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En tant que toulousain, comment ne pas être pris dans la vague de l'aéronautique, l'informatique et le rugby ; même sans être toulousain d'origine.

Pourquoi l'aéronautique ?

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Sans doute parce que je suis de formation mécanique et électronique. J'ai travaillé environ 10 ans dans la recherche et développement de propulseurs de missiles, de groupes de puissance auxiliaire (APU et systèmes de démarrage) pour aéronefs et les unités de puissance au sol (GPU) ; toute ces activités étant regroupées dans le domaine de la recherche et développement des turbines à gaz.

Aujourd'hui je suis ingénieur de soutien logistique dans un environnement international et ingénieur informatique dédié à l'information stratégique et commerciale.

Pourquoi l'informatique ?

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Parce que j'ai continué mes études durant mes années de travail ; d'abord en informatique industrielle, ensuite en informatique fondamentale et pour finir en ingénierie des systèmes d'information et, plus particulièrement en systèmes à base de connaissances. Durant environ six ans, j'ai travaillé à l'Office National d'Etude et de Recherche Aérospatial (ONERA) dans le Département de Traitement de l'Information et de sa Modélisation (DTIM, ex DERI) dans le département Sécurité ; recherchant des formalismes logiques pour formaliser des notions telles que la responsabilité, la violation, les dommages et la réparation.

Oeuvrant sur des analyses de règlementations (règlements de l'aviation civile, règles de sécurité militaire, règles médicales, ...) et dans un souci de rapidité d'analyse, j'ai rechercher les formalismes utilisés dans les sciences cognitives et développé un système à base de connaissance capable d'interpréter des textes dans le contexte réglementaire et normatif. Depuis, passionné par l'approche cognitive, j'y consacre beaucoup de temps en dehors de toute structure.



Récompense Chapeau bas !
Frédéric Priest-monk 23 décembre 2006 à 04:00 (CET)♥!