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Bibliothèque municipale de Reims
modifierZone d'activité | |
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Forme juridique | |
Siège |
2 rue des Fuseliers, 51100 |
Coordonnées |
La Bibliothèque municipale de Reims (BMR) est une bibliothèque municipale classée répartie sur sept sites à travers la ville de Reims.
Son siège, la médiathèque Jean Falala, constitue la tête du réseau des bibliothèques de lecture publique compte parmi les plus grandes bibliothèques publiques d’Europe avec une surface de 27 700 m2, regroupant différents départements et salles thématiques autour d'une tour de stockage, le « silo » de conservation de 17 étages. Ses collections de manuscrits, d'incunables, de livres anciens, de livres d'artistes, d'estampes et de photographies constituent le deuxième ensemble le plus important de France, après celui de la bibliothèque nationale de France[1] et regroupent environ 3,8 millions de documents[2].
Historique
modifierL'origine de la bibliothèque remonte au XVIe siècle avec la décision des autorités municipales de confier la gestion du collège de la Trinité aux Jésuites. De 1565 à 1762, ces derniers contribuent au développement d'une importante collection de livres et manuscrits, qui s'enrichit sous l'effet de nombreux legs[3],[2].
En 1731, le Consulat de Lyon créé une bibliothèque publique plus « usuelle » dans l'hôtel Fléchères du quartier Saint-Jean, constituée de différents fonds acquis de collections particulières, dont celles de Pierre Aubert en 1731, Brossette en 1733, du président de Saint-Mauris en 173[Quand ?], Morand en 1738[4]. Les lecteurs ne peuvent cependant que consulter sur place des ouvrages spécialisés dans le domaine juridique[5].
Après l'expulsion des Jésuites du royaume, la bibliothèque du collège et ses 40 000 ouvrages deviennent publics en 1765. La bibliothèque de l'hôtel Fléchères est fermée par le Consulat, qui décide de regrouper les deux bibliothèques au collège de la Trinité, désormais géré par les oratoriens[6].
Les collections souffrent des événements de la Révolution : « après les enlèvements, la bibliothèque demeurée sans gardiens et toute ouverte, fut livrée à des bataillons de volontaires qu'on y caserna […] Les révolutionnaires, dans la pensée de faire disparaître les livres de piété, et ne sachant pas lire, en anéantirent un grand nombre d'autres, les vendirent ou les dispersèrent »[7], rapporte Antoine-François Delandine. Ce dernier devient le premier conservateur de la bibliothèque de Lyon en 1804, après que sa gestion en soit confiée à la municipalité, qui doit en financer le fonctionnement[8]. La Grande Bibliothèque est installée sur le quai de Retz (aujourd'hui quai Jean-Moulin)[6].
En 1831, une seconde bibliothèque municipale est créée par le maire de Lyon, Victor Prunelle, sous le nom de Bibliothèque du Palais-des-Arts (à la place de l'actuel Musée des beaux-arts de Lyon)[9].
En 1911, face au manque de place, les collections des deux bibliothèques sont rassemblées au palais Saint-Jean, ancien archevêché, réquisitionné à la suite de la loi de séparation des Églises et de l'État[6]. Trop à l'étroit dans ces murs, la bibliothèque centrale est une nouvelle fois déplacée en 1972 par le maire, Louis Pradel, vers des locaux neufs dans le quartier de la Part-Dieu[8].
Le service de prêt est assuré par les bibliothèques de mairie actives, dont l'origine remonte à l'arrêté municipal du . S'ensuit la création de bibliothèques d'arrondissement, « dépôts de livres ouverts tous les soirs entre 19h et 20h », qui ferment durant la première Guerre mondiale. Henri Joly, directeur de la Bibliothèque municipale de Lyon à partir de 1924, lance la création d'un réseau d'annexes : la première ouvre dans la mairie du 4e arrondissement de Lyon en 1958, puis dans le 7e en 1960, dans le 6e en 1963 et dans le 1er en 1964[10].
En 1995, la Bibliothèque municipale de Lyon est la première bibliothèque municipale de France à donner un accès public à des postes informatiques connectés à Internet[11].
En 1999, la bibliothèque accueille un important dépôt : la collection jésuite des Fontaines, soit environ 500 000 documents (manuscrits, monographies, périodiques, iconographie) du XIe siècle à nos jours.
En 2004, un service de questions-réponses via Internet est créé, le Guichet du savoir.
Le , la bibliothèque numérique Numelyo, issue de la numérisation des fonds de la bibliothèque municipale de Lyon, entre en service[12],[13]. Les opérations de numérisation remontent à 1993[11] et ont été renforcées en 2009 par le partenariat passé avec Google Livres.
En août 2014, la BML et la ville de Lyon accueillent le 80e congrès mondial de l'IFLA qui se tient au Palais des congrès de la cité internationale[14],[15]. Le thème en est : « Bibliothèques, Citoyenneté, Société : une confluence vers la connaissance »[16].
Sites
modifierBibliothèque de la Part-Dieu
modifierLa bibliothèque de la Part-Dieu a été créée en 1972, dans le cadre de l’aménagement du nouveau quartier de la Part-Dieu initié dans les années 1960[17]. Ensemble de plusieurs bâtiments de cinq étages construits autour d'un « silo » de stockage de 17 niveaux, elle a été conçue par l’architecte Jacques Perrin-Fayolle pour prendre le relais de la bibliothèque du Palais Saint-Jean, qui ne pouvait plus répondre au flux croissant d’usagers[18]. Outre de très importantes collections documentaires et patrimoniales, elle devait également accueillir le Dépôt légal imprimeur régional et se voir rattacher le réseau des bibliothèques de prêt de l'ex-Urbaine de prêt, soit 14 annexes et 2 bibliobus.
Ouverte au public le 1er janvier 1974, la bibliothèque de Lyon était à l’époque la première de France pour sa capacité de lecture et la deuxième pour l’importance de ses fonds. Elle pouvait accueillir jusqu’à 1 300 lecteurs dans 27 000 m2 répartis sur une dizaine de salles[19], dont la salle de documentation régionale, la première du genre en France, centrée sur l'actualité et l'histoire du Grand Lyon et de la région Rhône-Alpes[20]. Elle abrite aussi historiquement le premier fonds LGBT d'une institution publique française[21]. En 1995, les salles de lecture et de références sont transformées en départements thématiques[11].
En 2007, une entrée principale a été ouverte face à la gare, plus visible que l'entrée d'origine cachée par le centre commercial[22].
Réseau
modifierOutre le bâtiment principal situé dans le quartier de la Part-Dieu, le réseau de la bibliothèque n'a cessé de s'étendre au fil du temps. Il compte aujourd'hui quinze bibliothèques d'arrondissements et un bibliobus[23],[24]. La dernière en date est située dans le 3e arrondissement, quartier Montchat/Lacassagne[25].
Nom usuel | Dédicataire | Année d'ouverture | Adresse | Particularités |
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Bibliothèque du 1er | 1982 | 7 rue Saint-Polycarpe | ||
Bibliothèque du 2e | 2003 | 13 rue de Condé | ||
Bibliothèque du 3e | 1980 | 246 rue Duguesclin | ||
Bibliothèque du 3e Lacassagne | Marguerite Yourcenar | 2017 | 86 avenue Lacassagne | |
Bibliothèque de la Part-Dieu | 1972 | 30 boulevard Vivier-Merle | Bibliothèque centrale (conservation et dépôt légal) | |
Bibliothèque du 4e Croix-Rousse | 2006 | 12 bis rue de Cuire | ||
Bibliothèque du 5e Saint-Jean | 1976 | 4 avenue Adolphe-Max | ||
Bibliothèque du 5e Point du Jour | 2008 | 10-12 rue Joliot-Curie | ||
Bibliothèque du 6e | Clémence Lortet[26] | 1963[27] (nouveau bâtiment en 2017) | 33 rue Bossuet | |
Bibliothèque du 7e Guillotière | 1984 | 25 rue Béchevelin | Bibliothèque spécialisée jeunesse | |
Bibliothèque du 7e Gerland | 2017 | 34 rue Jacques-Monod | ||
Bibliothèque du 7e Jean Macé | 2008 | 2 rue Domer | Bibliothèque spécialisée adolescents et adultes | |
Médiathèque du 8e Bachut | Marguerite Duras[28] | 2007 | 2 place du 11-novembre-1918 | Cap'culture santé |
Bibliothèque du 9e La Duchère | Annie Schwartz[29] | 2011 | 4 place de l'Abbé-Pierre | |
Bibliothèque du 9e Saint-Rambert | 1983 | 3 place Schönberg | ||
Médiathèque de Vaise | Marceline Desbordes-Valmore[30] | 2000 | place Valmy | Département « Arts vivants » |
Bibliobus | Pôle mobile |
Collections
modifierLa plupart des collections patrimoniales ainsi que le dépôt légal sont conservés dans le « Silo », un magasin de stockage haut de dix-sept étages attenant à la bibliothèque de la Part-Dieu, d’une capacité théorique de deux millions de volumes[31] ; celui-ci possède son propre système de climatisation qui contrôle la température et le taux d'hygrométrie afin de maintenir le bon état des collections. Un monte-charge mécanique toujours en fonctionnement depuis 1972, le « Pater noster », assure la communication des ouvrages entre les différents étages et jusqu'aux banques de distribution au public, au 2e étage pour les documents généraux, au 4e pour les documents du fonds régional et au 5e étage pour ceux du fonds ancien (documents antérieurs à 1920)[32].
Les collections patrimoniales de la BML rassemblent celles issues du Collège jésuite de la Trinité ainsi que de nombreux dons et legs. Les confiscations révolutionnaires ont accru de manière conséquente ce fonds par l’arrivée des bibliothèques des différents ordres de la région lyonnaise. Enfin, la collection patrimoniale s’enrichit continuellement par des achats mais aussi par le biais du dépôt légal des imprimeurs des huit départements de la région Rhône-Alpes.
Ainsi, le fonds patrimonial lyonnais représente 11 400 manuscrits, dont 50 manuscrits mérovingiens et carolingiens, 500 manuscrits médiévaux, dont 200 enluminés, ainsi que 600 000 ouvrages imprimés avant 1921, dont 1 150 incunables, 100 000 estampes, 90 000 disques (dont 15 000 78 tours), 40 000 photographies et 50 000 documents chinois[33].
Nom du fonds | Date d'entrée dans les collections |
Description | Volume |
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Adamoli | 1960 | Ouvrages provenant des collections du bibliophile lyonnais du XVIIIe. Livres illustrés, manuscrits, incunables, plaquettes sur les Jésuites, etc. | 15 000 documents |
Affiches illustrées | XXe | Affiches françaises et étrangères, fin XIXe et XXe siècles | 750 pièces |
Ancienne Fondation Nationale de la Photographie | 1993 | Plaques de verre noir et blanc, autochromes, tirages papier, stéréosynthèses, plaques panoramiques, livres sur la photographie, etc. | 4 000 plaques autochromes, 30 000 plaques noir et blanc, 800 livres provenant de la bibliothèque des frères Lumière, 5 500 tirages papier noir et blanc, 500 tirages papier couleur, etc. |
Becker | 1894 | Histoire de la musique, partitions | 1 200 documents |
Chomarat | 1992 | Ouvrages d'ésotérisme (notamment Nostradamus), sur l'anarchisme, sur la franc-maçonnerie, sur l'histoire et la culture LGBTQI+, les criminels, sur l'histoire du livre. Tracts syndicaux, affiches politiques, jeux, almanachs, iconographie religieuse. Le fonds est la propriété de Michel Chomarat. | 60 000 documents |
Chinois | 1974 | Monographies, livres et périodiques en langues chinoises de la bibliothèque de l’institut franco-chinois établi à Lyon entre 1921 à 1946, complété en 1983 par un don de la République populaire de Chine et par des achats, dons et legs du Général Jacques Guillermaz, de madame Michelle Loi et de Léon Vandermeersch. La collection de la bibliothèque des jésuites des Fontaines complète cet ensemble. | 50 000 documents du XXe siècle |
Coste | 1855 | Livres, brochures, journaux, affiches, estampes, plans et cartes, portraits, manuscrits concernant l'histoire de Lyon et de la région | 19 000 pièces, dont 3 642 estampes, 1 309 manuscrits |
École de tissage de Lyon | 1985 | Revues et ouvrages anciens (jusqu'en 1960) sur le tissage, la sériciculture, la mode, les arts décoratifs, les colorants, etc. | 12 000 documents |
France 3 Rhône-Alpes Auvergne | 1993 | Disques 78 tours, disques microsillons 33 tours et 45 tours, bandes magnétiques, etc. | 80 000 volumes |
Guerre de 1914-1918 | 1914 à 1921 | Livres, affiches, périodiques, photographies, textes de propagande, etc. de tous les pays belligérants, acquis de 1915 à 1919 par le bibliothécaire Richard Cantinelli[34] sous l'impulsion du maire de Lyon de l'époque, Édouard Herriot | 20 000 documents |
Lacassagne | 1921 | Livres et documents sur Marat, sur l'anthropologie et la médecine légale | 12 000 volumes, 250 manuscrits, nombreux dossiers de presse |
Manuscrits d'écrivains | XVIIIe au XXe | Manuscrits de Jean-Jacques Rousseau, abbé Morellet, Claude Farrère, Jean Reverzy, Louis Calaferte, Stanislas Rodanski, Jean Genet, Pierre Molaine, etc. | 200 pièces |
Neufville de Villeroy | 1693 | Livres du XVe au XIXe siècle, manuscrits, important fonds espagnol | 5 000 documents, 210 titres pour le fonds espagnol |
Ce fonds comporte de nombreuses autres collections remarquables :
- un fonds important de partitions musicales anciennes, de disques d’archives et de chansons populaires ;
- plus de 120 000 estampes anciennes. Les collections de Camille de Neufville de Villeroy et d’Adamoli constituent la base de ce fonds qui s’est enrichi de nombreuses pièces rares ou uniques (Dürer, Rembrandt, Callot, etc.) ;
- d’importantes collections photographiques (André Kertesz, Robert Doisneau, William Klein, etc.) ;
- près de 13 000 titres de périodiques, dont 4 000 vivants.
Il contient également des pièces rares et précieuses :
- un Psautier du VIe siècle écrit en onciale, un Heptateuque du VIIe siècle, et de nombreux textes de saint Augustin et de saint Jérôme ;
- une bibliothèque carolingienne dont certains manuscrits remontent au IXe siècle, parmi lesquels un Évangéliaire et le De Laudibus Sanctae Crucis de Raban Maur ;
- de nombreuses impressions lyonnaises du XVIe siècle (Rabelais, Maurice Scève, etc.) ;
- des manuscrits religieux : des bibles, dont une du XIIe siècle, des missels dont le Missel de la Sainte Chapelle de Paris, le missel de Jean Rolin, le missel de Thomas James, une quarantaine de livres d'heures enluminés ayant appartenu à Marie Tudor[35] ainsi qu'un Rituel Cathare dont il ne reste que quelques exemplaires au monde ;
- des manuscrits d'écrits profanes : plusieurs versions du Roman de la Rose, un Ovide Moralisé, etc.
Collection jésuite des Fontaines
modifierDepuis 1998, la bibliothèque municipale de Lyon possède en dépôt la collection jésuite des Fontaines, faisant suite à la décision de fermer le Centre culturel des Fontaines situé à Gouvieux, près de Chantilly. Pas moins de 500 000 documents ont rejoint la bibliothèque. Ils y ont conservé leur classement d'origine de telle manière que l'architectonique et l'esprit de cette grande bibliothèque jésuite ont été sauvegardés. La collection, bien qu'à dominante religieuse, est très largement encyclopédique. Elle inclut aussi un fonds chinois très important, comprenant les travaux scientifiques menés par les jésuites à Shanghai, des traductions d’ouvrages religieux et des grands textes classiques.
Entreprise de numérisation
modifierEn juillet 2008, la municipalité de Lyon, à la suite d'un appel d'offres, passe un marché avec Google Livres pour la numérisation du fonds[36]. L'entreprise « s'engage à prendre à sa charge, sans contrepartie financière, la numérisation et la mise en ligne d'une collection de 450 000 ouvrages imprimés au minimum et de 500 000 ouvrages imprimés au maximum, dans un délai de dix ans au maximum […] uniquement parmi ses ouvrages imprimés et libres de droits »[37]. Cette action a permis à la BML d'alimenter sa propre bibliothèque numérique, Numelyo, accessible en ligne à partir du 12 décembre 2012, et permettant d'accéder à ce jour à près de 200 000 documents sous licence Creative Commons[13],[12].
Autres services
modifierAu-delà de la mise à disposition de ses collections, la bibliothèque municipale de Lyon offre d'autres services, comme :
- Le Guichet du Savoir, service de questions-réponses en ligne[38], a été mis au point à la fin de l'année 2003 avant d'ouvrir au public le [39]
- L'Influx, webzine, qui a pris la suite des dossiers en ligne Points d'actu[40].
Directeurs des bibliothèques de Lyon
modifier- Antoine-François Delandine (1756-1820) : bibliothécaire de 1803 à 1820
- Antoine Péricaud (1782-1867) : bibliothécaire de 1827 à 1847
- Jean-Baptiste Monfalcon (1792-1874) : conservateur adjoint de la bibliothèque du Palais des Arts de 1841 à 1847 puis conservateur de la bibliothèque de la Ville de Lyon de 1847 à 1874
- Étienne Mulsant (1797-1880) : bibliothécaire adjoint (1838) puis bibliothécaire en chef de 1874 à 1880
- Aimé Vingtrinier : sous-bibliothécaire en 1874 puis directeur de 1880 à 1891
- Félix Desvernay (1852-1917) : administrateur de 1891 à 1904
- Richard Cantinelli (1870-1932) : bibliothécaire-en-chef, directeur de la bibliothèque de 1904 à 1923
- Henry Joly (1892-1970) : directeur de la bibliothèque de 1924 à 1962
- Henri-Jean Martin (1924-2007) : conservateur, directeur de 1962 à 1970
- Jean-Louis Rocher (1927-2018) : conservateur, directeur de 1970-1992
- Patrick Bazin (1950-…) : conservateur, directeur de 1992 à 2010
- Gilles Éboli (1958-…) : conservateur, directeur de 2011 à 2020
- Nicolas Galaud : conservateur, directeur depuis 2020
Bibliographie
modifierArticles et analyses
modifier- Gérard Corneloup, Dictionnaire historique de Lyon, Lyon, Stéphane Bachès, , 1501 p. (ISBN 978-2-915266-65-8 et 2-915266-65-4, BNF 42001687), p. 148-150
- Patrick Bazin, Dictionnaire encyclopédique du Livre, Paris, Éditions du Cercle de la Librairie, , 1071 p. (ISBN 2-7654-0910-2), p. 822-823
- Henry Joly, Les richesses des bibliothèques provinciales de France : historiques des dépôts, œuvres d'art, manuscrits, miniatures, livres, reliures, musique, dessins & gravures, monnaies & médailles, fonds locaux, spécialités, vol. 2, Paris, Éditions des bibliothèques nationales de France, , 232 p., p. 1-16
Études
modifier- Gérard Corneloup, Collections : Bibliothèque de Lyon, Bibliothèque municipale de Lyon, , 28 p., extrait de Patrimoine des bibliothèques de France : Auvergne, Bourgogne, Rhône-Alpes, vol. 5, Paris, Payot, , 255 p. (ISBN 2-228-88968-7), p. 132-149
- Bibliothèque municipale de Lyon, Tout ce vous avez toujours voulu savoir sur la Bibliothèque municipale de Lyon sans jamais oser le demander, Bibliothèque municipale de Lyon, , 50 p.
- Henri-Jean Martin, « Les bibliothèques publiques de Lyon et le musée de l'imprimerie », Bulletin des bibliothèques de France, no 12, (ISSN 0006-2006)
- Corinne Marty, Les bibliothèques publiques de la ville de Lyon du XVIIe au XIXe siècles : d'après les papiers d'un érudit lyonnais : Jean-Baptiste Monfalcon, 1792-1874 (Mémoire de maîtrise d'histoire à Lyon III, 1988), Lyon,
- Léopold Niepce, Les bibliothèques anciennes et modernes de Lyon, Henri Georg, , 633 p.
Notes et références
modifier- « Mission de la BML », Bibliothèque municipale de Lyon (consulté le ).
- « Bibliothèque Municipale de Lyon », Région Rhône-Alpes (consulté le ).
- BML 1997, p. 8.
- Léopold Niepce 1876, p. 45.
- Gérard Corneloup 2009, p. 148.
- Gérard Corneloup 2009, p. 149.
- cité par Léopold Niepce 1876, p. 92.
- Patrick Bazin 2005, p. 822.
- Léopold Niepce 1876, p. 155.
- Henri-Jean Martin 1965, p. 403.
- Histoire de la bibliothèque de la Part-Dieu
- « Lancement de la bibliothèque numérique Numelyo », sur lyon.fr.
- « "Numelyo": La bibliothèque municipale de Lyon en ligne », sur rhone-alpes.france3.fr.
- « IFLA 2014 A LYON », sur cfibd.fr.
- « L'IFLA 2014 à Lyon », sur lyon.fr.
- « IFLA 2014 LYON », sur bm-lyon.fr.
- Collectivités, décembre 1973, no 258.
- Bibliothèque municipale de la Part-Dieu: notice de présentation, Bibliothèque municipale de Lyon, septembre 1969.
- Lyon Part-Dieu, Société d'équipement de la région de Lyon, 1987, p. 35.
- « Documentation Lyon et Rhône Alpes », sur bm-lyon.fr.
- Ariane Chemin, « Le procès des « backrooms » du club Le Manhattan, moment symbolique dans l’histoire des luttes homosexuelles », sur Le Monde, (consulté le ).
- « Une nouvelle entrée pour la Bibliothèque municipale de Lyon », sur linflux.com.
- Lire en ligne (.pdf) « Organisation de la BML (rapport 2009) », sur bm-lyon.fr.
- « Historique de la BmL », sur bm-lyon.fr (consulté en ).
- « La Friche RVI, lieu plusieurs fois précurseur », sur linflux.com, (consulté le ).
- « Une bibliothèque nommée Clemence Lortet », sur bm-lyon.fr (consulté le ).
- « Chronique des bibliothèques. », Bulletin des Bibliothèques de France, no 1, , p. 23-25 (ISSN 1292-8399, lire en ligne, consulté le ).
- « Médiathèque du Bachut - Marguerite Duras », sur lyon.fr (consulté le ).
- « Bibliothèque Annie Schwartz », sur gpvlyonduchere.org (consulté le ).
- « Présentation de la bibliothèque - Médiathèque de Vaise », sur bm-lyon.fr (consulté le ).
- Jacques Perrin-Fayolle, La nouvelle bibliothèque municipale de Lyon à la Part-Dieu, , p. 15.
- « Silo de stockage », sur bm-lyon.fr.
- Gérard Corneloup 2000, p. 26-29.
- Nicolas Beaupré, Anne Charmasson-Creus, Thomas Breban, Fanny Giraudier, 14-18, Lyon sur tous les fronts : une ville dans la Grande Guerre, Milan, Silvana Editoriale, , 245 p. (ISBN 9788836629398), p. 123.
- « Marie d'Angleterre, reine de France, 1496-1534 », sur bm-lyon.fr.
- Lire en ligne (.pdf) le communiqué de la direction de la bibliothèque ; les clauses techniques ; l'article du quotidien La Croix du 23 septembre 2009 ; consultés le 24 septembre 2010.
- « Lyon se livre à Google » - Télérama.fr
- « Le Guichet du Savoir », Bibliothèque municipale de Lyon (consulté le ).
- Christelle Di Pietro et Bertrand Calenge, « Le Guichet du savoir : Répondre aux demandes de contenu », Bulletin des bibliothèques de France, no 4, , p. 38–42 (lire en ligne).
- « Le point sur l’actualité », Bibliothèque municipale de Lyon (consulté le ).
- « Les équipes », sur www.bm-lyon.fr (consulté le ).
Voir aussi
modifierArticles connexes
modifier- Numelyo : bibliothèque numérique de la bibliothèque municipale de Lyon
Liens externes
modifier- Guichet du savoir
- L'Influx
- Numelyo
- Cap'culture santé
- Bibliothèque municipale de Lyon, définition du Dictionnaire de l'ENSSIB, 2012.