Utilisateur:Michel Abada/Article en cours de modification/Actes des Apôtres

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Les Actes des Apôtres constituent avec les épîtres de Paul, une des ressources majeures pour reconstituer les origines du mouvement nazôréen et du mouvement chrétien[1]. ... Les Actes ont fait l'objet d'une critique dévastatrice depuis quelques décennies au point de se voir dénier par certains toute valeur historique[1]. Se pose en effet tout un ensemble de problèmes et d'abord l'irritante question des sources des Actes ; puis celui de la nature du lien entre le rédacteur et les événements qu'il rapporte: témoin direct pour une part, simple rédacteur à partir de documents antérieurs et dans ce cas lesquels ? Enfin, si Luc est rédacteur, quelle valeur historique accorder à son ouvrage[1] ? Les Pères Marie-Emile Boismard et A. Lamouille prennent en compte les divergences entre le texte occidental et le texte alexandrin pour faire ressortir la pluralité des sources et l'évolution de la rédaction, chaque strate rédactionnelle possédant ses propres orientations[1].

Jacques dans Actes des Apôtres modifier

Nous ne savons rien de Jacques le Juste avant qu'il ne surgisse comme l'un des dirigeants de l'Église primitive[2]. Les Actes des apôtres et les épîtres de Paul, « même s'ils le présentent comme un personnage clé, placé au centre des conflits fondamentaux[3] » de l'église primitive, ne nous fournissent guère d'informations sur lui[3]. « Ils nous font davantage percevoir une présence, sorte de statue du Commandeur, qu'un être de chair et de sang[3]. » Lorsqu'il apparaît dans le récit, Jacques le Juste n'a pas été présenté par les auteurs des Actes et à aucun moment son identité ne sera précisée[4], pas plus que Jude qui pourrait être son frère (Ac 15:22). « Cependant, on estime généralement qu'il s'agit du Jacques que Paul appelle le frère du Seigneur[4]. »

Les Actes des Apôtres parlent trois fois de Jacques le Juste (12, 17 ; 15, 13 ; 21, 18)[4]. Dans les lettres de Paul ou les Actes des Apôtres, Jacques joue de façon évidente un rôle prééminent. « Dans la version du Concile de Jérusalem donnée dans les Actes des Apôtres, Jacques préside la réunion et prend la décision finale (15, 6-29)[4]. »

Pierre libéré de prison providentiellement quittait Jérusalem en faisant annoncer sa libération à Jacques (Ac 12:17). D'après les Reconnaissances, Paul aurait pris Jacques à partie sur les marches du Temple alors qu'il exerçait un rôle prépondérant dès cette époque[5]. Paul aurait ensuite emmené une bande de ses partisans pour persécuter l'église, ce qui aurait contraint les adeptes de « la doctrine de vérité » à se réfugier à Jéricho[5]. Lors de ces événements le Grand prêtre est encore Caïphe[6] qui a été démis par Lucius Vitellius à la Pâque 37[7]. On reconnaît dans ces événements ceux qui conduisent au martyr d'Étienne que Paul approuve dans les Actes des Apôtres, avant de mener cette persécution contre l'église de Jérusalem. Ces données sont compatibles avec la date de 37 retenue pour cette exécution d'Étienne par les historiens, qui estiment que cette exécution est intervenue après le renvoi de Ponce Pilate (fin 36 - début 37), alors que son remplaçant Marcellus n'avait que des pouvoirs limités et que le sanhédrin en a profité pour exécuter une condamnation à mort, alors que normalement ce pouvoir était réservé aux gouverneurs romains. C'est en effet le seul cas où Flavius Josèphe, dans la désignation de la fonction de Marcellus, utilise l'expression epimeletes (ἐπιμελητής), c'est-à-dire « préposé », « chargé de mission »[8].

Les Nazôréens au Ier siècle modifier

La rivière du Jourdain où certains hadiths racontent que Jésus y rencontra Yahya ibn Zakariya (Jean-Baptiste fils de Zacharie)[9].

Le mouvement de Jésus naît dans la mouvance de Jean le Baptiste dans les années 30 dans la région Palestine. Le nazoréisme puise sa source en Judée dans deux groupes de disciples de Jésus présents à Jérusalem avant la destruction du Temple en 70, d'une part les jacobiens communauté liée à la figure de Jacques le Juste et, d'autre part les pétriniens qui se réfèrent à la figure de Pierre. Les Nazoréens seraient ainsi le premier groupe à avoir envisagé la messianité de Jésus de Nazareth[10]. La genèse du mouvement se confond avec la communauté chrétienne de Jérusalem[11].

Selon Simon Claude Mimouni, cette perspective a quelque peu été faussée par Epiphane de Salamine qui, le premier, les a considéré comme hérétiques, en les insérant dans sa liste hérésiologique[11]. Un point de vue contesté par J. Munck et R. A. Pritz, (voir Les Nazaréens du Ier siècle n'ont rien à voir avec ceux du IVe siècle).

Genèse du mouvement modifier

Paradoxalement, les détails du début du mouvement (années 40 - 60) sont mieux connus que ce que devient le mouvement après la Grande révolte (66-70) et même après 60. Ceux-ci ont en effet été conservés dans des textes faisant partie du Nouveau Testament chrétien. Il s'agit des Actes des Apôtres et des lettres de Paul de Tarse connu sous le nom de saint Paul.

Avant le déclenchement de la Grande révolte (66-70), trois événements ont marqué non seulement la qehila (communauté) de Jérusalem, mais de fait l'ensemble du mouvement chrétien :

Mis à part le déplacement d'une partie de la communauté de Jérusalem à Pella vers 68, les textes chrétiens sont muets sur l'attitude des nazôréens et de leurs dirigeants pendant la Grande révolte, mais aussi dès la fin des années 50. Ainsi, on ne sait rien non plus, de leur positionnement par rapport aux événements qui ont conduit à cette révolte durant les années 60.

Le conflit d'Antioche et la réunion de Jérusalem modifier

« Le conflit d'Antioche et la réunion de Jérusalem, que l'on date des années 48 - 50, peuvent être considérés comme les deux premiers épisodes connus de la longue saga de l'opposition, qui s'est développée à l'intérieur même du mouvement des disciples de Jésus, entre deux tendances : l'une maximalisant la portée de l'observance de la Torah, avec Jacques et Pierre comme figures principales, et l'autre la valeur de la croyance au Messie, avec Paul essentiellment — les autres péripéties ont été conservées dans les lettres de Paul en Ph 3 et en 2 Co 10-13[13]. »

Paul rapporte de façon assez détaillée, mais naturellement de son point de vue, ce conflit et la réunion de Jérusalem dans une lettre écrite aux communautés de Galatie, probablement la communauté d'Éphèse, dans les années 54-55[12] », alors que le « document paulinien » qui a servi à rédiger cette partie là des Actes des Apôtres date d'une trentaine d'années après les faits.

La réunion de Jérusalem modifier

Reconstitution de la ville de Jérusalem à l'époque de Jésus (vue de l'enceinte fortifiée dans le secteur de l'Ophel).

Le conflit d'Antioche, ne vient pas à proprement parler de divergences avec ce que l'on peut appeler la théologie de Paul de tarse (saint Paul), qui semble se développer ultérieurement, mais d'un phénomème nouveau, qui est l'apparition d'adeptes du mouvement de Jésus, venant directement du paganisme et donc appelés « païens[N 1] » dans les lettres de Paul et les Actes des Apôtres. Il est facile de comprendre que l'observance de la Torah par ces chrétiens d'origine Polythéiste et notamment la question de la circoncision, déjà problématique médicalement pour un adulte à l'époque, mais en plus interdite pour un non-juif dans la société romaine puisque considérée comme une mutilation, soit devenue une question épineuse.

Lors de la réunion de Jérusalem, l'observance de la Torah par les chrétiens d'origine Polythéiste est examinée[12]. Selon Simon Claude Mimouni, « la question de la circoncision, notamment est posée par des pharisiens devenus chrétiens. Elle est examinée par les apôtres et les anciens (Presbytres) en présence de la communauté. Elle est résolue par Pierre qui adopte le principe suivant : Dieu ayant purifié le cœur des païens par la croyance en la messianité de Jésus, il ne faut plus leur imposer le « joug » de la Torah. Jacques accepte la proposition de Pierre[14]. »

Toutefois, Jacques le Juste est inquiété par des problèmes pratiques, qui naîtront dans les communautés[14] comportant à la fois des « adeptes de la Voie » (juifs) et ce que l'on pourrait appeler des « adeptes de Chrestos » (Païens ou plutôt Polythéistes[N 1]), souvent appelées « communautés mixtes » par les spécialistes.

Pour respecter l'obligatoire « pûreté » exigée par l'orthopraxie juive, « il ne faut pas que les chrétiens d'origine juive aient à craindre de souillure légale lorsqu'ils fréquentent les chrétiens d'origine Polythéiste[N 1]. Il propose par conséquent sa décision à l'assemblée de la communauté et enjoint de la notifier aux chrétiens d'origine païenne par lettre : il faut que ces derniers observent un minimum de préceptes en s'abstenant des souillures de l'idolatrie, de l'immoralité, de la viande étouffée et du sang[14]. »

Le conflit d'Antioche modifier

Dans les Actes des Apôtres[15], à la suite de cette réunion, une lettre écrite par « les colonnes » et les anciens et de la communauté de Jérusalem est envoyée aux communautés d'Antioche, de Syrie et de Cilicie et probablement portée par ceux qu'une lettre de Paul appelle les « envoyés (Apostolos) de Jacques »[16]. Il y est demandé aux destinataires d'observer le compromis défini par Jacques. Cette lettre contient probablement les quatre clauses que la tradition chrétienne appelle le Décret apostolique[17] et dont voici l'une des versions:

« L'Esprit Saint et nous-mêmes avons décidé de ne pas vous imposer d'autres charges que celles-ci, qui sont indispensables : vous abstenir des viandes immolées aux idoles, du sang, des chairs étouffées et des unions illégitimes. Vous ferez bien de vous en garder. Adieu[18]. »

Selon Simon Claude Mimouni, ce décret « pose de nombreux problèmes d'ordre littéraire et historique[17] ». Il semble, au vu de la narration de l'incident d'Antioche contenue dans une lettre de Paul[16], que « l'observance de ces quatre clauses a pour objectif de résoudre la question de la communauté de table entre les chrétiens d'origine juive et les chrétiens d'origine païenne[17] », même s'il n'en est fait aucune mention dans le décret que nous connaissons[N 2]. ».

Les envoyés (apôtres) de Jacques, sont Silas et Juda Barsabbas[N 3], un important personnage puisqu'il est probablement le frère de Joseph Barsabbas un personnage du même rang que ceux du « groupe des douze ». Le tirage au sort, lui a simplement préféré Matthias, lorsqu'il a fallu remplacer un Juda. La tradition chrétienne a retenu le surnom de Joseph, Barnabbé, formé à partir d'un jeu de mot sur son nom: Barsabbas donnant Barnabbas (Barnabbé), qui veut dire « fils d'encouragement ».

La venue de ces « envoyés de Jacques », à Antioche, avec probablement des directives orales, provoque un bouleversement dans les habitudes des communaués chrétiennes de la ville. En effet, les judéo-chrétiens et les pagano-chrétiens avaient pris l'habitude de prendre les repas symbolisant l'Eucharistie en commun. Ce à quoi met fin, la venue de Barnabbé et Silas, munis des directives de Jacques. Cela ne se passe pas sans émoi, Paul de Tarse prend même violemment à partie l'apôtre Simon-Pierre et en vient à le traiter d'hypocrite.

« Les événements d'Antioche et de Jérusalem représentent les premières traces connues d'un débat sur l'interprétation de la Torah) en fonction de la reconnaissance du Messie — débat qui ne va cesser de se développer, de manière parfois très vive, durant plus d'une décennie entre Paul et ses opposants[17]. »

Le conflit d'Antioche et la réunion de Jérusalem ont eu une incidence considérable sur les rapports entre les deux tendances principales — les jacobiens/pétriniens d'une part et les pauliniens d'autre-part —, qui donneront par la suite naissance au judéo-christianisme et au pagano-christianisme[19].

Par ailleurs, l'attitude tranchante et véhémente de Paul dans certaines de ses lettres à la suite de ces divers événements et de bien d'autres qui se sont produits en Asie et en Grèce a peut-être fourni, à ceux qui sont demeurés insatisfait de l'accord de 48-49 ou de 49-50, une raison de le considérer comme rompu par lui, le précipitant, lors de sa visite à Jérusalem en 58, dans les turpitudes des prisons et des procès qui vont le conduire de Jérusalem à Rome (aux dires en tout cas de Ac 21, 27-28, 31)[20].

La dernière rencontre de Jacques le Juste et de Paul à Jérusalem modifier

Dans les Actes des Apôtres[21], il est rapporté que lors de son dernier séjour à Jérusalem, Paul a été accueilli très froidement par Jacques le Juste, le chef de la communauté, et les anciens. Ceux-ci lui font savoir que, selon des rumeurs, il a enseigné aux juifs de la diaspora l'« apostasie » vis-à-vis de « Moïse », c'est-à-dire le refus de la circoncision de leurs enfants et l'abandon des règles alimentaires juives. Jacques et les anciens suggèrent à Paul un expédient qui doit montrer aux fidèles son attachement à la Loi, puis lui cite les clauses du « décret apostolique » émis pour les chrétiens d'origine païene, que Paul n'a pas remplies[20]. » Une « rumeur » confirmé par le contenu de ses épîtres, telles qu'elles figurent dans le Nouveau testament.

Un mouvement de contestation houleux, soulevé par des juifs d'Asie entraîne l'arrestation de Paul alors qu'il se trouve dans le Temple[22],[23]. « Apparemment, Jacques et les anciens ne font rien pour lui venir en aide, ni pour lui éviter son transfert à Césarée puis à Rome[23].  »

« Cet incident montre un certain durcissement du groupe de Jacques le Juste en matière d'observance, et qui aboutira quelques années plus tard, en 66, à une révolte armée des juifs contre les armées romaines[23]. »

L'exécution de Jacques le Juste à Jérusalem modifier

« Jacques a été exécuté par lapidation en 62 sur ordre du grand prêtre Ananius ben Anân (le frère de Joseph Caïphe) pendant la période d'anarchie qui a régné à Jérusalem après la mort du procurateur romain Festus (60 – 62) et avant l'arrivée de son successeur Albinus (62 – 64)[23]. »

S. C. Mimouni fait observer que ce n'est pas le premier chrétien d'origine juive à être exécuté à Jérusalem, les Actes des Apôtres parlent en effet de la mort d'Étienne, mais qui ressemble plus à un lynchage auxquels des grand-prêtres se prêtent. Le même livre mentione aussi « le meurtre de Jacques, frère de Jean, par l'épée » sur l'ordre d'Hérode, probablement Hérode Agrippa Ier.

L'exécution de « Jacques, frère de Jésus, appelé Christ » est mentionnée « par Flavius Josèphe[24], mais aussi par de nombreuses sources chrétiennes transmises par Eusèbe de Césarée[25] ou indépendantes de lui, notamment les Ascensions de Jacques — texte de provenance ébionite transmis dans les Reconnaissances[26] — , où Paul, désigné par l'expression « homme ennemi », joue un rôle important dans la mort de Jacques[23]. »

« Ananius, qui appartient au courant Sadducéen, a sans doute pensé rendre service à Rome en supprimant Jacques, car il a dû estimer qu'il est alors sous influence des Zélotes — son initiative a été mal appréciée, et lui a valu d'être destitué de sa charge de grand prêtre[27] » à la demande du nouveau procurateur romain sitôt entré en fonction[27]. Pierre-Antoine Bernheim se pose la question: « Qui était donc Jacques », dans la société de Jérusalem ? En effet, pour que cette exécution provoque le renvoi du Grand-Prêtre qui venait à peine d'être nommé, il faut que Jacques ait été un personnage considérable[28].

« L'exécution de Jacques montre l'influence du mouvement nazôréen à cette époque, et sa perception comme un danger par les autorités du Temple de Jérusalem qui sont saducéennes[27]. »

« La figure de Jacques a été diversement exploitée, aussi bien par les chrétiens d'origine juive que d'origine païenne. On la retrouve dans des écrits nazôréens et ébionites, mais aussi dans des écrits gnostiques de Nag Hammadi — ce qui montre son emploi polysémique[27]. »

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. a b et c Selon François Blanchetière, « Païen est un terme qui n'apparaît dans le sens qui lui est resté aujourd'hui qu'au IVe siècle, il est donc anachronique pour parler des origines du mouvement chrétien ; C'est de plus un terme typiquement chrétien. Il conduit en conséquence et subrepticement à adopter un point de vue christiano-centrique, à la différence du terme plus objectif et neutre polythéiste. » , cf. Blanchetière, Enquête sur les racines juives du mouvement chrétien, p. 150.
  2. Selon Simon Claude Mimouni, on admet en général que ce décret a été émis après la réunion de Jérusalem en l'absence de Paul qui paraît l'ignorer (1 Co 8, 10.) et n'en apprendre son existence que par Jacques lors de son dernier voyage à Jérusalem en 58 (A 21, 25). cf. Simon Claude Mimouni, Les chrétiens d'origine juive dans l'antiquité, Ed. Albin Michel, Paris, 2004, p. 135.
  3. « Nous vous avons donc envoyé Juda Barsabbas et Silas, qui vous transmettront de vive voix le même message (Nouveau Testament, Actes des Apôtres) ».

Références modifier

  1. a b c et d François Blanchetière, Enquête sur les racines juives du mouvement chrétien, p. 103.
  2. Pierre-Antoine Bernheim, Jacques, frère de Jésus,  éd. Albin Michel, 2003, p. 105.
  3. a b et c Pierre-Antoine Bernheim, Jacques, frère de Jésus,  éd. Albin Michel, 2003, p. 19.
  4. a b c et d Pierre-Antoine Bernheim, Jacques, frère de Jésus,  éd. Albin Michel, 2003, p. 14.
  5. a et b Collectif, Écrits apocryphes chrétiens, Pierre Geoltrain (Dir.), Bibliothèque de la Pléiade, Reconnaissances, I, 72s, Tome II, 1997, p. 1681-1682.
  6. Collectif, Écrits apocryphes chrétiens, Pierre Geoltrain (Dir.), Bibliothèque de la Pléiade, Reconnaissances, I, 72s, Tome II, 1997, p. 1678-1681.
  7. Jean-Pierre Lémonon, Ponce Pilate, éd. Atelier, 2007, p. 224-225, extrait en ligne
  8. Michel Dubuisson, Le «procurateur» de Judée , Revue belge de philologie et d'histoire , 1999, vol. 77, p. 135.
  9. "Yahya ben Zakariyya", Encyclopædia of Islam.
  10. Simon Claude Mimouni, « Les groupes chrétiens d'origine judéenne du IIe au VIe siècle », in S. C. Mimouni et P. Maraval, Le christianisme des origines à Constantin, Paris, éd. P.U.F./Nouvelle Clio, pp. 279-285
  11. a et b Simon Claude Mimouni, Les chrétiens d'origine juive dans l'antiquité, Ed. Albin Michel, Paris, 2004, p. 133.
  12. a b et c Simon Claude Mimouni, Les chrétiens d'origine juive dans l'antiquité, Ed. Albin Michel, Paris, 2004, p. 134.
  13. Simon Claude Mimouni, Les chrétiens d'origine juive dans l'antiquité, Ed. Albin Michel, Paris, 2004, pp. 133-134.
  14. a b et c Simon Claude Mimouni, Les chrétiens d'origine juive dans l'antiquité, Ed. Albin Michel, Paris, 2004, pp. 134-135.
  15. Nouveau Testament, Actes des Apôtres, 15, 22-29.
  16. a et b Nouveau Testament, Épître aux Galates.
  17. a b c et d Simon Claude Mimouni, Les chrétiens d'origine juive dans l'antiquité, Ed. Albin Michel, Paris, 2004, p. 135.
  18. Nouveau Testament, Actes des Apôtres, 15, 27-29.
  19. Simon Claude Mimouni, Les chrétiens d'origine juive dans l'antiquité, Ed. Albin Michel, Paris, 2004, pp. 135-136.
  20. a et b Simon Claude Mimouni, Les chrétiens d'origine juive dans l'antiquité, Ed. Albin Michel, Paris, 2004, p. 136.
  21. Nouveau testament, Actes des Apôtres, 21, 17-26.
  22. Nouveau testament, Actes des Apôtres, 21, 27-36.
  23. a b c d et e Simon Claude Mimouni, Les chrétiens d'origine juive dans l'antiquité, Ed. Albin Michel, Paris, 2004, p. 137.
  24. Flavius Josèphe, Antiquités judaïques XX, § 197-203.
  25. Eusèbe de Césarée, Histoire ecclésiastique, II, 1, 4-5 ; [témoignage originaire de Clément d'Alexandrie ; II, 23, 4-18 [témoignage originaire d'Hégésippe]
  26. Ascensions de Jacques, Littérature pseudo-clémentine, Reconnaissances, I, 70, 1-8 ; 71, 1.
  27. a b c et d Simon Claude Mimouni, Les chrétiens d'origine juive dans l'antiquité, Ed. Albin Michel, Paris, 2004, p. 138.
  28. Pierre-Antoine Bernheim, Jacques, frère de Jésus, éd. Noêsis-Agnès Viénot, 1996.