Utilisateur:Quesson/Brouillon
Nom de naissance | Amamra Nacer |
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Naissance |
France |
Activité principale | Auteur-compositeur-interprète |
Genre musical | Pop, Variété française, soul |
Instruments | Voix, guitare |
Années actives | Depuis 1985 |
Labels | Label indépendant |
Site officiel | Site officiel |
Nom d’artiste, Kevin Ace. Auteur, compositeur et interprète. Ses influences sont si multiples qu'il ne peut pas avoir d’icônes en particulier en ce qui concerne ses sonorités.
Il compose avec passion depuis 1985. Seul son talent artistique et ses qualités humaines sont observés afin de pouvoir intéresser d’éventuelles personnes qui se sentiraient suffisamment en confiance pour investir sur la production et la promotion d’un artiste comme lui.
Biographie
modifierD'hier à aujourd'hui
modifierIl voulait qu’à chaque fois que l’on prononçait le nom du groupe, on se rappelle de leur démarche pour dépasser le cadre réducteur de « groupe de musique exotique pour teenagers » . Il avait des revendications sociales politiquement incorrectes et des idées qu’il faisait passer. Il pense s’être entouré des meilleurs musiciens de la région pour réaliser ses projets en studio mais aussi sur scène.
Depuis le début de sa carrière, il a autoproduit 5 albums. C’est pour cela que ce site a vu le jour et en attendant, afin de pouvoir continuer à faire de belles chansons sans être tout à fait découragé, il fait appel à vous, le vrai public impartial et sincère pour l’aider…
En 1995 après la sortie de son album Something called love, il a composé toute la musique du spectacle “Quartier Libre“ de la troupe des comédiens de Guy BEDOS à Vaulx-en-Velin dont il est originaire. Spectacle repris sur Paris à la “Cigale“ pendant plusieurs mois et dans toute la France jusqu’en 1998, toujours avec sa musique comme illustrations et interludes entre les sketchs. De 1998 à 2006, il a été l’un des premiers artistes musiciens à Lyon à obtenir le statut « d’artiste en résidence » dans une ville en France. Depuis 2002 il a organisé plusieurs concerts et festivals (divers- cités) notamment dans la salle du “rail théâtre“ à Lyon.
Depuis 1991 et encore aujourd’hui, il est le président de l’association “Butterfly“ qui a pour but d’utiliser tous les outils culturels (écriture-musique -danses -peintures) pour sensibiliser les jeunes à la citoyenneté. Avec ses compagnons, membres de l’association (Roland, Cyril, Mohamed) et des musiciens de son groupe “5 Days A Week“ ils ont pu organiser et réaliser un projet intitulé “100 concerts /100 prisons“.
Sur les scènes importantes à Paris, il s’est produit au “Cabaret sauvage“ en 2000 à l’occasion de la sortie de l’album “Sans elle“. Lors de ses séjours aux USA en 2000, 2001, 2002, 2003,2006, 2008 il a joué périodiquement au « Village Underground » sur Bleeker street. Pour ceux qui connaissent New York c’est l’endroit où la crème des chanteurs de la funk-soul du pays se produit pour “hameçonner“ les éventuels producteurs du moment. Il a donné aussi, parmi les endroits les plus significatifs de “la ville qui ne dort jamais“, des concerts à « L’Eden Pub » 135 Broadway avenue, en duo parfois avec la charmante et talentueuse Patti Williams. Il vient de finir l’écriture de son 6ème opus (double album franco/anglais) et il prépare son enregistrement très prochainement ainsi que son lancement en “live“ à Lyon à l’issu du verdict final de tous ses procès en plagiat/parasitisme contre qui vous savez…
Les débuts de Tu nous laisses (1987)
modifierC'était en juin 1986, pendant les grandes vacances scolaires d’été à l'occasion d'un voyage en famille en Algérie, quand je me suis aperçu que mon papa présentait des signes inhabituels de gestes maladroits et gardait une posture penchée en position assise... Très inquiet, je décide alors de téléphoner à mes frères aînés pour les prévenir de l’état de santé préoccupant de notre père, mais surtout pour leur demander de le convaincre de revenir en France au plus vite pour faire d’éventuels examens médicaux.
Malheureusement je n'ai pas été entendu et mon père a été rapatrié d’urgence par un avion médicalisé d'Europe -assistance quelques semaines plus tard.
Avec le terrible choc causé par l'annonce d'un cancer par les médecins du centre hospitalier Edouard Herriot à Lyon, j'ai ressenti un lourd sentiment de frustration et une sourde révolte contre la perte d'un temps précieux ...
Les semaines et les mois d’angoisses qui suivirent étaient alternés de courtes périodes d'espoirs et de joies de retour à la maison puis, sur un lit anonyme du service de réanimation de l'hôpital de la Croix-Rousse à Lyon, le 5 février 1987 mon père s'est éteint ...
Pendant mon adolescence, nous étions lui et moi souvent en désaccord notamment sur le fait qu’il considérait la musique comme un divertissement futile, peu enclin à assurer mon avenir. Mais ce voyage nous avait beaucoup rapproché et comme pour exorciser, extirper une douleur qui risquait de me ronger et me détruire, j'ai ressenti un besoin absolument irrépressible d'exprimer et d'immortaliser les sentiments que j'éprouvais pour lui et dont j’avais jusqu'alors enfouis au plus profond de mon moi.
A 17 ans avec mes mots, ma peine et tout mon chagrin, j'ai écrit une simple chanson pour mon père comme on écrit une lettre d'adieu à un être cher qu’on ne reverra jamais plus.
Un hymne à l'amour d'un jeune homme à son papa qui "s'en va vers des cieux interdits" sans qu'ils aient eu le temps de se parler à cœur ouvert et de se dire " je t'aime"....
J'ai composé ce morceau avec le poids de ma tristesse et je raconte cette histoire que j'ai vécu.
Cette chanson je l'ai intitulé "87" dans un premier temps (enregistré avec ce titre à la SACEM), renommé ensuite "Tu nous laisses" pour toujours garder le souvenir de celui qui m'a donné la vie, pour honorer sa mémoire, notre amour, notre histoire...
En 1999, c'était un après-midi ensoleillé, je roulais dans ma voiture lorsque j'entendis à la radio et reconnu presque instantanément (dès les premières notes), la chanson hommage à mon papa interprétée par un autre chanteur qui n'avait jusqu'à alors jamais chanté en français : David Hallyday...
Le séisme émotionnel que cela a provoqué en moi m'avait fait presque lâcher le volant et ma vue s'est peu à peu brouillée... L'horrible, l'insoutenable sensation d'avoir été vidé de mon âme, le vertige et la nausée qui m'ont envahie et m'ont submergé m'ont fait ralentir subitement puis forcé à arrêter mon véhicule sur le côté et j'ai pleuré toutes les larmes de mon corps en silence...
La blessure s’était violemment ouverte à nouveau, le mal irréversible, irrémédiable avait été commis et la plaie resterait béante pour toujours puisqu’elle demeurera invisible et indicible... Je n’ai rien dit à personne...
Le succès phénoménal généré (plus d'un million et demi d'exemplaires de disques vendus), grâce à ma chanson a, pour ainsi dire crédibilisé David Hallyday comme chanteur-compositeur en France puisqu’ en janvier 2000, il reçoit le prix du meilleur album francophone de l'année lors des NRJ Music Awards et est nommé aux Victoires de la musique 2000 pour la Meilleure chanson de l'année 99 !
Le comble de l'ironie est que ce morceau lui a fait obtenir également un prix d'excellence de la part de la Société des Auteurs, Compositeurs et Editeurs de Musique (S.A. C.E.M), l'organisme institutionnel censé protéger et défendre mes droits… Vous pouvez comprendre leur embarras et les difficultés pour répondre par écrit aux requêtes de mon avocate actuelle (Maître Sonko) Je dois préciser que pendant cette période troublée pour moi et malgré l’étourdissement d’un tel traumatisme, j'avais tout de même entamé en 1999 une procédure judiciaire avec un avocat de Lyon qui me réclamait pas moins de 10 000 euros afin de commencer la constitution d’un dossier en nommant un expert en musique, sans compter ses frais personnels...
J’ai toujours été quelqu’un de modeste avec des revenus très peu importants et cela va sans dire que je n’ai jamais pu réunir un tel capital pour pouvoir engager une action en justice de cette envergure.
J’étais quelqu’un de très optimiste et combatif jusqu’alors avec une très grande capacité de résilience mais pendant cette période, je me suis senti tellement démuni et si impuissant devant une injustice aussi cruelle que j’ai fait une très grosse dépression...
Deuxième album : À l'Infini et participation à Danse avec les stars (depuis 2013)
modifierEn juin 2013, Tal sort son nouveau single intitulé Copie en featuring avec le chanteur Stromae afin de promouvoir son album À l'Infini[1]. Suite à un succès modéré du premier single, en juillet 2013 un autre single, nommé À l'international[1]. Peu de temps avant la sortie de son deuxième album, elle est la première candidate annoncée de la saison 4 de Danse avec les stars[2]. Le deuxième album sort le 2 septembre 2013. Sur son l'album, en plus de Flo Rida, le girls band britannique Little Mix participe à une version du titre Une autre personne[1].
Entre le et le , elle est candidate à la 4e saison de Danse avec les stars sur TF1. Elle est éliminée face à Laetitia Milot sur un jive.
Environnement artistique
modifierLa musique de Tal provient de différents styles musicaux dont la pop, le R&B, le hip-hop, des éléments de reggae, de dancehall, le tout avec des éléments musicaux « orientalisants »[3],[4],[1]. Sur son premier album, les thèmes abordés le sont essentiellement avec des textes fédérateurs et optimistes et une volonté de transmettre des messages de paix, de fraternité[3],[4],[5]. Dans les chansons On avance et Le Sens de la vie, elle incite à aller de l'avant et à croire en des jours meilleurs[3],[4]. Elle aborde l'indépendance des femmes sur la chanson Toutes les femmes[3]. Sur Oublie, Tal entonne « Oublie les larmes d'hier, quand la nuit tu rejoues la scène, et que tu as de la peine./Demain est un autre univers remplis de lumière. » pour dire que lorsque l'on est au plus bas, il faut se reprendre[4],[6]. Enfin, sur la chanson Allez Laisse Toi Aller, où elle aborde les dangers des réseaux sociaux, elle chante « Sur la toile on se dévoile un peu trop [...]/On a des milliers d'amis qui nous aiment en laissant des commentaires à la chaîne/Mais sur lesquels peut-on compter ? »[4],[7]. Avec son deuxième album À l'Infini, la chanteuse confirme les thèmes du premier album tel que l'amour parfait, l'importance de ne pas rester prisonnier du passé, d'avancer et avoir une quête humaniste[8],[1].
Discographie
modifier- On avance
- Waya Waya (Featuring Sean Paul)
- Le sens de la vie
- Oublie
- Rien n'est parfait
- Le Droit de rêver
- Je prends le large
- Renaître
- Allez, laisse-toi aller
- Au-delà
- Toutes les femmes
- La Liberté
- Plus qu'une corde
- Danse (Featuring Flo Rida)
- À l'international
- Marcher au soleil
- À l'infini
- Une autre personne (Featuring Little Mix)
- Tombé du ciel
- Pas celle qu'on impressionne
- Sans un regard
- Le passé
- Cash
- Something New (Get Off)
- Pas toi
- Danse (pop version)
- Une autre personne (solo version)
Nominations et récompenses
modifier- NRJ Music Awards : 1
Notes et références
modifier- « Critique - À l'infini », sur Music Story, (consulté le )
- « Danse avec les stars 4 : Tal dévoile l'identité de son partenaire de danse », Première, (lire en ligne, consulté le )
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- [vidéo] « Tal - Interview (Mars 2012) », sur YouTube consulté le 2 janvier 2013.
- « Parole d'Oublie de Tal », sur Charts in France (consulté le )
- « Parole d'Aller laisse toi aller de Tal », sur Charts in France (consulté le )
- AFP, « Tal, la petite fille chérie de la "Génération Goldman" », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le )
Voir aussi
modifierArticles connexes
modifierLien externe
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