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Adam Scott

Adam Scott, né le 16 juillet 1980 à Adélaïde, est un golfeur professionnel australien qui joue principalement sur le PGA Tour. Il est classé n ° 1 mondial, de la mi-mai à août 2014[1]. Il a gagné 29 tournois professionnels à travers le monde, sur différents circuits professionnel de golf. En 2016, sa plus grande victoire est le Masters en 2013, sa première victoire en majeur et le premier Masters remporté par un Australien[2]. Parmi les autres victoires importantes figurent le Players Championship en 2004, le WGC-Bridgestone Invitational en 2011 et le Championnat WGC-Cadillac Championship en 2016. Il est en tête de l'Open britannique en 2012, menant avec quatre coups d'avance à quatre trous de la fin, avant qu'un bogey sur chacun des trous restant offre le titre à Ernie Els, avec un coup d'écart[3].

Carrière Professionnel modifier

2000 - 2003, Débuts professionnel modifier

Il passe professionnel au cours de la saison 2000, après plusieurs performances impressionnantes au début d'année sur le circuit européen. Il obtient sa carte pour la saison 2001 du Tour européen 2001 en disputant que huit tournois en tant que professionnel, finissant sixième lors du Linde German Masters. Il dispute aussi plusieurs tournois du PGA Tour, mais ne passe qu'une seule fois le cut en six tentative.

Il remporte sa première victoire en 2001 lors de l'Alfred Dunhill Championship, tournoi co-organisé par le Tour européen PGA et le Sunshine Tour[4]. Il termine à la treizième place de l'Ordre du mérite européenne pour sa première saison complète.

2002 est une année riche pour l'Australien. Il remporte deux victoires, d'abord le Qatar Masters, puis l'Open d'Écosse avec dix coup d'avance sur le deuxième. C'est sa plus large victoire de sa carrière (au 31 décembre 2016)[5]. Il participe à son premier tournois majeur, le Masters de golf, qu'il termine à la neuvième place. Il fini l'année à la septième place de l'Ordre du mérite.

En 2003, il participe à son premier tournoi du WGC, le WGC-Accenture Match Play Championship. Ce tournoi à la particularité de ce jouer en Match-play. Il élimine Bernhard Langer, Rocco Mediate, Kevin Sutherland et Jay Haas avant de perdre en demi-final face à Tiger Woods. Il remporte ensuite le Nordea Masters sur le Tour européen puis le Deutsche Bank Championship, sa première victoire sur le PGA Tour[6]. En fin d'année, il est l'un des joueurs de l'équipe de l'équipe international de Presidents Cup, à laquelle il apporte trois point. Le match fini sur une égalité, ce qui permet aux États-Unis de conserver le titre.

2004–2007, Du Tour européen au PGA Tour modifier

2014 marque une étape importante dans la carrière d'Adam Scott. En effet, il remporte en mai The Players Championship, le plus important tournoi du PGA Tour, hors tournoi majeur et WGC, un coup devant l'Irlandais Pádraig Harrington. A 23 ans il devient le plus jeune vainqueur du tournoi[7]. En août il gagne de nouveau sur le PGA Tour lors du Booz Allen Classic en égalisant le record du tournoi, -21[8].

Six mois plus tard, en février 2005, il remporte le Nissan Open, interrompu après seulement deux tours à cause des conditions climatiques californienne. Cela lui permet de devenir pour la première fois l'un des dix meilleurs joueurs au Classement mondial[9][10][11]. Il remporte ensuite à Pékin en Chine le Johnnie Walker Classic, tournoi comptant pour le Tour européen, le PGA Tour of Australasia et l'Asian Tour. Sur ce dernier circuit, il signe en septembre une nouvelle victoire lors de l'Open de Singapour.

En 2006, il prend part à davantage de tournoi sur le PGA Tour, au dépend du Tour européen. Il bat son meilleur résultat sur un tournoi majeur avec la troisième place au Championnat de la PGA, ainsi que sur un tournoi du World Golf Championships en finissant deuxième du WGC-American Express Championship. Il remporte le dernier tournoi de la saison du PGA Tour, The Tour Championship, tournoi ouvert uniquement au trente meilleurs joueurs de la saison. Cela lui permet de finir la saison troisième de la ''money list''[12] du PGA Tour. Il n'est pas classé sur le Tour européen, n'ayant pas joué assez de tournoi.

En début d'année 2007, il occupe la troisième place mondial. Il remporte une nouvelle victoire sur le PGA Tour lors du Shell Houston Open[13] et fini l'année en disputant les quatre épreuves de la FedEx Cup. Il termine dixième au classement final du PGA Tour, et n'est pas classé sur le Tour européen.

Adam Scott lors du Players Championship en 2008

2008–2010, Années difficiles modifier

En 2008, il rejoue plus régulièrement sur le Tour européen, remportant en janvier le Qatar Masters avec trois coups d'avance sur le suédois Henrik Stenson. Avec un dernier tour en 61, il bat à la fois le record du meilleur tour du tournoi et son record personnel[14]. Il joue suffisamment de tournoi pour être classé au mérite européen.

Sur le PGA Tour, il remporte en avril l'EDS Byron Nelson Championship en play-of face à Ryan Moore. Il termine l'année au trente-neuvième rang du classement américain, des ennuies de santé l’empêchent de jouer au même niveau que les années précédentes.

L'année 2009 est plus mauvaise encore que 2008. Il fini cent huitième au classement américain, et il ne fait plus parti des cinquante meilleurs joueurs du monde. La fin d'année est meilleur, ce qui lui permet de gagner son premier tournoi professionnel en Australie, l'Open d'Australie.

2010 confirme le retour en forme d'Adam Scott. En mai sur le PGA Tour il remporte le Valero Texas Open avec un coup d'avance sur le suédois Fredrik Jacobson[15]. Il fini l'année en disputant les quatre épreuves de la FedEx Cup. En novembre il remporte sur le Tour européen l'Open de Singapour, sa troisième victoire dans ce tournoi mais la première depuis que celui-ci est co-sanctionné par le Tour européen.

2011 modifier

Lors du Masters de golf, il améliore de nouveau son meilleur résultat en majeur avec la deuxième place, à égalité avec son compatriote Jason Day, mais à deux coup du vainqueur, le Sud-Africain Charl Schwartzel[16].

Suite à la blessure de Tiger Woods en juin lors de l'US Open de golf, Adam Scott embauche Steve Williams, le caddie de Tiger Woods avec lequel il était associé depuis 12 ans et avait gagné 13 de ses 14 titres majeurs. L’association, temporaire le temps que Woods se soigne, devient définitive lorsque le 20 juillet 2011, Tiger Woods annonce qu'il se sépare définitivement de Steve Williams.

La première victoire d'Adam Scott depuis son changement de caddie arrive dès le premier tournoi d'août, lors du WGC-Bridgestone Invitational. C'est sa première victoire lors d'un tournoi du World Golf Championships (WGC), qu'il remporte avec quatre coup d'avance sur Luke Donald et Rickie Fowler. Cette victoire lui permet de passer neuvième au classement mondial, et par la même occasion de réintégrer les dix meilleurs joueurs mondiaux[17]. Le semaine suivante il termine septième du Championnat de la PGA.

En fin de saison, il ce qualifie pour les quatre épreuves de la FedEx Cup, finissant notamment sixième du dernier tournoi, The Tour Championship, et fini seizième de la FedEx Cup. En novembre, il est de nouveau sélectionné pour représenter l'équipe international de Presidents Cup. Sur cinq match, il en remporte deux, concède trois match nul et aucune défaite, mais sa performance n'empêche pas la victoire des Etats-Unis.

2012 modifier

Adam Scott commence seulement l'année en février lors du Northern Trust Open. Lors des deux premiers majeurs de la saison, il fini respectivement huitième et quinzième du Masters et de l'US Open, battant son meilleur résultat dans ce tournoi. La semaine précédent l'Open britannique, il fini troisième du AT&T National.

L'Open britannique modifier

Lors du premier tour de l'Open britannique 2012, il égale le record de parcours du Royal Lytham & St Annes Golf Club lors d'un Open britannique, avec un score de 64. Il prend la tête du tournoi avec un coup d'avance. Le lendemain il est deuxième à un coup derrière l'américain Brandt Snedeker, qui a lui aussi égaler le record du parcours. Il reprend l'avantage le samedi, pour être au départ du dernier tour en-tête avec quatre coups d'avance sur Brandt Snedeker et le nord-irlandais Graeme McDowell.

Grâce à un birdie sur le trou 14, il prend le départ du trou 15 avec quatre coups d'avance sur le sud-africain Ernie Els avec quatre trous restant à jouer. Mais sur celui-ci, il met sa balle dans un bunker et fait bogey, il ne possède alors plus que trois coups d'avance.Au 16, il se place loin du trou, ce qui lui laisse un long putt pour faire un birdie et reprendre quatre coups d'avance. Il rate son putt, ainsi que le suivant, et perd de nouveau un coup. Pendant qu'Adam Scott commence à jouer le 17, Ernie Els fait un birdie sur le 18e et dernier trou, ce qui lui permet de revenir à un coup.

Sur le 17, bien qu'idéalement placé au milieu du fairway, Adam Scott rate le green et envoi sa balle derrière dans un rough épais. il ne peux éviter un nouveau bogey, et est à ce moment la à égalité avec Ernie Els avec un seul trou à jouer. Sur celui-ci, l'australien a besoin d'un birdie pour gagner ou d'un par pour jouer un play-of avec Ernie Els.

Sont premier coup du 18 fini dans un bunker, la balle coincé sous la bordure de celui-ci, l'obligeant à ce recentrer. Sur son troisième il réussi à mettre sa balle prêt du drapeau. Il a alors l'obligation de rentrer son putt pour jouer le play-of, mais bien que sa balle passe au bord du trou, elle ne tombe pas. Il score de ce fait un nouveau bogey et fini deuxième du tournoi[18].

La fin de tournoi d'Adam Scott a été comparé à beaucoup d'autres échecs célèbres, notamment celle de son compatriote Greg Norman lors du Masters 1996[19]. Il est déçu de finir le tournoi de cette manière, même si il souhaite garder le positif[18], il égale notamment son meilleur résultat en majeur et passe au sixième rang mondial.

Fin d'année modifier

Il reprend la compétition lors du WGC-Bridgestone Invitational, pour défendre son titre de l'année précédente, et termine la semaine à la 45e place. La semaine suivante, il joue le dernier majeur de l'année, le PGA Championship. Il la dernière journée à quatre coup de la premier place occupé par Rory McIlroy. Néanmoins il termine le tournoi onzième.

En fin d'année, il remporte près de Melbourne en Australie le Talisker Masters avec quatre coup d'avance sur le vainqueur de l'édition précédente, l'anglais Ian Poulter.

2013 modifier

Scott opened the season later than most, with his first event coming at the Northern Trust Open, well into February of that year. He finished the event T10th with three rounds under par. He then played the two World Golf Championships consecutively, losing at the WGC-Accenture Match Play Championship in the opening round 2&1 to Tim Clark. In the following WGC-Cadillac Championship, Scott fired the low round of the week on the final day to jump from T19 to T3 behind Tiger Woods and Steve Stricker. His last event before the Masters, was at the Tampa Bay Championship where he finished T30[20].

2013 Masters modifier

At the 2013 Masters Tournament, Scott emerged from the chasing pack on the final day to enter into a tie for the lead heading into the 72nd hole. Scott proceeded to birdie the 18th from a considerable distance, prompting wild celebrations as he looked to have won the title. However, former champion Ángel Cabrera produced an excellent approach and subsequently also birdied the 72nd hole to tie Scott for the lead at −9, leading to a sudden-death playoff. Both players parred the first hole (18) with Cabrera inches away from birdie. On the second hole (10), Cabrera once again missed his birdie putt by inches, leaving Scott a 12-foot birdie putt for the championship, which Scott holed.[21] It was Scott's first major championship and marked the first time an Australian has won the Masters.[22] It was also seen by many as redemption for his failure to win the previous year's Open Championship.[23]

Scott's victory at the Masters moved him to No. 3 in the Official World Golf Ranking, equalling his career high ranking. Scott's win received some controversy as he won using a belly putter, being the first winner of the Masters to do so. On 29 November 2012, it was announced by the USGA and R&A, golf's two governing bodies, that belly putters/anchor putters would be banned from competition effective on 1 January 2016. It was not against the rules for Scott to use the belly putter for the 2013 Masters, as he has until 1 January 2016 to halt use[24].

Rest of 2013 modifier

Scott had a disappointing U.S. Open, finishing in a tie for 45th place. He then had another strong showing at the Open Championship, taking a one-stroke lead heading into the back nine on the final day before eventually finishing in a tie for third. The final major of 2013, the PGA Championship, saw Scott finish in a tie for fifth. At the first event of the FedEx Cup Playoffs, The Barclays, Scott finished with a 66 (−5) final round to win over four players by one stroke and move to number two in the World Ranking, a career high[25].

In October, Scott won the 2013 PGA Grand Slam of Golf event in which the four major winners of that year compete. A month later Scott would win in his native Australia, when he won the Australian PGA Championship, his fourth career victory on the PGA Tour of Australasia. This was quickly followed by winning the Australian Masters on 16 November, at Royal Melbourne, finishing 14 shots under par. The following week Scott would garner victory in the team portion of ISPS Handa World Cup of Golf, with fellow Australian Jason Day. The team shot a combined 17-under-par. Day won the individual championship at 10-under-par. Scott was runner up to Rory McIlroy in the Emirates Australian Open on 1 December 2013. He led by one stroke going into the final hole but a bogey by Scott and a birdie by McIlroy saw a two shot swing and victory to the Northern Irishman. Scott would finish 2013 as the World's #2 ranked golfer.

2014: Chasing and earning the #1 ranking modifier

In March 2014, Scott tied the course record at Bay Hill Club & Lodge, when he shot a 10-under-par 62 during the first round of the Arnold Palmer Invitational. He went on to finish third in the tournament behind the winner Matt Every and Keegan Bradley after a poor four-over-par 76 in the final round[26].

On May 19, 2014, Scott took over as the World's #1 ranked golfer.[27] Scott is the 17th golfer to be ranked number one since official rankings began. He is also the second Australian and the first since Greg Norman in 1998. A week after becoming world #1, Scott strengthened his ranking with a win at the Crowne Plaza Invitational at Colonial, being the first person to win all four Texas-based PGA Tour events. Scott held the number one ranking for eleven weeks until August 2014.

2016 modifier

Scott started the season well with a runner-up finish at the CIMB Classic during the wrap-around 2016 season. He then followed this up during February 2016, with another runner-up placing at the Northern Trust Open, where despite a final hole chip-in birdie, he finished a shot behind winner Bubba Watson.

On 28 February 2016, Scott won his 12th PGA Tour title with victory at The Honda Classic played at PGA National Golf Club. He won by a single stroke over Sergio García to end a near two year winless drought.[28] This was also Scott's first win with the short putter, following the long putter ban issued in 2016, in over five years since the 2010 Singapore Open. A notable footnote to Scott's victory was also that he became on the first player to make a quadruple bogey on the weekend and win the tournament, since Phil Mickelson at the 2009 Tour Championship.[29] The win moved Scott back into the world's top ten, at number nine.

The following week, Scott claimed back-to-back victories with a one stroke victory at the WGC-Cadillac Championship. This was Scott's second victory in a WGC event and was the first time in his career, he had claimed back-to-back wins. He had begun the final round, three strokes back of overnight leader Rory McIlroy, but shot a three-under round of 69 and had to hole a six-foot putt for the par on the final green to take the victory. His win was even more remarkable because he had recorded two double-bogeys on the front nine on the third and fifth holes to fall behind the leaders, but then followed this up with six birdies in his next nine holes to take control of the event. The win moved Scott up to number six in the rankings.

In April, Scott announced that he would not be participating in the 2016 Olympic Games, citing 'an extremely busy playing schedule'.[30] International Golf Federation chief executive Peter Dawson branded Scott's decision, as well as other high-profile golfers, 'regrettable',[31] while Gary Player said players who chose to opt out of playing in Rio de Janeiro were 'hurting' the game.[32] However, Scott's fellow countryman Marcus Fraser rushed to his defence, branding criticism of his decision 'absolute garbage'[33].

Compétition par équipe modifier

Scott a représenté l'Australie en Coupe du Monde en 2002, 2013 et 2016. Il remporte l'édition 2013 associé à Jason Day[34]. Il est sélectionné pour jouer avec l'équipe internationale lors de la Presidents Cup en 2003, 2005, 2007, 2009, 2011, 2013 et 2015, mais sans jamais remporter la victoire.

Notes et références modifier

Notes

Référence

  1. Ben Everill, « Adam Scott No.1 but eyeing a bigger prize », sur The Age, Fairfax Media, (consulté le )
  2. (en) « Adam Scott 1st Aussie to win Masters », ESPN,‎ (lire en ligne)
  3. Jim Litke, « Adam Scott blows Open Championship opportunity », PGA of America, (consulté le )
  4. (en) Grant Winter, « Alfred Dunhill Championship: Scott denies Rose at the death », The Daily Telegraph, London,‎ (lire en ligne)
  5. « Scott claims Scottish PGA by ten strokes », iseekgolf.com, (consulté le )
  6. (en) « Adam Scott wins the Deutsche Bank Championship », Sydney Morning Herald,‎ (lire en ligne)
  7. « Adam Scott comes of age at Players Championship », golfweek.com, (consulté le )
  8. (en) Gene Wang, « Scott Wins Booz Allen Classic », Washington Post,‎ (lire en ligne)
  9. 69 Players Who Have Reached The Top-10 In World Ranking
  10. (en) European Tour Official Guide 09, 38th, , « Players who have reached the Top Ten in the Official World Golf Ranking since 1986 », p. 558
  11. Adam Scott – Advanced Statistics
  12. « Adam Scott wins the Tour Championship », upi.com, (consulté le )
  13. (en) Steve Campbell, « Scott holds off Appleby to win Shell Houston Open », Houston Chronicle,‎ (lire en ligne)
  14. (en) « Brilliant Scott wins Qatar title », BBC Sport, {{Article}} : paramètre « date » manquant (lire en ligne)
  15. « Scott ends drought, wins Valero Texas Open », golfweek.com, (consulté le )
  16. Ryan Rudnansky, « Aussie Adam Scott Edged in 2011 Masters », bleacherreport.com, (consulté le )
  17. « Adam Scott returns to the world's top 10 », Official World Golf Ranking, (consulté le )
  18. a et b « Els secures thrilling Open victory », PGA European Tour, (consulté le )
  19. (en) Bill Pennington, « In Scott's Fall, Shades of Norman at the '96 Masters », The New York Times,‎ (lire en ligne)
  20. « Adam Scott – 2013 Season Results », PGA Tour (consulté le )
  21. (en) Mark Morganstein, « Great Scott! Aussie Adam Scott wins Masters », CNN,‎ (lire en ligne)
  22. (en) Mark Hayes, « Adam Scott wins US Masters after play-off victory over Argentina's Angel Cabrera », The Australian,‎ (lire en ligne)
  23. (en) Rob Hodgetts, « Masters 2013: Adam Scott beats Angel Cabrera in play-off », BBC Sport,‎ (lire en ligne)
  24. Steven Muma, « 2013 Official World Golf Rankings: Adam Scott up to No. 3 », sbnation.com, (consulté le )
  25. « Week 34 – Adam Scott Moves To World Number 2 », OWGR, (consulté le )
  26. (en) « Adam Scott blows title chance and shot at world No. 1 ranking », Herald Sun, Melbourne,‎ (lire en ligne)
  27. « Adam Scott World Number 1 », OWGR,
  28. (en) « Honda Classic: Adam Scott ends wait for title success », BBC Sport,‎ (lire en ligne)
  29. Mark Aumann, « Adam Scott rolls a 7 the hard way », PGA of America,
  30. Martin Inglis, Adam Scott shuns golf's Olympic Games return, (lire en ligne)
  31. Martin Inglis, Peter Dawson brands Olympic withdrawals 'regrettable', (lire en ligne)
  32. Martin Inglis, Gary Player hits out at Olympic withdrawals, (lire en ligne)
  33. Martin Inglis, Adam Scott criticism 'absolute garbage', (lire en ligne)
  34. Martin Coulomb, « Enfin le jour de Day », l'Equipe,‎ (lire en ligne)

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Catégorie:Tour Européen PGA