* Ernest Mill€ot (1836-1891). Explorateur. Dans l'expédition du Fleuve Rouge (1872)-(1873), il cherche une voie navigable permettant de ramener au Tonkin, les immenses richesses du Yunnan (Chine du Sud). Ernest Millot fut également maire de la concession française de Shangai. (295)
* Jacques Chéreau, sculpteur, est né à Aix-en-Othe. Jacques Chéreau a exposé tant à Napa, (Californie), qu'à Genève, Brisbane, Miami, San Francisco. On trouve ses oeuvres en permanence à la galerie Michelle Boullet à Paris, et à la Galerie Cafmeyer à Knokke (Belgique). (311)
Fils du précédent, René Stourm (1837-1917), inspecteur des finances, cofondateur de l'École libre des sciences politiques, secrétaire perpétuel de l'Académie des sciences morales et politiques, y a longtemps séjourné. (230)
En 1562, la duchesse de Nevers vend la terre de Séant-en-Othe à Gallas de Bérulle, demeurant au chateau de Cérilly, hameau de l'Yonne distant de quelques kilomètres seulement. Le village de Séant prend le nom de cette famille, lorsque dans la deuxième moitié du XVIème siècle, le seigneur de Bérulle donne les bois de Chauffour aux habitants de Séant. Ceux-ci donnent alors le nom de Bérulle au village. De la famille de Bérulle est issu l'illustre Pierre de Bérulle. (493)
* André COTTENET, instituteur, mort pour la France le 30 Juillet 1915. (71)
* Jean-Charles DESESSARTZ, est né à Bragelogne en 1729, et décédé en 1811. Docteur régent de la faculté de Paris dont il sera doyen en 1776. Membre de l'Institut. Auteur entre autres d'un traité sur l'éducation corporelle des enfants en bas âge et d'un discours sur les inhumations précipitées. <ref>Dictionnaire Bouillet</ref> Une rue de Bragelogne lui a été dédiée dès le XIXe siècle : Rue du Docteur-Desessarts et une décision du conseil municipal en date du 3 avril 1994 a confirmé cette dénomination et décidé, en outre, la création de l’impasse Desessarts. A cette époque, l'orthographe exacte du nom n'a pas été vérifiée et c'est la forme erronée préexistante qui a été maintenue. (743)
Courtalon raconte qu’en 1616 “un Seigneur de Bucey et celui de Chaast, en contestation pour des droits honorifiques, se donnèrent un cartel(*) au sortir de la messe. Il se présenta un ruisseau à passer sur une planche. Dispute de politesse. Celui qui passa le premier se sentit tout à coup blessé dans le dos ; mais, se retournant, il eut encore assez de force pour enfiler son agresseur” (400)
Comme Courtalon ne dit pas le nom de ce Seigneur, ni quel ruisseau ils eurent à traverser, ni les droits honorifiques qui furent l’objet de leur dispute et du cartel qui s’en suivit au sortir de la messe, nous allons de notre mieux essayer de suppléer à cette omission. (277)
Le Seigneur de Bucey dans ce temps-là ne pouvait être que Odard de Roffey(**), Seigneur de Fontvannes et de Bucey. Il avait pour épouse en 1616 Louise de Madeil(**) de laquelle il tenait la Seigneurie de Bucey. (214)
Cette dernière, veuve de cet Odard de Roffey dont nous venons de parler se remariera en 1620 avec Aderald de la Roère, Seigneur d’Esclavolles et de Bucey. C’est ce dernier qui avait été enterré ainsi que son épouse dans la nef de l’Église de Bucey, au milieu, devant l’entrée du sanctuaire et dont la tombe a malheureusement, avec l’inscription qu’elle portait, péri en 1847, comme nous l’avons dit. (423)
Dans un acte du onze août 1615, Odard de Roffey prenait aussi le titre de Seigneur de Chaast. (95)
Toutefois, à cette époque, le Seigneur de Chaast était Charles Le Lieur, et prenait le titre de Sieur de Chaast et des Fossés. (131)
Comme ces deux seigneurs de Bucey et de Chaast étaient les seuls seigneurs de ces lieux à l’époque qu’assigne Courtalon, il s’en suit rigoureusement que ce ne peut-être que ceux-là mêmes qui eurent le courage sauvage de s’aller battre en duel en sortant d’accomplir un acte de religion. (303)
D’après une résolution si extrême, on serait tenté de croire que ces droits dont parle Courtalon et pour la défense desquels ces deux champions allèrent si ardemment à la mort étaient d’une importance majeure. Pas du tout surtout si nous les considérons avec nos idées d’aujourd’hui. (302)
Car leur dispute provenait tout simplement de ce que tous deux prétendaient au droit de priorité dans la réception du pain béni distribué à la messe paroissiale. Tous deux prétendaient à l’honneur de le recevoir le premier, ce qui n’était pas chose facile. La question devait-elle se régler à coups d’épée ? (326)
On rirait aujourd’hui de pareilles disputes (*). Mais il en était bien autrement dans un siècle où la société était hiérarchiquement organisée ; où la considération était exclusivement attachée aux rangs et titres. La plus minime des prérogatives était chose de grande importance. Celui qui recevait le pain béni le premier avait nécessairement la préséance sur toute l’assemblée et se trouvait par là même, le premier de tous. Et celui des Seigneurs à qui l’on donnait le pain béni après son confrère dut paraître humilié auprès de ses vassaux, s’il avait des raisons de croire que ces honneurs lui étaient dus plutôt qu’à son rival. Toutefois, nous sommes loin d’approuver la barbare résolution qu’ils prirent ni l’action déloyale à laquelle l’un d’eux s’est livré et qui lui a coûté la vie en voulant la sauver. (874)
Le ruisseau que ces deux seigneurs avaient à passer sur une planche ne peut être que le Ruisseau dit “de Saint-Bernard” dans ces derniers temps, parce qu’il prend sa source par devers le Grand-Chaast dans un pré appelé le pré de Saint-Bernard. (255)
Après avoir arrosé la vallée et passé au bas de Bucey ce ruisseau se jette dans la Vanne, un peu plus loin, de manière que, quand on vient du côté de Fontvannes pour entrer à Bucey ou bien quand on veut sortir de ce village pour se diriger vers le bas du côté de Fontvannes, on est obligé de traverser ce ruisseau. (327)
Autrefois, au bout de la rue qui se trouve droit au bas de l’église, toujours vers le Nord, on le passait à gué pour les voitures. Il n’y avait point le pont qu’on y voit aujourd’hui. Une planche sans doute, ou un madrier placé à côté, servait de passerelle pour les gens de pied. Et c’est en passant sur cette planche que les seigneurs de Bucey et de Chaast ont trouvé la mort. (396)
S’ils s’en retournaient chez eux en attendant le jour où ils devaient vider leur querelle, c’était bien le chemin à tous les deux, soit pour aller au château de Bucey, soit pour aller au château du Grand ou du Petit-Chaast. Mais une fois ce pont champêtre passé, ils ne pouvaient plus voyager ensemble, car il fallait de suite se tourner le dos pour gagner chacun son manoir. (390)
(Extrait des Carnets de l'abbé Pierre-Louis Célestin Douge, curé de Fontvannes, village voisin, fin du XIXe siècle - in Bucey-en-Othe et ses hameaux de Robert POISSON). (176)
JEAN-THOMAS BONNEMAIN (21)
On trouve sa signature au bas du Cahier des doléances de la paroisse de Bucey-en-Othe de 1789. Élu à la constituante, il traversera sans problème l'époque révolutionnaire. Il ne votera pas la mort du Roi. (210)
* Maréchal de Beurnonville (Champignol 1752-Paris 1821) ministre de la guerre (1793), ambassadeur en Espagne (1802), membre du gouvernement (1814) (179)
* Céline Cottin, femme de ménage de Marcel Proust. Voir Correspondance de Marcel Proust, texte établi, présenté et annoté par Philip Kolb, tome X, Plon, Paris 1983, lettre 66, de peu parès le 11 juillet 1910, à Nicolas Cottin, note 3, p. 139. (250)
* Henri de Chennegy : parti en juillet 1150 à Jerusalem, il confia aux Templiers la garde de ses terres de Fontaine et de Saint-Mesmin. Ils auront également la garde de Chennegy si avant son retour Emmeline, sa femme, vient à décéder. <ref>http://books.google.com/books?id (283)
* Charles-Michel de l'Epée, né à Versailles le 25 novembre 1712 et décédé à Paris le 23 décembre 1789. L'Abbé de l'Epée fait partie de l'histoire de Feuges : il était curé du village et fut le fondateur de l'Institut pour les sourds-muets, il porte d'ailleurs une rue à son nom au centre du bourg. Il perfectionna la LSF, la Langue des signes française et fit une grande avancée dans l'aide aux personnes en difficultés vocales et auditives. (471)
Charles Bourgeat Croix de guerre 14-18 obtenue à Craonne, le 9 mai 1917, chauffeur de camions et d'ambulances au chemin des dames et sur la voie sacrée. Résistant 1940-1945 dans le réseau de Raymond Bouhenry, récupération des aviateurs alliés descendus par la DCA de Romilly, agent de renseignement, Liaison avec le maquis de Rigny la Nonneuse. (352)
Charles Bourgeat (fils) aviateur, un des premiers d'Air France, légion d'honneur. (82)
source :Votre nom dans l'Histoire. CDP de l'Aube. (49)
Jean-Marie Elie a joué comme milieu de terrain au Racing Club de Lens et à l'AS Saint-Étienne. Il a été avec chacune de ces deux équipes, finaliste -malheureux- de la Coupe de France de football : en 1975 avec les Sang et Or et en 1981 avec les Verts. Jean-Marie Elie terminera toutefois sa carrière dans l'équipe stéphanoise avec un titre de champion de France en 1981. (404)
Il participe à la Première Guerre mondiale ou il perd un poumon. Son frère est tué au cours de ce meme conflit. Lors de la Seconde Guerre mondiale, il s'engage dans la lutte clandestine en aidant et en ravitaillant l'armée des "combattants de l'ombre". Le 26 septembre 1943, Ernest Ménessier est arreté, interné un mois à Troyes puis déporté au camp de Buchenwald. De là, il est déporté au camp de Flossenburg où il décède le 20 aout 1944. Une rue du village porte son nom. (516)
Bernard Laurent (1921-1994), fils d'agriculteur, puis exploitant agricole, il fut aussi résistant durant la guerre. Arrêté en juin 1944, il réussi à s'évader. Il est élu maire à 26 ans en 1947. Il occupa cette fonction durant 36 ans. En 1959, il est élu au Conseil général de l'Aube dont il sera le président à partir de 1982 jusqu'en 1990. Il sera aussi élu au Conseil régional de Champagne-Ardenne de 1973 à 1986. Bernard Laurent fut aussi un représentant du peuple, d'abord à l' Assemblée nationale de 1958 à 1962 (sous l'étiquette du Mouvement républicain populaire). En 1981, il devient membre du Sénat.<ref>Eloge funèbre prononcé par René Monory</ref> (756)
Le peintre Claude Domec (1902 - 1983) est originaire de Marnay. Les hommes de radio et de média Frank Ténot et Daniel Filipacchi animèrent longtemps la commune. (171)
Parmi les Méryciens célèbres, Monsieur Adolphe PINARD, né à Méry-sur-Seine en 1844 et enterré dans la même ville en 1934. (136)
Gynécologue-obstétricien, professeur à la Faculté de Médecine de Paris, membre de l'Académie de Médecine, il a fait progresser les techniques d'accouchement. Il a, notamment, inventé le stéthoscope dit "de Pinard". (238)
Pendant la Grande Guerre, le professeur PINARD, s'intéressant au vin donné aux soldats et constatant les dégâts occasionnés par certaines maladies, préconisa d'y ajouter du mercure (?) et de le distribuer dans les tranchées ! Certains suggèrent que les soldats, trouvant à ce breuvage un goût étrange, l'auraient appelé "pinard", du nom de son inventeur. Quoi qu'il en soit, les soldats en redemandaient et tentaient d'augmenter la contenance de leurs bidons pour en avoir de plus grandes rations. (520)
On est, certes, loin de l'étymologie proposée par les linguistes pour le mot pinard. Mais, qu'importe l'origine du mot pourvu qu'on ait l'ivresse d'y croire ! Et d'ailleurs, les deux origines sont peut-être tout à fait compatibles. (235)
* Général Jean Cot : sur la place du village, une stèle est érigée au nom du Général Cot (prénom usuel Michel). Né à Montiéramey en 1934, il a effectué une brillante carrière militaire, tant sur la scène nationale qu'internationnale. (259)
* René Belleuvre : a été maire de Montiéramey durant 47 ans (1951 à 1998). Une plaque lui rend hommage dans la salle polyvalente. (140)
* Arremar : moine bénédictin fondateur de la ville qui a donné son nom au pays : Monasterium Arremari (12ème siècle) transformé au fil du temps en Monstier Arrame, puis en un seul mot : Montiéramey. (219)
* L'Abbé Terray (1715-1778), contrôleur des Finances de Louis XV. Né à Boën-sur-Lignon (Loire). Il se fera construire le château de la Motte-Tilly, sur les bases d'un ancien château médiéval. (208)
Neuville-sur-Seine est le village natal du grammairien Michel de Neuville, parfois dit Michel le Neuvillois, né en 1780. Fils du maître d'école du village, il fit une carrière militaire, et publia à ses frais de nombreux ouvrages de grammaire, dont le plus important est intitulé Grammaire transcendante ou du verbe sous le rapport de la diction (1826). (359)
St Victor de Plancy : évangélisateur de la région (+ 635-640) (64)
Nicolas Forjot : abbé de St loup né à Plancy mécène des arts en Champagne au XVIe siècle. (95)
Henri Beyle : dit Stendhal vint 4 fois à Plancy entre les années 1805-1812. (77)
L'empereur Napoléon Ier coucha au château de Plancy le 19 mars 1814 veille de la bataille d'Arcis. (104)
1794 naît à Plancy Jacques collin dit collin de Plancy, homme de lettres, éditeur dont les écrits sont assez recherchés par les collectionneurs (+ 1881). (158)
Victor Collin de Plancy : fils du précédent, ministre plénipotentiaire en Extrême-Orient. Premier ambassadeur de France en Corée du Sud (1853-1922). (153)
Le révérend père Louis Brisson Plancéen, guidé par son cœur plein de charité sera le fondateur des ordres Oblates et Oblats de St François de Sales (1817-1908). (168)
1914 le futur maréchal Foch commandant la 9e armée de la Marne établit son QG à Plancy durant les jours difficiles de la célèbre bataille du 5 au 11 septembre 1914. (174)
Le docteur Constant Théveny (1845-1927) grande figure de Plancy docteur en médecine - maire de Plancy (1886-1892) conseiller général du canton de Méry-sur-Seine (1886-1927) président du conseil général de l'Aube (1898-1910) député de l'Aube (1910-1927). (263)
Rabbi Jacob ben Meïr dit Rabbénou Tam (1100-1171) (51)
le plus illustre des Tossafistes, fils de Rabbi Meïr ben Samuel et de Yocheved, fille de Rachi, par qui l’Ecole Française du Talmud connut un tel retentissement qu’elle imprima à jamais à l’étude talmudique une méthode de lecture qui rendit le texte simple et transparent. C’est Rabbenou Tam qui intronisa Rachi comme le maître à penser précisément des Tossafistes. (403)
Nicolas Bluget né à Ricey-le-Bas le 11 septembre 1731, mort aux Riceys (Ricey-Bas), Aube, le 9 novembre 1817, député du clergé du bailliage de Bar-sur-Seine en Bourgogne à l'ouverture des Etats Généraux de 1789, curé-doyen (article manquant)
Jean Jacques Nicolas Parisot né à Ricey-Haute-Rive le 5 janvier 1757, mort aux Riceys (Ricey-Haute-Rive), Aube, le 21 décembre 1838, député du tiers état au bailliage de Bar-sur-Seine en Bourgogne à l'ouverture des Etats Généraux de 1789, avocat, neveu maternel de Mathieu François Pidansat de Mairobert, (1737-1779), écrivain (article manquant)
Le peintre Arsène Sari demeura à Rigny-le-Ferron pendant plus de 10 ans où il avait un atelier. (102)
Rigny le Ferron est le village natal de Pierre Fromont (1896-1949). Il était le fils d'un professeur de sciences naturelles, Auguste Fromont, né lui-même à Rigny le Ferron. Il fut élève de l'École normale supérieure (Ulm) de 1919 à 1923. Il fit ensuite l'agrégation d'économie politique des Facultés de droit (1928). Après avoir enseigné à Rennes, il fut à partir de 1942 professeur à la Faculté de droit et de sciences économiques de Paris et à l'Institut national agronomique. Pierre Fromont est l'un des fondateurs de l'Économie rurale en France. Ses oeuvres majeures sont "Économie rurale" (1958) et "Problèmes d'économie rurale" (1963). Il consacra l'une de ses thèses à une monographie consacrée au Pays d'Othe ("Le Pays d'Othe", Nancy 1923). Il est enterré dans le cimetière de Rigny. (850)
À Thieffrain depuis 1954, Simone Lambert y a recueilli nombre de témoignages sur les événements, drôles ou dramatiques, dont les précédentes générations furent les témoins et qu'elle nous transmet en partie dans son ouvrage "Thieffrain, Un village en Champagne" <br /> (294)
* Gildas Bernard (1925-2001), Archiviste paléographe, Lauréat de la Casa de Velãsquez, membre de l'École des hautes études hispaniques, directeur des services d'archives de l'Aube, décédé à Troyes (article manquant)
Villehardouin, ancienne commune de l'Aube, aujourd'hui intégrée à Val-d'Auzon est le berceau de la famille de Villehardouin, qui s'est illustrée dans l'Histoire de l'Empire Byzantin. (190)
''Abbé Jean Durand'' né en 1907. Arrivé en 1936 à Villy-en-Trodes où il restera jusqu'à sa mort. Auteur de nombreux ouvrages et essais. Le plus connu est "Le guide de l'Aube mystérieuse". Il fut le lauréat du tout premier prix littéraire du Conseil Général de l'Aube en 1961. (306)
* Geoffroy Le chroniqueur de VILLEHARDOUIN, chevalier croisé (1190-1194), seigneur de Villehardouin et de Villy-le-Maréchal. Né vers 1148 - Villehardouin (FRA), décédé avant 12 juin 1212 - Thrace (MKD). Maréchal de Champagne (1185-1202), maréchal de Romanie (1204-1212). (284)
* Érard I de VILLEHARDOUIN, seigneur de Villy-le-Maréchal, de Villehardouin et de Lezinnes. Né vers 1175, décédé le 1er juillet 1224 , à l'âge de peut-être 49 ans. Maréchal de Champagne. (202)