres
  • (it) Tullio De Piscopo, Metodo per batteria : con nozioni di teoria musicale, Milan, A. Curcio, .
  • (it) Tullio De Piscopo, Tempo! La mia vita, Milan, U. Hoepli, , 311 p. (ISBN 978-88-203-6304-8).
Partitions
  • (it) Tullio De Piscopo, Bello carico : Linea melodica e accordi per chitarra di otto canzoni del repertorio di Tullio De Piscopo, Forlì, Costa Est Music, , 27 p. (lire en ligne)

Notes et références

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  1. Aldo Pagani (producteur), Tullio De Piscopo, Filippo Daccò, Angel Pocho Gatti, Astor Piazzolla, Gerry Mulligan, Pino Presti, Alberto Baldan Bembo; en bas: Amelita Baltar et Tony Paolillo (sound engineer).
  2. (it) Dal classico al pop al jazz : Severino Gazzelloni flauto, Bruno Canino pianoforte, Enrico Intra pianoforte, Giancarlo Barigozzi sax tenore e contralto, Tullio De Piscopo batteria, Pino Presti contrabbasso : Basilica di Massenzio, martedì 29 luglio 1975 (Programma di sala), Rome, Eurosia, (lire en ligne).
  3. (it) Tullio De Piscopo in concerto : martedì 26 ore 21.30 Gradinata San Bernardino (manifesto), L'Aquila, s.é., (lire en ligne).
  4. (it) Quintetto : flauto Roberto Fabbriciani, pianoforte Massimiliano Damerini, chitarra Massimo Scattolin, contrabbasso Massimo Moriconi, batteria Tullio De Piscopo (Programma di sala), Teatro municipale di Piacenza, 1994-1995 (lire en ligne).
  5. (it) Tano Russo (Programma di sala), Viva Diego : musical di Tato Russo, Mario Ciervo, Tullio De Piscopo : libretto di Tato Russo : musiche di Mario Ciervo, Tato Russo, Tullio De Piscopo, Naples, s.é., (lire en ligne).
  6. Tullio De Piscopo avec ses tambours et sur des musiques de Giuseppe Verdi, a donné la voix à Carla Fracci (La Muta di Portici).

Références

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  1. (it) Alceste Ayroldi, « Tullio De Piscopo : Sono nato batterista », sur www.musicajazz.it, (consulté le ).
  2. (it) Gianni Valentino, « Tullio De Piscopo: "Vivo dopo un cancro" », sur napoli.repubblica.it, (consulté le ).
  3. (it) « Tullio De Piscopo », sur argomenti.ilsole24ore.com, (consulté le ).
  4. (it) Demented Burrocacao, « La Passione di Tullio De Piscopo », sur www.vice.com, (consulté le ).
  5. (it) « Varietà 1977-1978 », sur www.teche.rai.it (consulté le ).
  6. (it) « Joe Amoruso è morto: addio al tastierista del supergruppo di Pino Daniele », sur www.blitzquotidiano.it, (consulté le ).
  7. (it) Fernanda Zuppini, « La canzone-napoletana degli anni settanta Tullio De Piscopo », sur www.napoliflash24.it, (consulté le ).
  8. (it) Claudio Frascella, « Tullio De Piscopo e l'amicizia con Pino Daniele », sur www.tarantobuonasera.it, (consulté le ).
  9. (it) Federico Vacalebre, « Tullio De Piscopo, un uomo chiamato tamburo », sur www.ilmattino.it, (consulté le ).
  10. (it) Mario Riggio, « Tullio De Piscopo, la rabbia e il riscatto », sur www.lavocedeltempo.com, (consulté le ).
  11. (it) « De Piscopo: appena l'ho saputo sono svenuto, non ci credo ancora », sur corrieredelmezzogiorno.corriere.it (consulté le ).
  12. (it) « Tullio De Piscopo », sur www.terremedicee.it, (consulté le ).
  13. (it) « Torrepaduli, ecco la "Notte di San Rocco" con Tullio de Piscopo a ritmo di pizzica », sur www.quotidianodipuglia.it, (consulté le ).
  14. (it) « Paterno, a tutto ritmo con Tullio De Piscopo », sur www.quotidianodelsud.it, (consulté le ).
  15. (it) « Salerno: al viaLuci d’artista con Maurizio Casagrande, Tullio De Piscopo e la mamma di Ciro Esposito », sur www.ondanews.it, (consulté le ).
  16. (it) Antonio Esposito, « I talenti del Conservatorio con-Tullio De Piscopo per ricordare Pino Daniele », sur sanniopage.com, 10 févriere 2019 (consulté le ).
  17. (it) « Tullio De Piscopo, Dado Moroni e Aldo Zunino in concerto a Nervi », sur www.genovatoday.it, (consulté le ).
  18. (it) « Domenica 14 novembre. Rai 2 », RadiocorriereTV, Rome, Rai, no 46,‎ , p. 61 (lire en ligne).
  19. (it) « Venerdì 1 dicembre. Rai 1 », RadiocorriereTV, Rome, Rai, no 48,‎ , p. 114 (lire en ligne).
  20. (it) « Le storie della musica. Professione Cantante : Tullio De Piscopo », sur www.raiplayradio.it (consulté le ).
  21. (it) « Accademia Internazionale Medicea », sur www.accademiainternazionalemedicea.it (consulté le ).
  22. (it) « TULLIO DE PISCOPO », sur nam.it (consulté le ).

Annexes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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  • (it) Bruno Ruffilli, « Altro che lento, provate il mio andamento jazz! : Intervista a Tullio De Piscopo », La Stampa, Turin, no 18 juillet,‎ , p. 41.
  • (it) Gigi Vesigna, Sanremo è sempre Sanremo : I 50 anni del festival più famoso del mondo, Milan, Sperling & Kupfer, , XIV, 270 (ISBN 88-86845-75-8).
  • (it) Gino Castaldo, Il Dizionario della canzone italiana, vol 1-2, Rome, A. Curcio, , 1736 p.
  • (it) Pietro Gargano, Nuova enciclopedia illustrata della canzone napoletana, vol. 1-6, Naples, Magmata, .
  • (it) Philippe Carles, Andre Clergeat et Jean Louis Comolli, Dizionario del jazz, Milan, Mondadori, , 1409 p.
  • (it) Gigi Vesigna, Vox populi : Voci di sessant'anni della nostra vita, Rome, Excelsior 1881, , 648 p. (ISBN 978-88-6158-140-1).
  • (it) Adriano Aragozzini, Enciclopedia del Festival di Sanremo : L'Italia della musica e del costume, Rome, Rai Eri, , 549 p. (ISBN 978-88-397-1601-9).
  • (it) Flavio Caprera, Dizionario del jazz italiano, Milan, Feltrinelli, , 380 p. (ISBN 978-88-07-88288-3).
  • (it) Guido Michelone, Il Michelone : Nuovo dizionario del jazz : 1200 dischi jazz in 100 anni, Melville, , 604 p. (ISBN 978-88-99294-44-1).
  • (it) Eddy Anselmi, Il Festival di Sanremo : 70 anni di storie, canzoni, cantanti e serate, Milan, De Agostini, , 700 p. (ISBN 978-88-511-7661-7).

Liens externes

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