Il représente un verrou, généralement fabriqué en bois qui était employé pour les meubles. Ce dispositif était inséré à travers trois anneaux fixés à l'extérieur des battant. Les éléments centraux étaient conçus pour bloquer le mécanisme dans les anneaux de manière à suffisamment coulisser pour libérer un anneau et donc déverrouiller la porte tout en restant coincés entre les deux anneaux restant. Il est translittéré s (z sous l'Ancien Empire) ou sw.
C'est un idéogramme dans le terme s < z :
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« verrou de porte »[1],
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d'où découle sa fonction en tant que phonogramme unilitère de valeur s < z (voir plus haut « Représentation »).
C'est parfois dans les cartouches des Ramsès une abréviation du terme sw :
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« le (lui), se
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(lui-même), il »[2].
C'est un substitut probablement par transfert homomorphique de l'hiéroglyphe R22 :
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et ḫm :
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« chapelle, sanctuaire »[3].
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Il ne doit pas être confondu avec l'hiéroglyphe S24 :
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Faulkner
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skp
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ḥs.t
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Sȝ Rˁ ( Rˁ-ms(w)-sw )
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vb- filtrer, passer
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nc- faveur(s), éloge(s), louange(s)
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np.reg- Fils de Rê ( Rê l'a fait naître )
(Ramsès Ier)
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