Utilisateur:Gregshaw777/Brouillon David Carr-Brown

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David Carr-Brown, né en 1956 dans le nord de l'Angleterre, et installé en France depuis 1977, est un réalisateur, caméraman, scénariste et monteur de documentaires télévisuelles. Maître de l'investigation, et de l'enquête de terrain, il a notamment signé l'explosif République Atomique, le passionnant Intérieur Nord, et le très marquant Mauvais Garçons.

Auteur d'une carrière extrêmement riche, faite de chutes et de montées renversantes, il a collaboré pour les plus grandes chaînes de télévision françaises dont Arte, France Télévisions et Canal+.

Jeunesse

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Originaire de la petite ville de Guildford, dans le nord de l'Angleterre, où la monnaie anglaise est frappée depuis l'année 978, David y passe une enfance tranquille. Désabusé par l'enseignement du lycée, il quitte l'établissement et s'achète une caméra "Bolex standard 8" pour apprendre à faire des films, tout seul dans son coin. Il réalise son premier court-métrage sur son ami d'enfance Kazuo Ishiguro, futur prix Nobel de littérature. La bobine est perdue aujourd'hui.

Il rejoint en 1974 les Beaux-Arts de l'Université Hallam à Sheffield, où le premier département média/cinéma est lancé par un certain Barry Callaghan, auteur d'ouvrages de référence sur la réalisation de films[1]. Il traine avec de futurs grands noms du cinéma comme Peter Lord, co-réalisateur de Chicken Run, et passe des soirées en ville avec les pionniers de la new-wave anglaise, The Human League. Après avoir obtenu son diplôme en «fine arts», spécialité «Directeur de la Photographie», il participe avec simon Holland, qu'il a rencontré à Hallam, à la création du court-métrage documentaire Apathy For The Devil[2], qui narre la transition cruciale entre le punk et le post punk anglais, en 1977, à Londres.

Arrivée en France, et premiers pas à la Télévision

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Il débarque en France quelques mois plus tard, et après avoir refusé d'être le premier assistant réalisateur de Robby Muller, il fait la connaissance du Directeur Général du CNRS, Jean-Michel-Arnold, par l'entremise de sa petite-ami française. Ce dernier vient de lancer le département audiovisuel[3] du Centre National de Recherche scientifique. David est embauché dans la foulée, et part sillonner la France en Ds-Break, à la rencontre des légendes culturelles du début du siècle. Au cours de ce rêve éveillé, il apprend la langue de Molière en filmant des interviews de Jean Rouch, Enrico Fulchignioni, Germaine Delbat, Suzy Delair et Claude-Autant Lara. Il rencontre même René Char, qui refuse d'être filmé

Il rencontre ensuite Hervé Brusini, futur Directeur de l'Information à France Télévisions, qui mène une thèse sur la thématique de l'enfermement. Ils proposent une idée à Pierre Desgraupes, le patron d'Antenne 2 qui a notamment inventé le concept du journal avec prompteur, et recherche de nouveaux talents. Le deal est entériné, les deux apprentis journalistes partent faire le tour du monde des petites peurs qui apparaissent alors dans la société, telles que le phénomène de la ceinture de sécurité, la naissance des première caméras de surveillance et celle du plus gros système de surveillance au monde, qui vient d'être mis en place aux Halles de Paris. Il obtiennent le soutien du philosophe Michel Foucault, qui ne collabore pas directement, mais leur propose une oreille attentive[4]. Tranquillement la Peur est diffusé le 1er mars 1982 sur Antenne 2, un documentaire de cinquante-deux minutes dont la thématique pionnière fait son petit effet, à l'époque.

Il enchaîne avec une trilogie sur Marguerite Duras. Fort de son expérience au CNRS, il intègre le Quai d'Orsay, ou Ministère des Relations Extérieures, qui soutenait financièrement les archives du Centre National de Recherche. L'Association pour la Diffusion de la Pensée Française souhaite fabriquer des cadeaux pour les hauts dignitaires étrangers, il se rend alors dans la demeure de l'écrivaine, avec toute une équipe de production autour de lui. Il y construit une régie, et filme Duras, mais aussi Gérard Depardieu. Ce dernier évoque longuement, dans l'épisode La Dame des Yvelines[5], le documentaire Le Camion qui racontait en 1977 l'histoire d'un film avorté entre lui, et la romancière.

Les années 80, la chute, et la résilience

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Homme d'action, et d'idées, le jeune David co-fonde en 1983 le département audiovisuel de l'agence de photographie de presse Gamma, Gamma Video. Expert dans l'utilisation du tout nouveau format d'enregistrement vidéo Betacam, il s'embarque dans un reportage vertigineux sur le Rainbow Warrior, qui vient d'être coulé dans un port de Nouvelle-Zélande, le 10 juillet 1985. Après avoir placé des caméras dans le second bateau de Greenpeace, et dans celui de l'armée française, et réquisitionné des avions de pointe pour filmer ce moment crucial de l'histoire géopolitique internationale, il vend son reportage à des chaînes de télévision du monde entier. Quand soudain, RFO fait machine arrière, David est forcé de bloquer tous les envois, et se retrouve attaqué pour ingérence par l’État Français. Après avoir été otage du Hezbollah quelques mois plus tôt, il est finalement licencié de l'agence Gamma Video, une affaire qui entérine sa chute.

Blacklisté de la T.V, mais toujours entreprenant, il est engagé par le Centre Dramatique National pour faire du théâtre filmé, avec Gilles sandoz, futur producteur de cinéma chez Agat Films. Ensemble, il captent un nombre immense de pièces, dont l'Indiade ou l'Inde de leurs rêves de Mnouchkine, et un tas d'opérettes. Hyperactif, il construit une nouvelle régie, cette fois-ci au Théâtre de Chaillot, où il archive la totalité de leurs œuvres théâtrales.

C'est l'occasion pour David de toucher à tout, il travaille avec l'artiste Nam-June Paik[6] sur une installation avec 400 téléviseurs[7], réalise des films sur l'industrie, la mode, et hésite à partir dans une carrière en architecture. Libre comme jamais, il tourne un documentaire assez improbable mettant en scène le philosophe Alain Finkelkraut et l'entraîneur de football Guy Roux. Le premier s'essaie à l'analyse footballistique, et le second tente de philosopher, c'est Culture Physique, qui est projeté sur grand écran lors de l'entrée des joueurs au stade de l'Abbé Deschamps, antre du club de l'A.J Auxerre. Un endroit où il traîne beaucoup, où il noue des amitiés avec Basile Boli, et le tout jeune Eric Cantona.

Le come-back, et la création de Final Touch Paris

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Le moral de retour, et le couteau entre les dents, il monte sa propre boîte de productions de films en 1988, Final Touch Paris, et frappe fort d'entrée de jeu avec le montage d'un documentaire intense sur les relations ambivalentes entre l'écrivain Jean-Paul Sartre et la psychanalyse freudienne, illustrées par un scénario jamais vraiment terminé que lui avait commandé le cinéaste John Huston, et par la lecture de son grand roman Les Mots.

Cet objet fascinant, nommé Sartre contre Sartre, est diffusé sur Arte, qui s'appelle encore "La sept", le 22 septembre 1991, à 21h[8]. Le début d'une longue histoire d'amour, avec la chaîne franco-allemande. Après avoir suivi la jeune journaliste Anne sinclair, qui s'inquiète de sa proximité grandissante avec le milieu politique, pour le compte de Canal+, il part aux États-Unis pour mener une grande enquête sur les ghettos noirs américains, avec le journaliste Pascal Dupont. Ils y passent un mois entier et y observent, près de trente ans avant l'éclosion du mouvement Black Lives Matters, la violence raciale des forces de l'ordre, et la désintégration de ces quartiers dans la société américaine. Pour ce documentaire coup de poing, David s'occupe de la caméra, mais aussi du montage et des interviews. Black Ghetto est diffusé en prime-time sur Arte, le 15 avril 1993,[9] et présenté par son ami de chez Radio Nova, Jean-François Bizot.

Journaliste et sociologue, il enchaîne avec une nouvelle exploration sociétale sur le machisme en Europe, qui s'intéresse aux rapports de force entre les hommes et les femmes. Tournée dans les bars en Italie, en Espagne et en Amérique, cette dénonciation pionnière des violences sexistes est entièrement produite par Final Touch. Diffusée elle-aussi par Arte, elle donne lieue à une grande célébration, à Paris, où sont conviés les gays, et quelques strip-teaseuses dominatrices. Le documentaire fait aussi l'objet d'une critique virulente[10], dans le quotidien "Libération".

Avant de bazarder Final Touch Paris, il réalise un rêve de gosse en jouant, d'une certaine manière, les agents doubles. Infiltré dans la secte de l'Ordre du Temple solaire, qui vient d'être victime du massacre d'une cinquantaine de ses membres, il tente de démêler les fils tortueux qui ont conduit à cette tragédie. Armé de sa fidèle caméra, il découvre un monde parallèle, où s'agite tout un conglomérat de personnes, tiraillées entre leur job "normal" et leur identité cachée. Une sorte d'armée secrète, qui se retrouve chaque semaine pour se faire mousser, et s'inventer une vie, certains pensant même devenir des héros de la nation. Le documentaire, Autopsie d'un Massacre, nous explique que toute cette folie mégalomaniaque avait atteint des sommets, et qu'ils étaient tous sur le point de se dénoncer, quand le massacre est survenu, avec également la mafia italienne dans le coup.

Le dernier film pour sa boîte de production, Carr-Brown le dédie à Tony Blair, en se rendant chez le premier ministre anglais, fraîchement élu par ses compatriotes, au printemps 1997. Il n'en fallait pas moins pour découvrir un homme complexe, au verbe parfois messianique, déchiré entre sa passion pour la politique et son amour de Jésus-Christ.

Artline Films, et l'ivresse des sommets

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Embauché par la société de production Artline Films, il s'attaque ensuite à un gros morceau, en continuant la recherche effectuée par Dominique Lorentz dans son livre Une Guerre, sur les mystères de la politique atomique française des quarante dernières années. Il se démène, et réussit à faire parler d'anciens stratèges de l'ombre iraniens[11], irakiens, anglais et bien sur français sur cette question pourtant épineuse, et explosive. En confrontant des images d'archives avec ces interviews exclusives, République Atomique arrive à la conclusion, sans appel, que si la bombe atomique a bien été inventée par un conglomérat d'une centaine de scientifiques internationaux, l'histoire de sa prolifération sur notre planète est, elle, seulement imputable à la France, et aux Etats-Unis. Diffusé sur Arte le 14 novembre 2001, ce documentaire est une sorte d'achèvement pour David, qui entérine définitivement sa qualité de grand journaliste d'investigation. Il aura d'ailleurs, à l'époque, un retentissement assez important[12], avec une couverture médiatique nationale.

Désireux de surfer sur sa bonne dynamique, il entreprend de réaliser un autre rêve, pour un journaliste enquêteur, en projetant de s'infiltrer en Corée du Nord, l'un des pays les plus fermés du monde. Il doit s'y reprendre plusieurs fois, mais à la troisième tentative, il parvient finalement à rentrer à l'intérieur du Royaume Communiste, dirigé alors par Kim-Jung Il, grâce à un badge franc-maçonnique récupéré de la main de Giancarlo Elia Valori, homme d'affaires italien, et grand ami du régime de Pyongyang. Pour réussir à percer le mystère nord-coréen, Carr-Brown a une idée brillante: étudier le cinéma du pays de fond en comble, et l'utiliser comme une véritable source journalistique, qu'il s'agisse des plans de films locaux cultes, qu'il sélectionne et analyse, pour faire plonger le spectateur dans la culture si particulière du pays, et des plans qu'il tourne lui-même, avec sa bonne vieille caméra. Le clou du spectacle, de cette brillante idée, étant les rencontres avec les habitants qu'il filme. Ceux-ci se racontent à travers de longues discussions passionnées sur les films de leur pays. Immersion totale dans le logiciel culturel et intellectuel qui anime les nord-coréens, ce "Intérieur Nord" est fascinant, à plusieurs titres. Au-delà du contrôle des cerveaux, de la famine, de la police culturelle et des difficultés inhérentes à un régime totalitaire, on découvre des individus apaisés, heureux, en paix avec eux-mêmes, fiers de leur royaume et de la non-violence prônée par leur armée à l'idéologie révolutionnaire, qui ne sert qu'à se défendre. De quoi relativiser, comme le faisait Claude Lévi-Strauss en refusant de comparer les sociétés modernes et primitives, sur la supériorité supposée du capitalisme démocratique par rapport au communisme, même le plus autoritaire. Diffusé par Arte en 2002[13], "Intérieur Nord" fera l'objet de nombreux débats, avec du public et des intervenants.

Mais Carr-Brown n'est absolument pas rassasié, et vole une fois de plus au secours de l'un de ses pairs, en l’occurrence le journaliste Christian Poveda. Ce dernier est en conflit avec la boîte de production de Radio Nova, qui l'a envoyé en banlieue, à Creil, pour filmer. Mais Christian patine. David ne va pas seulement lui sauver la mise, il va passer une année dans cette espace de déshérence sociale, communément appelé "la banlieue", sans aucune peur, et dont l'histoire nous est contée dans le documentaire "Mauvais Garçons", qui fait partie de la trilogie "Chroniques de la Violence Ordinaire". Là-encore, David et ses collègues sont des précurseurs. En vivant à l'intérieur des bandes creilloises durant douze mois, la caméra sur l'épaule, ils ne montrent pas seulement la violence: ils en montrent les causes. Transformés en ghetto à cause de promoteurs immobiliers malhonnêtes, ces espaces ne sont pas des zones de "non droit", mais des zones de misère, de tristesse et d'ennui profond. Tous les clichés sont évacués. On voit des jeunes qui ne dont pas méchants, mais plutôt dans un état de tiraillement terrible entre l'amour et la haine de leur pays, des habitants "non issus de l'immigration" qui ne sont absolument pas racistes, et même des policiers qui ne sont absolument pas "contre" ces enfants de la Nation dont on a tué les rêves. Brutalement. Tournée et diffusée sur France Télévisions, en prime-time[14], plusieurs mois avant les émeutes de 2005, cette mini-série empreinte de vérité profonde n'aura malheureusement pas réussi à résoudre à elle toute-seule, ce qui reste encore aujourd'hui comme l'un des problèmes sociétaux les plus graves, et les plus tragiques, de la France. Elle les aura même annoncé. Pour le journal "L'Humanité", il s'agit d'ailleurs "d'un événement qui fera date dans l'histoire de la T.V"[15].

Plongée dans le FBI, semi-retraite et enseignement du journalisme

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Après avoir marqué le documentaire télévisuel, et le journalisme d'investigation, de son empreinte indélébile, il prend un peu de repos. Embarqué dans une énième histoire de réseau parallèle par son ami, le journaliste enquêteur et écrivain Fabrizio Calvi, il filme une société secrète plus qu'étonnante réunissant des hommes de pouvoir du monde entier, mais, comme par un mystérieux enchantement, les rushs sont volatilisés, ou plus vraisemblablement détruits. Les deux collègues se retrouvent en 2009, pour un projet qui fonctionne. Carr-Brown s'installe à Washington, édifie un mini-studio, et interviewe une grosse centaine d'agents du FBI, en autant de jours. Un travail éreintant, mené de front par David et Fabrizio, qui accouchera de deux objets à teneur journalistique. Le premier, sobrement intitulé "FBI", et rédigé par Calvi, prend la forme d'une sorte d'enquête journalistique[16], et le second, du même nom, et réalisé par Carr-Brown, est une série documentaire[17], diffusée sur France 5 en février 2010.

Dans l'optique de passer plus de temps avec sa famille, il met sa carrière en pause durant la décennie suivante. L'occasion, également, de rendre au journalisme ce qu'il lui a donné, en donnant des cours aux élèves de l'école supérieure de journalisme de Paris.

L'obsession de toute une vie, la mort, et Nikita

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Hormis "Troisième Nage" diffusé sur France 3, et pour lequel il ne tient que la caméra, il ne revient au turbin qu'en 2021, pour mettre en boîte, comme à la grande époque, un documentaire écrit, réalisé et tourné, de A jusqu'à Z. Il vient tout juste de frôler la mort, à cause d'une opération ratée, et signe avec une jambe cassée "Votre santé, un trésor très convoité", mastodonte télévisuel de près d'une heure-trente[18], qui revient sur l'ingérance grandissante des GAFAM dans le monde très convoité de la santé. Google, Apple, Facebook et Amazon ne veulent plus seulement sauver la planète, ils veulent sauver la vie de chaque être humain. Documentaire foisonnant, il narre la prise de pouvoir du Big Data sur la médecine traditionnelle, et le contrôle dystopique du numérique sur la réalité de nos vies. Diffusé par un conglomérat de chaînes internationales [19]dont ARTE, Radio Télévision Suisse, LCP, Planète+ Poland et la Radio Télévision Belge Francophone, il obtient une réelle popularité sur la chaîne télévisuelle du troisième millénaire, Youtube.

Installé à Amiens depuis l'année 2022,[20] David veut continuer à faire des films, transmettre sa passion aux nouvelles générations, et prendre du plaisir en faisant ce qu'il sait faire de mieux: investiguer. Il prépare même la finition du projet de toute une vie, sur un cold-case fameux, celui de la mort d'une jeune femme mystérieuse, parfois surnommée "Nikita"[21], dont le décès lié à celui de Gérard Lebovici renferme de nombreuses zones d'ombre, avec, comme souvent, l'ombre des services secrets qui plane au dessus. Une dernière danse pour le roi de l'investigation filmée, respecté par les entités secrètes du monde entier, qui s'annonce aussi savoureuse, et aussi agitée, que le fut sa carrière. Une chose est certaine: il donnera tout pour Nikita, jusqu'à sa propre mort, que le Big Data n'a pas encore réussi à programmer.

Filmographie

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  • 2022: Votre santé, un trésor très convoité, écrit et réalisé par Carr-Brown (documentaire, 83 minutes), Arte, LCP, Radio Télé suisse, Radio Télé Belge Francophone.
  • 2010: FBI, co-écrit et co-réalisé avec Fabrizio Calvi (documentaire, 52 minutes), France 5.
  • 2004: Les Mauvais Garçons, co-écrit avec Pierre Bourgeois et Patricia Bodet, co-réalisé avec Pierre Bourgeois et Patricia Bodet, tourné avec Christian Poveda et Pierre Bourgeois (documentaire, 90 minutes), France-Télévisions.
  • 2001: Intérieur Nord, caméra, scénario, réalisation, montage et prise de risque par Carr-Brown (documentaire, 52 minutes), Arte & BBC.
  • 2001:République Atomique, écrit par Dominique Lorentz, réalisé par Carr-Brown (documentaire, 52 minutes), Arte.
  • 1998: Jacky est sûr, co-écrit et co-réalisé avec séverine Jacquet (documentaire, 26 minutes), la

pt/Arte.e

  • 1996: Débandade, co-écrit avec Pascal Dupont, réalisé par Carr-Brown (documentaire, 55 minutes), La sept/Arte.
  • 1996: Autopsie d'un Massacre, co-écrit et co-réalisé avec David Cohen (documentaire, 49 minutes), France 2.
  • 1994: Les Petits-Enfants de Nanouk, co-écrit et co-réalisé avec sébastien Reignier (documentaire, 29 minutes), la sept/Arte.
  • 1993: Black Ghetto, co-écrit avec Pascal Dupont, caméra, montage et réalisation par Carr-Brown (documentaire), Thema pour Arte.
  • 1982 : Tranquillement la Peur, co-écrit avec Hervé Brusini, collaboration avec Michel Foucault, (documentaire, 52 minutes), Antenne 2.
  1. https://www.thefreelibrary.com/Barry+Callaghan+(1941-2007).-a0192323372
  2. (en) Paul Bowers, « Blackmail », Gunrubber 3,‎ , Page 17
  3. https://www.persee.fr/doc/nda_0242-7702_1980_num_2_1_1902_t1_0048_0000_2
  4. « surveiller et prévenir », Libération,‎
  5. https://imagesdelaculture.cnc.fr/-/dame-des-yvelines-la-
  6. https://www.lexpress.fr/informations/la-face-noire-de-l-ameriquee_605234.html
  7. https://www.centrepompidou.fr/en/program/calendar/event/cK9EAL
  8. https://www.lemonde.fr/archives/article/1991/09/22/sartre-contre-sartre-la-sept-21-h-la-nevrose-de-jean-paul-sartre_4035465_1819218.html
  9. https://www.lexpress.fr/informations/la-face-noire-de-l-ameriquee_605234.html
  10. Emmanuel Poncey, « Machos: le mythe fourre-tout », Libération,‎
  11. Laurence Dequay, « Comment l'Iran a gagné la guerre de l'uranium », Marianne,‎
  12. http://www.artlinefilms.com/?post_type=portfolio&p=4268
  13. http://fr.1001mags.com/parution/arte-magazine/numero-21-18-mai-2002/page-20-21-texte-integral
  14. https://www.letelegramme.fr/ar/viewarticle1024.php?aaaammjj=20050116&article=9313213&type=ar
  15. « Plongée au coeur de la violence urbaine », L'Humanité,‎
  16. https://www.fayard.fr/documents-temoignages/fbi-9782213638690
  17. http://www.culturclub.com/circus/jdp_alachaine/jdp-chaine-0324_FBI_france-5_rencontre_3-3.html
  18. https://boutique.arte.tv/detail/votre-sante-un-tresor-tres-convoite
  19. https://www.cnews.fr/divertissement/2022-03-31/votre-sante-un-tresor-tres-convoite-le-documentaire-fascinant-sur-les
  20. https://www.courrier-picard.fr/id353146/article/2022-10-20/le-documentariste-david-carr-brown-devient-amienois
  21. https://www.sept.info/magazine/6176442187965