manueledensenster@gmail.com, en correction des information d'inscription.

Pardon.

Je suis un fervant concourant des sciences bien que je les penses comme un art sublime.


Appuyer les hypothèses de la philosophie pour détacher la nature de l'être sensible en l'accablant d'un tel repproche sans raison n'est pas le vrai sens de la soufrance que ressent cet être ni sa raison vécu par celui qui appuye ces hypothèse.

Je reconnaîtrai la fidélité du raisonnement que toute fois je remets en question car ma fidélité du raisonnement contradictoire que je prouve par moi même et qui se trouve en la vie, plus largement, est contraire à celle-ci.

Celui qui soufre éprouve la vie.

Celui qui ressent le délire éprouve la vie également.

J'invite chacun à rester proche de la nature.

Ceci est l'épreuve de la vie.


Savoir ce que la notion de déité avant de l'approché avec une simple négation du vraissenblé me semble être le commencement.


C'est avec joie que je découvre la vie aujourd'hui, je l'entends comme ce que je suis.

Je suis alors ouvert pour moi même à retrouver sans nom l'éternel que je suis avec chacune de ses vies.


Nous portons tous en nous les chemins de l'infini.


Veuillez, je vous en prie, pour la garde de votre propre amour, me pardonner si par nature je ne suis pas parfait et qui par manque de rigueur dans l'écriture et mon épreuve personnelle, incapable de parfaire ce texte.


Emmanuel Sens

Manuel De Girardi

Avec l'honneur que je vous dois.

Pardons d'insisté, je suis.

Je vous invite à reculer ce genre de mépris de vous même à la foi pour vous même et pour ceux qui vous l'ont permis.

Vous êtes libres, c'est vrai, votre négation de vous même n'est toute fois pas permise.

Bien que, que se soit vous ou moi même, je suis d'accord encore à cet instant, dire je suis est déjà un mépris de l'être qui nous aimes. Mais ceci par jeunesse de notre esprit.

La notion de déité est une simple référence à ce que l'on persoit aujourd'hui de l'existence, elle est la vie simplement, la naissance l'existence par malheur parfois la mort aussi et encore le dépassement de cette dernière, la résurection, l'éternité et l'infini.

Merci.