Vicq-sur-Gartempe

commune française du département de la Vienne

Vicq-sur-Gartempe est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne (région Nouvelle-Aquitaine).

Vicq-sur-Gartempe
Vicq-sur-Gartempe
L'église Saint-Léger, en 2013.
Blason de Vicq-sur-Gartempe
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Vienne
Arrondissement Châtellerault
Intercommunalité Communauté d'agglomération Grand Châtellerault
Maire
Mandat
Pascal Bernard
2020-2026
Code postal 86260
Code commune 86288
Démographie
Gentilé Vicquois
Population
municipale
641 hab. (2021 en évolution de +1,1 % par rapport à 2015)
Densité 19 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 43′ 18″ nord, 0° 51′ 42″ est
Altitude Min. 57 m
Max. 142 m
Superficie 33,22 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Châtellerault
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Châtellerault-3
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Vicq-sur-Gartempe
Géolocalisation sur la carte : France
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Vicq-sur-Gartempe
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Vicq-sur-Gartempe
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Vicq-sur-Gartempe
Liens
Site web vicq-sur-gartempe.fr

Géographie

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Localisation

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La commune est située dans l'est[1] du département, à la limite avec les départements de l'Indre et d'Indre-et-Loire.

Communes limitrophes

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Hameaux et lieux-dits

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Les hameaux[2] et lieux-dits[2] de la commune sont : Champfouché, la Bergerie et l'Étranglar.

Géologie et hydrographie

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Le territoire communal est arrosé par la rivière Gartempe[2].

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique du nord-ouest[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Poitou-Charentes, caractérisée par un bon ensoleillement, particulièrement en été et des vents modérés[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 719 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 6,7 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lésigny à 15,87 km à vol d'oiseau[6], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 743,3 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Voies de communication et transports

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La commune est desservie par les routes départementales[10] : 5, 11, 11G et 14.

La gare ferroviaire la plus proche est la gare de Châtellerault[10], à 28 km.

L'aéroport le plus proche est l'aéroport de Poitiers-Biard[10], à 58 km.

Le territoire communal est traversé par le sentier de grande randonnée 48[2].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Vicq-sur-Gartempe est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Châtellerault, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[12]. Cette aire, qui regroupe 44 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (87,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (45,2 %), zones agricoles hétérogènes (31,8 %), forêts (11,1 %), prairies (10,7 %), zones urbanisées (1,1 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Vicq-sur-Gartempe est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Gartempe. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1993, 1995, 1999, 2010 et 2016[18],[16].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Vicq-sur-Gartempe.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[19]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[20]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[21]. 38,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (79,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 2],[22].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[16].

Toponymie

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Ses habitants sont appelés les Vicquois[23].

Histoire

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Politique et administration

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La commune dépend de l'arrondissement de Châtellerault, du canton de Châtellerault-3, de la quatrième circonscription de la Vienne et de la communauté de communes des Vals de Gartempe et Creuse.

Elle dispose d'un bureau de poste[24].

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
avant 1995 ? Joseph Maroille DVD  
mars 2001 mars 2014 Bernard Jacob[25],[26] ? ?
mars 2014 23 avril 2016 Didier Boulanger ? ?
4 mai 2016 En cours Pascal Bernard ? ?
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[28].

En 2021, la commune comptait 641 habitants[Note 3], en évolution de +1,1 % par rapport à 2015 (Vienne : +1,03 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 4711 4921 7091 6741 8331 8691 7761 8261 876
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 9071 8391 6941 6061 5371 5161 5221 4401 467
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 3841 4601 4401 2701 2611 2791 2151 1891 161
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
1 1051 014893756668715720681615
2021 - - - - - - - -
641--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

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L'agriculture est l'une des économies de la commune, même si les surfaces agricoles utilisées ont diminué et sont passées de 3 017 hectares en 2000 à 2 642 hectares en 2010. 37 % sont destinées à la culture des céréales[Note 4], 11 % pour les oléagineux[Note 5], 20 % pour le fourrage et 27 % reste en herbe. En 2000, quatre hectares étaient consacrés à la vigne. Il ne reste plus que vingt-trois exploitations[31] agricoles en 2010 contre quarante-huit en 2000. Dix-sept exploitations en 2010 (contre vingt-quatre en 2000) abritent un élevage de bovins (2 339 têtes en 2010 contre 1 972 en 2000). Trois exploitations en 2010 (contre huit en 2000) abritent un élevage d'ovins (544 têtes en 2010 contre 1 315 têtes en 2000).

L'élevage de volailles[31] a disparu au cours de cette décennie (371 têtes réparties sur 19 fermes en 2000).

Population et société

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La commune possède comme lieu d'enseignement[32] une école primaire publique. Le collège public (Léon-Huet) de secteur[33] se trouve à La Roche-Posay. Elle dispose aussi d'une salle des fêtes.

Chaque année ont lieu la « Fête des battages » et la « Nuit romane ».

Culture locale et patrimoine

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L’intérieur de l'église Saint-Léger, en 2013.
L’intérieur de l'église Saint-Léger, en 2013.
  • Château de La Brosse : il est inscrit comme monument historique depuis 1990 pour l'escalier, l'élévation, et la toiture.
  • Église Saint-Léger (XIIe siècle) : le chœur, le clocher et la façade datent probablement de la 2e moitié du XIIe siècle, tandis que la nef, qui comporte trois travées, serait, elle, du XIIIe siècle. Les vitraux du chœur, portent la date de 1894, date à laquelle ont dû s'achever des travaux de restauration, concernant en particulier la toiture et la couverture du clocher (les tuiles plates ont alors été remplacées par des ardoises). De nouveaux travaux engagés de 2012 à 2013 ont notamment permis de découvrir en haut du chœur quelques restes de fresques du XIIe siècle, ainsi qu'une litre funéraire datant probablement du XVe siècle. Elle est inscrite comme monument historique depuis 1935[34].
  • Presbytère : des inscriptions commémoratives du XVIIe siècle sont visibles dans le presbytère.
  • Monument aux morts.
  • Vieux pont enjambant la Gartempe.
  • Villa des Îles : la villa date de 1906, et est inscrite depuis 2010 comme monument historique. La villa des Iles est une demeure de style Art-Nouveau, construite en 1906. Les premiers plans de la villa sont réalisés par l'architecte Ferron mais c'est l'architecte Milord qui les termine et s'occupe de la construction. La villa doit son nom aux îles de Gartempe situées à proximité. Le plan au sol est resté identique à celui dessiné par Ferron, mais les façades, baies et toitures ont été revues. Elles possèdent des agrafes sculptées au sommet de leurs arcs. Des vitraux très colorés ornent les deux portes d'entrée, ainsi que plusieurs fenêtres et portes-fenêtres. Le toit à la Mansart est recouvert d'ardoise. Les façades sont ornées de céramique, avec des motifs floraux. Le rez-de-chaussée ouvre sur une terrasse encadrée par des balustres en pierre. Le jardin d'entrée est bordée de grilles en fer forgé. En face de la villa, de l'autre côté de la rue, sont construites les anciennes dépendances vers 1910. Il s'agit d'un style propre à la villégiature appliqué ici en milieu rural.

Héraldique, logotype et devise

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Blason de Vicq-sur-Gartempe Blason
Tiercé en chevron renversé : au premier de gueules à la charrue d'argent, au deuxième d'or plain, au troisième d'azur aux deux gerbes de blé d'or.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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Bibliographie

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Chatel de Brancion (Laurence) [dir.], Val de Creuse et Val d'Anglin. Nature et patrimoine. Guide, Bélâbre, Histaval, 2023, p. 280-282, notice de Thierry Sarmant.

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  4. Blé tendre essentiellement mais aussi orges et maïs.
  5. Un quart des sols en colza et trois quarts en tournesol.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. Site de Lion 1906 : Vienne, consulté le 18 septembre 2012.
  2. a b c et d Site du Géoportail : Vicq-sur-Gartempe, consulté le 15 décembre 2013.
  3. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Orthodromie entre Vicq-sur-Gartempe et Lésigny », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Lesigny » (commune de Lésigny) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Lesigny » (commune de Lésigny) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. a b et c Site de ViaMichelin : Vicq-sur-Gartempe, consulté le 14 décembre 2013.
  11. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Vicq-sur-Gartempe ».
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Châtellerault », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Vicq-sur-Gartempe », sur Géorisques (consulté le ).
  17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  18. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  19. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  20. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Vicq-sur-Gartempe », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  21. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  22. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  23. « Nom des habitants des communes françaises, Vicq-sur-Gartempe », sur le site habitants.fr de la SARL Patagos (consulté le ).
  24. Site de La Poste : Un bureau de poste, consulté le 22 août 2012.
  25. Site du ministère de l'Intérieur : Résultats des élections municipales de 2001, consulté le 18 février 2013.
  26. Site du ministère de l'Intérieur : Résultats des élections municipales de 2008, consulté le 28 novembre 2009.
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. a et b Site de la direction Régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Foret de Poitou-Charentes : Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne.
  32. Site du ministère de l'Éducation nationale : Vicq-sur-Gartempe, consulté le 25 août 2012.
  33. Site du collège Léon Huet, consulté le 25 août 2012.
  34. « Eglise », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).