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Olivier Louvel

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Biographie

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Son père, le peintre, photographe et sérigraphe Bernard Louvel, étant amateur de jazz et de musique contemporaine, Olivier baigne dès l’enfance dans un milieu mélomane, et commence les cours particuliers de guitare classique à neuf ans.

Adolescent, il aborde le rock et le blues à la guitare électrique, joue avec les groupes Hotcha ou Liqueur de Feeling, rejoint la formation caennaise Sunset Blues Band en 1985, et étudie l’harmonie avec les guitaristes Malo Vallois et Serge Lazarevitch, ce qui l’amènera au jazz et au jazz-fusion.

Au début des années 90, il participe au sextet du trompettiste Michel Delakian avec le pianiste Franck Steckar.

En 1991 il fonde Inlandsis, premier projet personnel, avec Gilles Godefroy (claviers), Patrick Grente (basse) et Antoine Banville (batterie). Le groupe publiera un seul album, Aire sud de Josapha, avec le saxophoniste Sylvain Beuf en invité.

En 1992, il commence à travailler avec le chanteur, guitariste, compositeur et arrangeur algérien Safy Boutella, sur un projet jazz-fusion d’inspiration maghrébine, qui jouera dans de nombreux festivals (Montréal, New-York, Tunis, Jakarta etc.).

Parallèlement, on retrouve régulièrement Olivier avec des musiciens de la “nouvelle génération jazz“ : Rémy Chaudagne et Michel Alibo (basse), Jean-Luc Pino (violon), Xavier Desandre Navarre, Nana Vasconcelos et Sydney Thiam (percussions), Éric Séva, Alain Debiossat et Sylvain Beuf (saxophones), Mokhtar Samba et Stéphane Huchard (batterie), Louis Winsberg (guitare)…

En 1994, Olivier joue dans le quartet de la chanteuse et guitariste cubaine Alma Rosa, compositrice et actrice installée à Paris. Il joue également dans le quintet du trompettiste Antoine Illouz, avec Benoît Paillard (claviers), Laurent Camuzat (basse) et Luiz Augusto Cavani puis Cyril Atef (batterie). Le groupe tourne un peu partout dans le monde de 1995 à 1998.

Olivier parcourt l’Europe avec Youcef Boukella, futur bassiste et fondateur de l’Orchestre National de Barbès, et c’est en 1995 qu’il fonde le groupe Koya, avec ses amis Alain Debiossat (saxophones), Karim Ziad (batterie) et Youcef Boukella (basse), mélangeant rythmiques nord-africaines et improvisations. Il travaille aussi avec les chanteurs Georges Moustaki et Alain Goldstein, et avec le pianiste Francis Lockwood pour la chanteuse Olivia Adriaco.

La même année commence l’aventure de l’Orchestre National de Barbès, qui mêle rythmiques anciennes et modernes, profanes et sacrées, urbaines et rurales, rock et traditionnelles, et donne plus de 500 concerts dans le monde en cinq ans.

Olivier participe parallèlement au quintet du batteur Stéphane Huchard avec Marc Bertaux (basse, remplacé ensuite par Linley Marthe), Pierre de Bethmann (piano) et Stéphane Guillaume (saxophones). Le groupe donne de nombreux concerts et enregistre en 1999 le premier album de Stéphane Huchard, Tribal Traquenard, sur le label Blue Note.

Entre jazz, chanson et musiques du monde, Olivier Louvel multiplie les collaborations : en 1998 avec Daby et Omar Touré, de 1999 à 2001 avec la chanteuse Élisabeth Caumont, le claviériste Jean-Pierre Como, ou le chanteur Klaus Blasquiz et son groupe Maison Klaus.

À partir de 1998, il compose des musiques de jeux vidéo en collaboration avec le pianiste Benoît de Mesmay.

En 2001, il enregistre pour plusieurs artistes (Daniel Levi, Idir, Nana Mouskouri…), et part en tournée avec le chanteur David Linx et sa formation constituée de Marc Berthoumieux (accordéon), Michel Benita (contrebasse) et Stéphane Huchard. Il devient également cette année-là intervenant à l’École Nationale Supérieure Louis-Lumière (Seine-Saint-Denis)[1] et à la Fémis (Paris), et rejoint l’équipe pédagogique du Centre des Musiques Didier Lockwood (Seine-et-Marne).

En 2002, Olivier Louvel est engagé par le chanteur ougandais Geoffrey Oryema pour une tournée européenne. Il commence aussi à travailler avec la chanteuse Anne Ducros, l’accordéoniste Daniel Mille, participe à La cricca d’Umberto Pagnini, et au projet du batteur sénégalo-marocain Mokhtar Samba.

En 2003, Olivier sort son premier album, En attendant Julia, sur le label Next. On y entend Stéphane Guillaume et Alain Debiossat (saxophones, flûtes, clarinettes), Fathallah Ghoggal, Youcef Boukella et David Linx (chant), Linley Marthe (basse), Stéphane Huchard et Xavier Desandre Navarre (percussions), Médéric Bourgue (violoncelle) et Benoît de Mesmay (claviers). Les visuels de la pochette sont signés Bernard Louvel, à l’univers pictural proche de l’univers musical de son fils.

À la fin de l’année, le pianiste belge Diederik Wissels invite Olivier sur son album Song of you en compagnie du contrebassiste Christophe Wallemme, du saxophoniste Tore Brunborg, de l’harmoniciste Olivier Ker Ourio, de la chanteuse Fay Claassen et du trompettiste Erik Truffaz. Diederik Wissels est un compositeur accompli, mélodiste influencé par le classique.

En 2004, le saxophoniste américain Rick Margitza (qui a joué notamment avec Miles Davis), s’installe à Paris pour enregistrer Bohemia, un album mettant en avant ses racines tziganes. Il fait appel à Olivier Louvel, qu’on peut entendre aux guitares acoustique, électrique, fretless, au charango, au saz, à la balalaïka, au sitar… Sur scène, Rick Margitza s’entoure d’Olivier, du pianiste Pierre de Bethmann, de l’harmoniciste Olivier Ker Ourio, du bassiste Michel Alibo et du batteur Jeff Boudreaux.

À cette époque, Olivier remplace son ami Éric Löhrer pour accompagner Jeanne Cherhal, jeune artiste qui propose des chansons sobres et dépouillées. Elle chante, joue un peu de piano et de basse, l’orchestre étant constitué d’un guitariste et d’un percussionniste.

Côté jazz, Olivier joue avec le bassiste Gilles Coquard et son groupe Supercolor Tryphonar qui propose une musique faite de mélanges (manouche, flamenco, fusion), avec le percussionniste Mino Cinelu et le claviériste Éric Moulin.

En 2005 Olivier Louvel sort son deuxième album, Snoo, sur le label Nocturne. Il y réunit Diederik Wissels au piano, Stéphane Huchard à la batterie, Christophe Wallemme à la contrebasse, Laurent Paris aux percussions, Kathy Adam au violoncelle, David Linx au chant, et enfin Bendik Hofseth, au saxophone et au chant. Le tout enregistré, mixé et masterisé par Ludovic Lanen. Olivier a trouvé en Bendik un alter ego. Les photos de la pochette sont encore signées Bernard Louvel.

Cette même année, Olivier s’implique dans deux projets : Folklores imaginaires du saxophoniste Éric Séva (album paru au Chant du Monde avec toujours Ludovic Lanen au son), et Sidji Moon, groupe du bassiste Laurent Cokelaere et du saxophoniste Hervé Gourdikian (album Nomades publié chez Cristal Records). Avec Éric Séva, il retrouve Christophe Wallemme (contrebasse) et Patrice Héral (batterie, percussions, voix), pour une musique quasiment acoustique, aux mélodies et rythmes venus de partout. Chez Sidji Moon, il s’agit d’une fusion de jazz, trip-hop et world music, mêlant duduk, cordes, percussions, chant (Klaus Blasquiz, David Linx, Étienne Mbappé, Kerenn Ann), effets, basse électrique et climats électro.

En 2006, Olivier Louvel poursuit son parcours avec de nombreux artistes : l’harmoniciste Olivier Ker Ourio, qui tourne en trio (Olivier à la guitare et Gildas Boclé à la contrebasse) ; la chanteuse américaine Demi Evans (“découverte“ par Jean-Jacques Milteau) ; l’Orchestre National de Jazz du vibraphoniste Franck Tortiller et son projet autour de Led Zeppelin ; Jaleo de Louis Winsberg, qui mêle au flamenco les rythmes indiens et les improvisations jazz ; Sidji Moon mais aussi Maison Klaus, groupe formé par le légendaire chanteur de Magma Klaus Blasquiz et le bassiste Laurent Cokelaere, qui marie rhythm’n blues et jazz ; la chanteuse germano-nigérienne Ayo ; Louisa Bey, jeune chanteuse entre jazz et chanson…[2]

D’année en année, parallèlement aux concerts avec ses différents projets et à l’enregistrement de ses albums (Animal Pop en 2012[1], Tangerine Sparkle en 2015 et Morpho Paradiso en 2024)[3], les rencontres et expériences se multiplient, et on a pu voir Olivier sur scène avec le légendaire batteur Billy Cobham, la chanteuse-pianiste-compositrice Janysett McPherson, le quintet du claviériste Benoît Widemann (lui aussi ancien membre de Magma), le pianiste et compositeur André Manoukian, le groupe Captain…

Olivier fait également partie du groupe Stones Project, qui revisite de manière très personnelle le répertoire des Rolling Stones, avec Yannick Boudruche au chant, Fabrice Devienne aux claviers, Henri Dorina à la basse et Stéphane Huchard à la batterie.

Olivier accompagne régulièrement la chanteuse et comédienne Margeaux Lampley, la chanteuse Cécilia Bertolini, et on l’a bien sûr vu et entendu pendant une douzaine d’années aux côtés du chanteur et acteur Guy Marchand.

Depuis des années il travaille avec le trompettiste Nicolas Folmer, la pianiste-chanteuse-compositrice Clara Ponty, la chanteuse Anne Ducros, le pianiste et chanteur Ben Toury, la chanteuse (également actrice et romancière) Viktor Lazlo, le groupe FatMaster…

On peut aussi écouter Olivier dans le groupe de la bassiste britannique Yolanda Charles, et bien entendu avec le Bendik Hofseth.

Il y a également dans le parcours d’Olivier Louvel des collaborations plus occasionnelles, comme avec le trompettiste japonais Jun Miyake, la chanteuse Clem Cardenas, le groupe The Show, l’auteur-compositeur-interprète Georges Chelon, le pianiste et compositeur belge Michel Bisceglia, le groupe Les Rapetous, le bassiste Hadrien Feraud, la chanteuse Laure Donnat, la chanteuse et comédienne Anaïs Delva, le conteur Tabinar, le saxophoniste Hervé Gourdikian, le projet “We free“ d’Alexandre Saada, la pianiste Charlotte Reinhardt, la chanteuse et musicienne Victoria Rummler, l’auteur-compositeur-interprète Anthony Courtois, la chanteuse et musicienne Raphaëlle Brochet, la flûtiste Ludivine Issambourg, le Multiquarium Big Band Charlier-Sourisse, le groupe Boujou Factory, le compositeur et chanteur Loïs Le Van, l’auteur-compositeur-interprète Sanseverino, le chanteur Manu Domergue, le pianiste Thierry Maillard[4]

Parallèlement à ses activités artistiques, Olivier Louvel consacre toujours une partie de son temps à la transmission et à l’enseignement : intervenant régulier au CMDL (Seine-et-Marne) depuis une vingtaine d’années, il est également professeur à l’École Supérieure de Musique Bourgogne Franche-Comté de Dijon (Côte-d’Or), et donne régulièrement des master-classes, notamment à l’HEMU (Haute École de Musique) de Lausanne (Suisse) et à l’école de musiques actuelles Tous en Scène de Tours (Indre-et-Loire).[5]

Olivier Louvel a partagé la scène et/ou enregistré avec les artistes suivants :

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Ayo, Billy IdCobham, Bendik Hofseth, Mike Mainieri, Antonio Sanchez, Geoffrey Oryema, Gil Goldstein, Mino Cinelu, Didier Lockwood, Rick Margitza, Jun Miyake, Scott Colley, Orchestre National de Barbès, Ibrahim Maalouf, Richard Bona, Manu Katché, Louis Bertignac, Nana Vasconcelos, David Linx, Laurent Cugny, Anne Ducros, André Manoukian, Éric Le Lann, Jannick Top, Éric Séva, Benoît Widemann, Safy Boutella, So Kalmery, Olivier Ker Ourio, Orchestre National de Jazz Franck Tortiller, Stefano Di Battista, Guy Marchand, Kellylee Evans, Jeanne Cherhal, Tété, Daniel Levi, Georges Moustaki, Georges Chelon, Demis Roussos, Nana Mouskouri, Héléne Ségara, Helena Noguerra, Julia Migenes, Viktor Lazlo, Marcia Maria, Yvan Cassar, Louis Winsberg Jaleo, Daniel Mille, Daniel Goyone, Almo, Ricardo Teté, Stéphane Huchard, Klaus Blasquiz, Jean-Michel Kajdan, Sidji Moon, Clara Ponty, Claire Plaisant, Demi Evans, Térez Montcalm, Felipe Cabrera, Marc Berthoumieux, Antoine Illouz, Gilles Coquard, Faudel, Idir, Élisabeth Caumont, Élisabeth Anaïs, Diederik Wissels, Erick de Armas, Alma Rosa, Janysett McPherson, Daniel Yvinec, Meddy Gerville, Touré Touré, 13NRV, Gérard Torikian, Mokhtar Samba, Étienne Mbappé, Karim Ziad, Sylvain Beuf, Sydney Thiam, Alain Debiossat, Michel Alibo, Paco Séry, Steev Cris, Alain Goldstein, Olivia Adriaco, Marc Thomas, Nicolas Folmer, Marc Bertaux, Zool Fleischer, Stéphane Guillaume, Pierre de Bethmann, Francois Moutin, Benoît Sourisse, André Charlier, Michel Benita, Jean-Pierre Como, Jean-Marie Ecay, Éric Löhrer, Hervé Gourdikian, Laurent Cokelaere, Laurent Vernerey, Franck Avitabile, Flavio Boltro, Benoît de Mesmay, Francis Lockwood, Éric Legnini, Franck Steckar, Franck Agulhon, Slim Batteux, Xavier Tribolet, Pierre-François “Titi“ Dufour, Patrice Héral, François Laizeau, Kirt Rust, Damien Schmitt, Laura Littardi, Hadrien Feraud, Nicolas Viccaro, Paolo Vinaccia, Fifi Chayeb, Henri Dorina, Fabrice Devienne, Gildas Boclé, Xavier Desandre Navarre, Antoine Banville, Camélia Ben Naceur, Christophe Cravero, Son Tof, Édouard Ferlet, Lionel Fortin, Olivier Hutman, Éric Moulin, Luc Bertin, Christophe Godin, Michel Delakian, Jacques Bolognesi, François Verly, Bruno Castellucci, Celia Reggiani, Khalil Chahine, Yolanda Charles, Margeaux Lampley, Cécilia Bertolini, Ben Toury, Jun Miyake, Clem Cardenas, The Show, Michel Bisceglia, Les Rapetous, Laure Donnat, Anaïs Delva, Tabinar, FatMaster, Alexandre Saada, Charlotte Reinhardt, Captain, Victoria Rummler, Anthony Courtois, Raphaëlle Brochet, Ludivine Issambourg, Multiquarium Big Band, Boujou Factory, Loïs Le Van, Sanseverino, Manu Domergue, Thierry Maillard…

Discographie : [6]

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Projets personnels :

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.Olivier Louvel et Inlandsis : Aire sud de Josapha (Green Times Production, 1991)

.Olivier Louvel : En attendant Julia (Next Music, 2003)

.Olivier Louvel : Snoo (Nocturne, 2005)

.Olivier Louvel : Animal pop (Gemini Records, 2012)

.Olivier Louvel : Tangerine sparkle (Gemini Records, 2015)

.Olivier Louvel : Morpho Paradiso (2024)

Participations et collaborations :

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.Sunset Blues Band : Sunset Blues Band (1985)

.Sunset Blues Band : Let me try (1994)

.13NRV : Skinôtic (1994)

.Youcef : Salam (Samarkand, 1994)

.Antoine Illouz : Littoral (Gamlan, 1995)

.Alma Rosa : Mécaniques célestes (Single Sony Classical, 1995)

.Georges Moustaki : Tout reste à dire (Paille Musique, 1996)

.Alma Rosa : Chocolate (Pygmalion, 1996)

.Divers artistes : Menu Kebab (compilation Big Cheese, 1996)

.Elisabeth Caumont : Mieux qu’un baiser (Pygmalion, 1997)

.Orchestre National de Barbès : En concert (Tajmaat, 1997)

.Antoine Illouz Quintet : En concert – Ten stances (Gamlan, 1997)

.Idir : Identités (Sony, 1999)

.Touré-Touré : Laddé (Musidisc, 1999)

.Stéphane Huchard : Tribal traquenard (Blue Note, 1999)

.Orchestre National de Barbès : Poulina (ONB Corp, 1999)

.Alma Rosa : Latin Soul (Pygmalion, 1999)

.Solidarité Tibet : Tibet libre (2000)

.Najib Bengounia : Génération 1ère (Gaïla Prod, 2000)

.Meddy Gerville Trio : Jazz’oya (Muzik Export Association, 2000)

.Daniel Levi : Ici et maintenant (Polydor, 2002)

.A+ Pollux (B.O. du film de Luc Pagès, 2002)

.Erick de Armas : Alivio y recuerdo (Iris, 2003)

.Anne Ducros : Close your eyes (Dreyfus Jazz, 2003)

.Meddy Gerville Group : Sobat’ Ek Lamour (Muzik Export Association, 2003)

.Diederik Wissels : Song of you (Sowarex, 2004)

.Rick Margitza : Bohemia (Nocturne, 2004)

.Marc Berthoumieux : Jazz no jazz volume 1 (Sous la ville, 2004)

.Marc Berthoumieux : Jazz no jazz volume 2 (Sous la ville, 2004)

.Elisabeth Anaïs : Les heures claires (AZ, 2004)

.Star Academy 4 : Fait son cinéma (Mercury, 2004)

.Éric Séva : Folklores imaginaires (Chant du monde, 2005)

.Sidji Moon : Nomades (Cristal, 2005)

.Louisa Bey : Blue thoughts (Cristal, 2005)

.Mokhtar Samba : Dounia (O +, 2005)

.Stéphane Huchard : Bouchabouches (Nocturne, 2005)

.Anne Ducros : PIANO, piano (Via Dell’Arte, 2005)

.Stéphane Guillaume : Silent Steppes (Kosirus Arts, 2005)

.Louis Bertignac : Longtemps (Polydor, 2005)

.Hélène Ségara : Quand l’éternité (Mercury, 2006)

.Manu Katché : Grévin by Manu Katché (avec Éric Legnini, Laurent Vernerey, Guillaume Naturel, Alex Tassel – Musée Grévin S.A., 2006)

.Viktor Lazlo : Begin the biguine (Polydor, 2007)

.Ricardo Teté : Geringonça (O+, 2007)

.Faudel : L’essentiel (Mercury, 2007)

.Amadou Sodia : Ça va se savoir (Syllart Records, 2007)

.Manu Katché : Selected by Manu Katché/Music by Sidji Moon : Dolfinarium

.Najma : Fariyaad (Connecting Cultures, 2008)

.Bendik Hofseth : XI (Grappa, 2009)

.Louisa Bey : Turning me jazz (Enja, 2009)

.Umberto Pagnini : Donne latine (Abeille, Cristal, 2009)

.Jeanne Plante : Les mots cachés (Harmonia Mundi, 2009)

.Claire Plaisant : Le lit de l’arbre (2009)

.Sidji Moon : Kontrast (Cristal Records, 2010)

.Gilles Coquard : Le doute Massaï (Biezomprod, 2010)

.Jimi Drouillard : Curiosity (2010)

.Janysett McPherson : Tres almas (Quaartz, 2011)

.Philippe Soupault : Chansons d’aube et de crépuscule (Mots magiques, 2011)

.Patricia Loué : La bête humaine (Bac à sable, 2011)

.Margeaux Lampley : Rain (Fuchsia Jazz, 2012)

.Cécilia Bertolini : Gotta do it (Bonsaï Music, 2012)

.Erick de Armas : La vida moderna (Bonsaï Music, 2012)

.Jeanmi Kajdan Rough Trio : In a new light (No acting, 2013)

.Anne Ducros : Either way – From Marilyn to Ella (Naïve, 2013)

.Minino Garay : Asado (Zingana Production, 2013)

.Janysett McPherson : Blues side live (2014)

.Nicolas Viccaro : Intensions (La Note Bleue, 2015)

.Alexandre Saada : We free (Promise Land, 2016)

.Nicolas Folmer & The Horny Tonky : Experience (Cristal Records, 2016)

.Viktor Lazlo : Woman (Prova Records, 2017)

.Captain : Celebrating the queen of soul (Gemini Records, 2019)

.Nicolas Folmer : So Miles (Cristal Records, 2019)

.Phonic Nomads : Nomad’s way (2021)

.Rick Margitza : Sacred hearts (Le Coq, 2021)

.FatMaster : FatMaster (2021)

.Nicolas Folmer : Breathe (Cristal Records, 2022)

.Anne Ducros : Fait son cinéma (Ad Lib, 2023)

.Nicolas Viccaro : Metropolitan Souk (2023)

.Nicolas Folmer : Michel Legrand Stories (Cristal Records, 2023)

  1. a et b Paolo Coccina, « Chronique Animal Pop », Bassiste Magazine, no 47,‎
  2. Félix Marciano, « Portrait Olivier Louvel "Guitar colors" », Jazz Magazine, no 642,‎
  3. « Presse Olivier Louvel », sur olivierlouvel.com
  4. « Olivier Louvel », sur Jazz à Caen
  5. « Pédagogie Olivier Louvel », sur olivierlouvel.com
  6. « Disques Olivier Louvel », sur Jazz à Caen