Utilisateur:Michel Abada/Article en cours de modification/Flavia Domitilla (Neutralité)

Proposé par : Michel Abada (d) 19 août 2016 à 22:43 (CEST) modifier

Problèmes de non-neutralité modifier

Un contributeur n'est pas content des articles qui concernent plusieurs saint[e]s chrétien[ne]s. Il s'agit notamment des articles Nérée et Achillée, de l'article Plautilla (sainte chrétienne), de l'article Flavia Domitilla et de l'article Flavia Domitilla (fille de Plautilla), ainsi que de cette page d'homonymie Flavia Domitilla (homonymie). Il a commencé, le 26 juillet 2016 en protestant car selon lui, il n'y avait pas de sainte Flavia Domitilla et le Martyrologe romain en faisait foi. Depuis, il a de multiples fois changé d'avis après avoir reconnu qu'il s'était trompé. En fait, cette position de l'Église catholique (s'il y en a une) ne concerne qu'assez peu wikipédia, elle permet juste de dire que telle Église déclare sainte telle personne, ce qui ne devrait pas poser de problème.

Exposé du problème modifier

Toutefois, dans le cas de ces personnages, il existe un certain imbroglio qui vient probablement du fait qu'au fil des siècles Flavia Domitilla (fille de Plautilla) a été confondue avec la Flavia Domitilla, femme du consul Titus Flavius Clemens qui est la fille de Domitilla la Jeune et qui est beaucoup plus célèbre que l'autre, car elle est mentionnée dans les sources historiennes antiques. Alors que ces personnages étaient plutôt oubliés, ils sont revenus sur le devant de la scène grâce aux découvertes archéologiques faites par Giovanni Battista De Rossi à la fin du XIXe siècle. Ces découvertes ont plutôt confirmé ce que disait la tradition chrétienne antique sur ces personnages, sauf sur un point: une confusion entre deux femmes toutes deux appelées Flavia Domitilla semblait être intervenue. La conséquence de cela était selon De Rossi — suivi par un ensemble d'historiens qui ont travaillé la question à la fin du XIXe début du XXe siècle —, qu'il y avait beaucoup plus de Flaviens et de membres de la haute société romaine qui étaient chrétiens dans les années 60-100 qu'on ne l'imaginait jusque là. Surtout que d'autres découvertes archéologiques semblaient montrer que plusieurs personnages exécutés sur ordre de Domitien parce qu'ils « avaient des mœurs juives » et qu'ils « refusaient d'adorer les dieux » appartenaient à des familles dont la chrétienté était attestée dans les catacombes de Rome dès le IIe siècle. Ces recherches concluaient même que l'évêque Clément de Rome, considéré comme le 3e ou le 4ème « Pape », directement nommé par saint Pierre aurait été un membre de la famille flavienne. Une lettre de ce Clément qu'il adressa à la communauté chrétienne de Corinthe faisait encore partie du Nouveau Testament au Ve siècle avant d'en être retirée, puis de disparaître, avant d'être retrouvée au XVIIe siècle dans le Codex Alexandrinus. L'évêque Clément de Rome aurait été le neveu d'un consul Clemens ou consul Flavius Clemens, que la plupart des historiens identifient avec Titus Flavius Clemens, bien qu'une partie des critiques ait proposé de l'identifier avec un autre consul Clemens lié aux Flaviens appelé Kelomenos dans le Talmud ou encore à Marcus Arrecinus Clemens. Ces trois consuls Clemens ayant été exécutés sur ordre de Domitien, tout au moins les deux premiers avec certitude parce qu'ils avaient des meurs juives et semble-t-il parce qu'ils appartenaient à la branche juive du mouvement chrétien naissant.

Toutefois, ce point de vue n'a pas été accepté unanimement et une partie de la critique ne s'est pas résolue à ces conclusions. Pour elle, la sainte chrétienne était la femme du consul comme la tradition chrétienne du XIXe siècle l'affirmait avant les travaux de De Rossi et malgré leur nombre, les sources chrétiennes antiques qui parlaient d'une nièce du consul Clemens ou nièce du consul Flavius Clemens se trompaient. Une partie importante des autorités catholiques soutenant cette position qui avait pourtant comme conséquence de dire qu'un très grand nombre de sources chrétiennes antiques et anciennes se trompaient, défendant ainsi la tradition chrétienne du XIXe siècle contre la tradition chrétienne antique.

Disparition de douze saints de l'époque apostolique modifier

Alors que la question n'intéressait plus les historiens et que les deux groupes campaient sur leurs positions, l'idée est née que finalement c'était la totalité des personnages mentionnés dans un texte chrétien appelé « Actes des martyres de la vierge sainte Flavia Domitilla et des saints Nérée et Achillée » qui auraient purement et simplement été inventés. C'est cette idée qui semble avoir été adoptée par l'Église catholique en 1969, ou en tout cas cette idée a fortement influencé la décision qu'elle a prise cette année là. Selon le Calendarium Romanum publié cette année là, il a été décidé d'effacer la mémoire de Flavia Domitilla dans le calendrier romain et 12 saints qui lui étaient associés ont purement et simplement disparu des éditions du Martyrologe romain postérieures à cette décision.

Parmi les saints qui ont disparu, il y a par exemple Plautilla, la mère de la Flavia Domitilla qui selon les sources chrétiennes a été exécutée, alors que la femme du consul aurait seulement été exilée sur une île pontique. Cette Plautilla est réputée avoir offert un voile à l'apôtre Paul juste avant son martyre. Cette scène est représentée sur une porte de bronze[1] de la Basilique Saint-Pierre-de-Rome[2], réputée être la reproduction exacte de la porte de la basilique initiale construite au IVe siècle. Toutefois, si ces deux Flavia Domitilla sont la même personne, il y a effectivement une mère en trop car la mère de l'autre Flavia Domitilla est connue et s'appelle d'ailleurs elle-aussi Flavia Domitilla, raison pour laquelle les historiens ont pris l'habitude de l'appeler Domitilla la Jeune.

D'autres personnages posent plus de problèmes ce sont par exemple les chambellans Nérée et Achillée car De Rossi a mis au jour une basilique semi-enterrée construite pour leur mémoire et qu'à Rome existait aussi une Église Santi Nereo e Achilleo qui leur était dévolue. Il a donc été décidé, on ne sait trop par quel processus, que ces Nérée et Achillée, n'étaient en fait pas des chambellans de Flavia Domitilla, mais deux personnage morts en 304 (?) au sujet desquels il n'existe pourtant aucune attestation écrite avant qu'ils aient été inventés au XXe siècle, alors qu'en revanche les attestations liant Nérée et Achillée à Flavia Domitilla sont légions.

La disparition d'une autre sainte pose le même type de problème, il s'agit de sainte Pétronille. Pourtant, elle n'est qu'incidemment impliquée dans l'histoire de Flavia Domitilla, Nérée et Achillée et des 8 autres saints qui ont disparu du martyrologe après 1969. La tradition chrétienne disait simplement que les saints Nérée et Achillée avaient été enterrés à côté de la tombe de sainte Pétronille dans les catacombes de Domitilla. Toutefois, comme pour Nérée et Achillée, il n'est pas possible de faire simplement disparaître cette sainte, car de multiples attestations et preuves archéologiques prouvent son existence. Par exemple, presque toutes les listes des tombes des martyrs romains les plus vénérés des VIe – VIIe siècle, mentionnent la tombe de sainte Pétronille comme située dans la Via Ardeatina à Rome, à côté de la sépulture des saints Nérée et Achillée[3]. Ces notices ont été confirmées par les fouilles qui ont été faites dans les catacombes de Domitilla. La propriété sur laquelle ils ont été enterrés appartenait à une branche de la famille des flaviens. Une topographie des tombes des martyrs romains, l'Epitome libri de locis sanctorum martyrum, localise « Via Ardeatina » une église de sainte Pétronille, dans laquelle deux saints du Ier siècle, Nérée et Achillée, ainsi que Pétronille ont été enterrés[3]. Cette basilique semi-enterrée, construite dans la catacombe de Domitilla, a été découverte et les monuments qui s'y trouvent ont confirmé que les tombes des trois saints étaient autrefois vénérés à cet endroit[4].

Son cognomen Petronilla n'est pas dérivé de Petrus, mais de Petro, Petronis et [...] ce même cognomen figure en tête de la généalogie des flaviens[5].}} Elle est née d'un mariage d'un Flavius avec une Aurelia, ou vice-versa[5].

Un ensemble d'éléments convergent pour indiquer qu'elle était membre de la famille des Flaviens dont trois membres deviendront empereur[6]. Elle a été enterrée dans une propriété qui, à l'époque de Domitien, appartenait à Flavia Domitilla[5],[7]

Comme pour Nérée et Achillée, il a été décidé de couper tout lien avec Flavia Domitilla dans le Martyrologe. Pétronille ne serait plus la sainte convertie directement par saint Pierre dans les années 45-60, mais un personnage de même nom dont on ne sait rien et qui elle-aussi aurait vécu au IVe siècle.

Propositions pour la neutralisation modifier

Proposition modifier

À la suite de la tradition chrétienne telle qu'elle existait à la naissance de la critique historique il y a deux siècles, certains critiques identifient les deux dernières Flavia Domitilla. Toutefois, dans l'édition de 2001 du Martyrologe romain la sainte Domitilla est bien la nièce du consul Clemens et non pas la femme de Titus Flavius Clemens, ce qui est une évolution notable.

2 modifier

À la suite de la tradition chrétienne telle qu'elle existait à la naissance de la critique historique il y a deux siècles, certains critiques identifient les deux dernières Flavia Domitilla. Toutefois, dans l'édition de 2001 du Martyrologe romain la sainte Domitilla est bien la nièce du consul Clemens et non pas la femme de Titus Flavius Clemens, ce qui est une évolution notable.

3 modifier

À la suite de la tradition chrétienne telle qu'elle existait à la naissance de la critique historique il y a deux siècles, certains critiques identifient les deux dernières Flavia Domitilla. Toutefois, dans l'édition de 2001 du Martyrologe romain la sainte Domitilla est bien la nièce du consul Clemens et non pas la femme de Titus Flavius Clemens[15], ce qui est une évolution notable.

4 modifier

À la suite de la tradition chrétienne telle qu'elle existait à la fin du XIXe siècle, certains critiques identifient les deux dernières Flavia Domitilla. Toutefois, la sainte Domitilla est bien la nièce du consul Flavius Clemens et non pas la femme de Titus Flavius Clemens dans les éditions successives du Martyrologe romain au moins jusqu'en 1874[18] et même encore dans le courant du XXe siècle[19]. Malgré cela, il fut décidé en 1969 que l'honneur d'être sainte n'était pas fondé pour Flavia Domitilla[20], vue comme la femme du consul Titus Flavius Clemens. À partir de l'édition de 2001, elle retrouve son statut de sainte mais pas comme vierge et son martyr avec les deux vierges Ephrosyme et Théodora n'est plus mentionné[15]. Elle est toutefois à nouveau la nièce du consul Flavius Clemens, ce qui est une évolution notable.

5 modifier

À la suite de la tradition chrétienne telle qu'elle existait à la fin du XIXe siècle, certains critiques identifient les deux dernières Flavia Domitilla. Toutefois, la sainte Domitilla est bien la nièce du consul Flavius Clemens et non pas la femme de Titus Flavius Clemens dans les éditions successives du Martyrologe romain au moins jusqu'en 1874[25] et même encore dans le courant du XXe siècle[26]. Malgré cela, il fut décidé en 1969 d'effacer la mémoire de Flavia Domitilla dans le calendrier romain, ainsi que le lien avec ses chambellans Nérée et Achillée[27]. Elle continue à avoir son statut de sainte dans le Martyrologe romain, comme en témoigne les édition de 2001 et 2004. Toutefois, elle n'est plus honorée comme vierge et son martyr n'est plus mentionné et les deux vierges Ephrosyme et Théodora tuées avec elle, disparaissent purement et simplement[15]. Son association avec huit autres saints a aussi disparu du martyrologe et du calendrier. Elle n'est par exemple plus associée avec les saints Nérée et Achillée qui ne sont eux-même plus ses chambellans morts à la fin du Ier siècle, mais deux autres personnages qui seraient morts deux siècles plus tard et qui semblent inconnus avant le début du XXe siècle, ce qui est une évolution notable.

6 modifier

À la suite de la tradition chrétienne telle qu'elle existait à la fin du XIXe siècle, certains critiques identifient les deux dernières Flavia Domitilla. Toutefois, la sainte Domitilla est bien la nièce du consul Flavius Clemens et non pas la femme de Titus Flavius Clemens dans les éditions successives du Martyrologe romain au moins jusqu'en 1874[32] et même encore dans le courant du XXe siècle[33]. Malgré cela, il fut décidé en 1969 d'effacer la mémoire de Flavia Domitilla dans le calendrier romain, ainsi que le lien avec ses chambellans Nérée et Achillée[34]. Elle continue à avoir son statut de sainte dans le Martyrologe romain, comme en témoigne les édition de 2001 et 2004. Toutefois, elle n'est plus honorée comme vierge et son martyr n'est plus mentionné et les deux vierges Ephrosyme et Théodora tuées avec elle, disparaissent purement et simplement[15]. Son association avec dix autres saints a aussi disparu du martyrologe et du calendrier. Elle n'est par exemple plus associée avec les saints Nérée et Achillée qui ne sont eux-même plus ses chambellans morts à la fin du Ier siècle, mais deux autres personnages qui seraient morts deux siècles plus tard et qui semblent inconnus avant le début du XXe siècle, ce qui est une évolution notable.

1 modifier

À la suite de la tradition chrétienne telle qu'elle existait à la naissance de la critique historique il y a deux siècles, certains critiques identifient les deux dernières Flavia Domitilla. Toutefois, dans l'édition de 2001 du Martyrologe romain la sainte Domitilla est bien la nièce du consul Clemens et non pas la femme de Titus Flavius Clemens, ce qui est une évolution notable.

  1. La Basilique Saint Pierre de Rome, Porte Sainte à 16 panneaux de bronze.
  2. (el) Grand livre Des saints, Synaxaire orthodoxe, article Ἡ Ἁγία Πλατίλλα ἡ Ρωμαία (La sainte Plautilla de Rome).
  3. a et b Giovanni Battista De Rossi, Roma sotterranea, I, 180-1
  4. Giovanni Battista De Rossi, Bollettino di archeologia cristiana, 1874, p. 5s.
  5. a b et c Giovanni Battista De Rossi, Bulletin d'archeologie chretienne de M. le commandeur J.B. de'Rossi, p. 41
  6. Bull. arch. crist., 1874, p. 8s ; 1875, p. 1s ; 1878, p. 132s ; 1879, p. 158s.
  7. Jean Héracle, Une grande dame de l'ancienne Rome: Flavia Domitilla, petite fille de Vespasien, p. 114.
  8. Richard Gottheil, Samuel Krauss, "Flavia Domitilla" dans Jewish Encyclopedia (1909)
  9. "Ἡ Ἁγία Δομιτίλλα ἡ Μάρτυς" dans Μέγας Συναξαριστής, version en ligne d'une publication homonyme de l'Église de Grèce
  10. Richard Gottheil, Samuel Krauss, "Flavia Domitilla" dans Jewish Encyclopedia (1909)
  11. "Ἡ Ἁγία Δομιτίλλα ἡ Μάρτυς" dans Μέγας Συναξαριστής, version en ligne d'une publication homonyme de l'Église de Grèce
  12. "Sainte Flavia Domitilla" citation de l'actuel Martyrologe romain dans un site de la Conférence des évêques de France
  13. Richard Gottheil, Samuel Krauss, "Flavia Domitilla" dans Jewish Encyclopedia (1909)
  14. "Ἡ Ἁγία Δομιτίλλα ἡ Μάρτυς" dans Μέγας Συναξαριστής, version en ligne d'une publication homonyme de l'Église de Grèce
  15. a b c d e f g et h Martyrologium Romanum, Typis Vaticanis, 2001, p. 259.
  16. Richard Gottheil, Samuel Krauss, "Flavia Domitilla" dans Jewish Encyclopedia (1909)
  17. "Ἡ Ἁγία Δομιτίλλα ἡ Μάρτυς" dans Μέγας Συναξαριστής, version en ligne d'une publication homonyme de l'Église de Grèce
  18. Par exemple, les éditions de 1584, p. 128, 1635, p. 145, 1690, p. 121, 1784, p. 84, 1874, p. 86
  19. Jean Éracle, "Une grande dame de l'ancienne Rome : Flavia Domitilla petite-fille de Vespasien" dans Échos de Saint-Maurice, 1964, tome 62, pp. 109–110
  20. Calendarium Romanum (Libreria Editrice Vaticana), p. 123.
  21. Dion Cassius dit qu'elle fut accusée d'athéisme et réléguée à l'île Pandataria (Histoire romaine 67.14, dont il n'existe maintenant que l'épitomé faite par le byzantin Jean Xiphilin dans le XIIe siècle : traduction française du passage ; texte original en grec).
  22. Sans l'appeler femme de Flavius Clemens ni mère de ses fils, Suétone mentionne une Domitilla une seule fois, en identifiant Stephanus, le principal assassin de Domitien, comme « intendant de Domitilla » (Suétone, Vie de Domitien, chapitre XVII).
  23. Richard Gottheil, Samuel Krauss, "Flavia Domitilla" dans Jewish Encyclopedia (1909)
  24. "Ἡ Ἁγία Δομιτίλλα ἡ Μάρτυς" dans Μέγας Συναξαριστής, version en ligne d'une publication homonyme de l'Église de Grèce
  25. Par exemple, les éditions de 1584, p. 128, 1635, p. 145, 1690, p. 121, 1784, p. 84, 1874, p. 86
  26. Jean Éracle, "Une grande dame de l'ancienne Rome : Flavia Domitilla petite-fille de Vespasien" dans Échos de Saint-Maurice, 1964, tome 62, pp. 109–110
  27. Calendarium Romanum (Libreria Editrice Vaticana), p. 123.
  28. Dion Cassius dit qu'elle fut accusée d'athéisme et réléguée à l'île Pandataria (Histoire romaine 67.14, dont il n'existe maintenant que l'épitomé faite par le byzantin Jean Xiphilin dans le XIIe siècle : traduction française du passage ; texte original en grec).
  29. Sans l'appeler femme de Flavius Clemens ni mère de ses fils, Suétone mentionne une Domitilla une seule fois, en identifiant Stephanus, le principal assassin de Domitien, comme « intendant de Domitilla » (Suétone, Vie de Domitien, chapitre XVII).
  30. Richard Gottheil, Samuel Krauss, "Flavia Domitilla" dans Jewish Encyclopedia (1909)
  31. "Ἡ Ἁγία Δομιτίλλα ἡ Μάρτυς" dans Μέγας Συναξαριστής, version en ligne d'une publication homonyme de l'Église de Grèce
  32. Par exemple, les éditions de 1584, p. 128, 1635, p. 145, 1690, p. 121, 1784, p. 84, 1874, p. 86
  33. Jean Éracle, "Une grande dame de l'ancienne Rome : Flavia Domitilla petite-fille de Vespasien" dans Échos de Saint-Maurice, 1964, tome 62, pp. 109–110
  34. Calendarium Romanum (Libreria Editrice Vaticana), p. 123.
  35. Richard Gottheil, Samuel Krauss, "Flavia Domitilla" dans Jewish Encyclopedia (1909)
  36. "Ἡ Ἁγία Δομιτίλλα ἡ Μάρτυς" dans Μέγας Συναξαριστής, version en ligne d'une publication homonyme de l'Église de Grèce