* Jean Blanchard est aussi un des martyr de Vingré né le 30 septembre 1879 à Ambierle. Il a été fusillé le 4 décembre 1914 à Vingré<ref>Mémorial GenWeb</ref>. (307)
Pierre PORTERON, le célébre "CACAO" habite cette commune. Il est connu pour ses fameuses gnôles aux prunes, et son goût immodéré du ramassage des escargots (après le 1er juillet évidemment) (211)
C'est dans cette commune que Barbey d'Aurevilly situe le début de son roman Une histoire sans nom. Il ne fait pas un portrait très flatteur du lieu. (158)
Aventurier originaire de Fontimpe, il quitta Le Cergne en 1836 avec une pièce de quarante sous. En 1838, il s’embarqua pour l’île de France (île Maurice) jusqu’en 1841. A Batavia (Jakarta, aujourd’hui en Indonésie), il découvrit un procédé permettant, à peu de frais, de clarifier le suc de la canne à sucre. Son brevet fut à la base de sa fortune. De retour en France, il participa activement au ministère de l’intérieur et aida à la création de notre commune dont il deviendra rapidement le grand bienfaiteur. Il fit construire un château pour sa famille (Château Jalon), finança une partie de la construction de l’église actuelle, le presbytère, et amena l’eau de chez lui jusqu’à la fontaine pour qu’elle serve à l’Eglise et pour les habitants. Il mourut en 1871. (809)
Marie-Philomène VALENTIN (26)
Née au hameau Fontimpe en 1860, elle est rentrée en religion chez les Sœurs de l’Enfant-Jésus de Chauffailles. Le 20 décembre 1885, elle partie au Japon où elle y mourut en le 28 juillet 1951. En 1926, l’Empereur de Japon lui remis la médaille d’or du Grand mérite et la qualifia de «bienfaitrice de l’humanité ». (334)
Amédée PERIER (15)
L’électrification du Bourg a été permise grâce à Monsieur Amédée PERIER. Il fut maire de la commune du Cergne de 1904 à 1918, date de sa mort, bâtonnier de l’ordre des avocats, conseiller général du canton de Belmont de 1892 à 1904. Le 15 novembre 1908, il donna toutes les autorisations nécessaires à la société L’Energie Electrique du Centre pour l’installation de canalisations aérienne. (416)
Ainsi dés 1909, Le Cergne a été un des premiers villages à jouir de l’éclairage électrique avec Cuinzier et Sevelinges la même année. Arcinges, Belleroche, Saint Germain la Montagne, Belmont et La Gresle durent attendre de 1921 à 1930. C’est Ecoche qui fut équipé en dernier, en 1936. (299)
:Jean-Marie Mollin (graphie Molin, Mollen ou Moulin selon les actes) est né le 4 septembre1765, au village du Cros, paroisse de Chalmazel, baptisé par M. Coing, curé. Il est le fils de Jean Mollin et Jeanne-Marie Doitrand, mariés en 1748. Il est le 6e enfant d'une famille de huit. Son frère aîné, Claude, fut curé de Sauvain. En 1788, Jean-Marie entre au Grand séminaire de Lyon, ordonné prêtre le 18 décembre 1790. Vicaire à Feurs, il refuse de prêter serment à la Constitution Civile du Clergé, et doit fuir pour se cacher, à Montbrison et dans d'autres paroisses; il mène une vie errante, cherchant refuge chez des prêtres amis, célébrant la messe dans les granges. Il contracte une grave fièvre durant l'hiver 1792/93 qui ne le quittera plus. (790)
:L'annonce de l'arrivée de Claude Javogues à Montbrison début septembre 1793 l'oblige, avec deux autres compagnons, le diacre Daval et l'abbé Carton, à chercher un refuge plus sûr; ils prennent la direction de Pierre-sur-Haute, à pied. À Chalmazel, un nommé Jarrier avait mis sur pied une bande de « patriotes » pour traquer « les prêtres et les muscadins » cachés dans les montagnes. Les trois fugitifs se cachent dans l'étable de Coleigne les 11 et 12 septembre 1793, puis ils gagnent la loge des Couardes, appartenant à M. Recorbet, le 13 septembre. Malades, fatigués, c'est là qu'ils sont capturés par surprise, et bien qu'ils soient harassés et privés de sommeil, Jarrier et ses acolytes les emmènent le jour-même à Sauvain. En vain Claude Verdier et Durand Jourde (de Saint-Just-en-Bas) avaient-ils courageusement essayé de prendre leur défense. (894)
:Puis ils sont amenés à Montbrison à la prison du Calvaire, le cachot achève d'altérer leur santé. Ils sont transférés ensuite à la prison Sainte Marie, ancien couvent des Visitandines. L'abbé Mollin exerce son ministère auprès des autres prisonniers, leur apportant le réconfort et les secours de la religion, sans mesurer sa peine. Enfin, c'est le transfert dans les prisons de Feurs. La guillotine est dressée le 22 novembre. La commission de justice populaire de Feurs était composée d'Auvergnats nommés par Couthon. L'accusateur public était J. B. Dubien, de Marat. L'interrogatoire de l'abbé Mollin et de ses compagnons commença le 27 novembre; le 3 décembre 1793 la condamnation à mort fut prononcée, et les abbés Carton, Mollin et Bruyère montèrent à l'échafaud pour avoir été réfractaires au serment, et en tant que prêtres catholiques. C'est grâce à deux co-détenus ayant échappé à la guillotine, M. Aubry, instituteur de Leigneux, et le diacre Daval, que les détails de cette période nous sont connus.<ref>Sources : Les martyrs de chez nous, par les abbés Gouttefangeas, 1934, et archives départementales Loire.</ref> (1221)
En 1607, Honoré commence la publication du roman L'Astrée: roman fleuve de 5000 pages dont l'action se passe au 15ème siècle, sur les bords du Lignon, en Forez, qui abrite Les Amours d'Astrée et de Céladon. (252)
*Louis Marius Henri Victor Roux. Né à La Chapelle Villars le , il est instituteur puis militaire. Il a participé à la Première Guerre mondiale avec le grade de capitaine. Il reçoit la Croix de Guerre 3 étoiles, Médaille de la Victoire, Chevalier de la Légion d'honneur. Grièvement blessé en avril 1918, il décède le . (435)
Monsieur René BROUILLET, né sur Cleppé le 9 mai 1909, y est resté attaché sa vie entière. Il fut Auditeur à la Cour des Comptes, Secrétaire du Général de Gaulle; l'un des trois principaux rédacteurs de la Constitution de 1958 avec MM Debré et Capitan; Ambassadeur de France à Vienne, Tunis puis Rome, Membre du Conseil COnstitutionnel, Membre de l'Institut, Membre de l'Académie des Sciences Morales et Politiques... (430)
Luc Garnodier, célèbre défenseur de l'USEM, connu pour ses apports de boissons d'eau à ses coéquipiers. Notre site signalera également que c'est cet homme qui s'occupe du nettoyage des vestiaires. A été approché par les plus grandes équipes du Forez (Montbrison3, Saint Just St Rambert4). (article manquant)
Spécialité: le gonflage de ballon. Nous pouvons noter que son record est de 15 ballons gonflés en une minute. Suite à sa brillante carrière, il souhaite donner un nouvel élan à sa vie, puisqu'il désire chanter. Cependant, sa reprise du "Chant des Partisans" n'a pas eu le succès attendu. (306)
Louis Ribes, né en 1920 à Grammond, réalisera durant sa vie de nombreuses oeuvres principalement picturales. Certaines ont été peintes pour le coeur de l'église et peuvent y être admirées. (196)
Grezolles (Charles-Henri de Gayardon, comte de), seigneur de Grezolles, Aix et Luré, chevalier de Saint-Louis, ancien lieutenant colonel de cavalerie, député de la noblesse du Forez aux Etats généraux de 1789. (214)
Joseph Perey maire depuis 1995 Vice President de la communaute des communes de l' ouest roannais CCOR en charge de l'économie, partie politique udf,parrain Raymond BARRE ancien premier MINISTRE,Joseph PEREY est membre du cercle interobedentiel de PARIS, ancien Président engagé du Mouvement europeende la loire,il a siégé auprés de Valery Giscard d'Estaing President international du Mouvement européen (411)
En 1888, à vingt reprises entre le 19 juillet et le 29 septembre, au lieu-dit Vallensanges, hameau de Lézigneux, la Vierge apparut au jeune Jean-Auguste BERNARD, alors âgé de 13 ans. Suite à ces apparitions, Jean-Auguste BERNARD aurait décidé de devenir prêtre. Il quitta Lézigneux et voyagea à travers le monde, devenant même un proche du pape Benoît XV. A proximité du lieu des apparitions, on construisit une petite chapelle qui devint lieu de pélerinage; cependant il ne fut pas fait de publicité et Lézigneux ne devint pas un autre Lourdes ou un autre Fátima. Jean-Auguste Bernard raconta en détail les apparitions (boule de feu, paroles…) mais ne dévoila jamais les secrets que lui aurait révélés la Vierge. Décédé en 1932, son corps fut ramené à Lézigneux en 1976. (813)
Lors du décès de Monsieur Pierre Fonton, au mois de Novembre 2006, c'est l'adjoint au maire, Monsieur Marc Beyssac qui a dû prendre la direction de la commune. (162)
Jean Dosson(1921-2006), il occupa beaucoup de postes importants dans le village et la région. Il travailla au Centre Communal d'Action Sociale, ou a dirigé le comice agricole de feurs, c'était une personnalité très apprecié. (231)
Paul VEYSSEYRE architecte français en Indochine et Chine ayant notamment construit le cercle sportif français et le palais du gouverneur de Shangai(1896-1963), voir aussi who's who. (183)
* L'abbé Joseph Paret, né en 1807 à Pélussin, fut un des pionniers de la Louisiane aux États-Unis et créateur de la paroisse de Bâton Rouge. Pendant la guerre de Sécession, il revint vivre dans sa famille à Virieu où il mourut en 1872. (249)
* Joseph Voron, originaire de Pélussin mais né à Lyon en 1874. Médecin accoucheur, professeur à la faculté de médecine, membre de l'Académie de Médecine, directeur de la maternité de l'Hôtel Dieu et de la Charité à Lyon. (article manquant)
* Jean-Paul Chavas, né à Pélussin en 1951, économiste américain, docteur en économie rurale, résidant à Madison aux États-Unis. C'est un des économistes américains les plus côtés. Il a publié plusieurs livres en anglais traduits dans de nombreux pays. Il travaille avec des universitaires à l'échelon mondial. (article manquant)
* Hippolyte Berlier, né le 10 mars 1919 à Pélussin, dans le hameau des Fanchises, d'une famille de huit enfants, premier évêque du Niger, entré chez les Rédemptoristes en 1932. Il vit au cœur de la résistance puis à la première Division Blindée pour la libération de la France, ensuite on le retrouve au Niger. À partir de 1950, il est successivement directeur des écoles, responsable religieux de la vice-province rédemptoriste et enfin évêque de Niamey. Il vit sa retraite au Niger chez les Touaregs, jusqu’à sa mort le 22 septembre 1992. Il n'oublia jamais ses origines et chacun à Pélussin se souvient de ses visites régulières dans sa 404 familiale immatriculée au Niger. Il est enterré devant la cathédrale de Niamey où ses nombreux amis chrétiens et musulmans viennent souvent se recueillir. (article manquant)
* Alexandre Jullien, né à Lyon en 1823 et maire de Pélussin de 1852 à 1870. Député de la Loire, membre du conseil supérieur de 1'Agriculture, membre du Conseil de la Banque de France, administrateur du Crédit lyonnais. En 1849, il épouse Hélène Battant de Pommerol. Il fait construire la maison familiale en 1865. On lui doit aussi la construction du pont de Chavanay ainsi que celle du pensionnat Saint-Jean de Pélussin. (article manquant)
* Antoine Eyraud , bienfaiteur de la commune de Pélussin, suite à un don de 30 hectares de forêt. (100)
* Les sœurs Martin (Étiennette et Jeanne) : bienfaitrices, elles ont fondé l'hôpital de Pélussin (101)
"Benoît Malon, né le 23 juin 1841 à Précieux (Loire), près de Montbrison, a joué un rôle important, et souvent méconnu, dans l'histoire du mouvement ouvrier français et international. Ce Forézien est devenu l'un des chefs de l'Internationale, journaliste, député de la Seine en 1870 et adjoint au maire du XVIIe, le quartier des Batignolles, membre de la Commune de Paris, exilé en Suisse et en Italie puis, à son retour en France après l'amnistie, fondateur et directeur de la Revue socialiste." (texte de Claude Latta) (577)
*La Ricamarie est la patrie de Michel Rondet (1841-1908) fondateur des Syndicats et Fédérations des Mineurs de France. Une statue de bronze lui rend hommage sur la place de la mairie qui porte désormais son nom. Haute de 2,10 mètres, pesant 450 kg, elle est l’œuvre du sculpteur Joseph Lamberton. (315)
**Le père Cotton, (° 1524 - † 1626), confesseur d'Henri IV puis de Louis XIII, et fondateur du collège jésuite de Roanne qui deviendra en 1962 le lycée Jean Puy. Durant la guerre de 1914-1918, le lycée fera office d'hôpital. .Une rue porte son nom au faubourg Mulsant. (349)
**Le Père-Lachaise, (° 1624 - † 1709), neveu du père Cotton, élève du collége jésuite (futur lycée Jean Puy), (172)
** Paul Pillet, (° 1907 - † 2002), maire de Roanne de 1959 à 1977, député de la Loire de 1958 à 1962 <ref>Paul Pillet Député</ref>, sénateur de la Loire de 1974 à 1983 <ref>Paul Pillet Sénateur</ref>, (401)
** Yves Nicolin <ref>Roanne passionnément</ref> (° 1963), député dans la 5ème circonscription de la Loire depuis 1993, maire de Roanne de 2001 à 2008, initiateur (et Président du C.A.) de l'Agence française de l'adoption ouverte le 22 mai 2006. (382)
*Artistes et journalistes: (32)
** Émile Noirot, fils de Louis Noirot, peintre, (° 1853 - † 1924), (70)
** Les Frères Troisgros, Jean (° 1926 - † 1983) et Pierre (° 1928), chefs cuisiniers, (100)
** Pierre Étaix (° 1928), acteur et cinéaste: Yoyo, Le Soupirant, etc, (91)
** Michel Granger (° 1946), artiste-peintre, sculpteur, (66)
** Chrys Mahun <ref>Chrys Mahun Site Officiel</ref> (Christian Claveyrolas), né à Roanne (° 1948), auteur, chanteur, compositeur, comédien, "Rose d'or" de la chanson française à Athènes en 1980, sur scène en 2008 avec le spectacle "Rideau rouge" écrit autour des chansons des années 1970/80 avec une chorégraphie emmenée par 12 ballets professionnels, (428)
* Alexandre Prachay, né le 17 mai 1895 à Sail sous Couzan, victime du nazisme.Ancien professeur de mathématique au collège de Pontoise élu au conseil municipal en 1935, Alexandre Prachay était devenu député communiste de la circonscription à la faveur du front populaire de 1936. Moins de 4 ans plus tard, la Chambre des députés interdisant le Parti Communiste, Alexandre Prachay allait être arrêté, jugé, privé de ses droits civiques, et condamné à une lourde ammende. Il disparu quelques temps, reparut à Alger où, soigné à l'hôpital de la Maison Carrée, il mourut en 1943. (article manquant)
Pontoise rebaptisera sa Grand rue en rue Alexandre Prachay, l'enfant de Sail sous Couzan. (89)
Personne reconnue dans le milieu artistique et de l'événement. (64)
Directeur artistique de la Société FMA-FESTYEVENTS, spécialisée dans les grands spectacles pyrotechniques. (111)
En 2002 il était concepteur pour l'entreprise aux Nuits de Feux de Chantilly, le plus grand concours de spectacles pyromusicaux en France. (139)
Depuis deux ans, il est le metteur en scène des spectacles pour les fêtes du Royaume du Barhein ainsi que d'autres feux sur les Emirats Arabes Unis. (150)
- François de La Chaize d'Aix (1624-1709) né au chateau d'Aix qui a donné son nom au célèbre cimetière parisien après avoir été le confesseur du roi Louis XIV. (168)
- L'abbé Janvier dit Père Janvier réfugié au hameau de La Forge pendant la Révolution qui fut guillotiné à Feurs suite à une dénonciation. (147)
- Vincent Durand (1831-1907), archéologue qui fut secrétaire de la Diana (Société historique et archéologique du Forez). (148)
- François de Blumenstein (vers 1730) exploitant au nom du roi les mines de plomb argentifère. (96)
Ludovic Sepio : gardien de but exemplaire de l'équipe réserve de l'Etoile Sportive de Veauche. Il est aussi entraîneur des débutants, des benjamins et des gardiens du club. C'est quelqu'un de très impliqué dans la vie du club. (232)
Famille De Mathevon: Nom très répandu, le "de" marque l’origine, elle souligne que les Mathevon sortent de Villars. En 1670, Jean Mathevon devient Seigneur de Curnieu. Fort riche, il a agrandi, transformé et embelli sa maison (actuelle Mairie) qui se trouve à côté de l’église Saint-André. Il peut même assister à la messe d’une fenêtre de son appartement, château et église étant adossés. Cette habitation passait, en 1880, à la Compagnie des Mines de Villars qui y installe ses bureaux et y loge son directeur puis, plus tard, ses ingénieurs. Sous la municipalité Soulier, la commune rachète les lieux, qui seront investi par la Mairie de Villars dans les années 1980. Les descendants de la famille Mathevon sont actuellement résidents à Saint-Étienne. (803)