Glycérol

composé chimique
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Le glycérol, ou glycérine, est un composé organique de formule HOH2C–CHOH–CH2OH. C'est un liquide incolore, visqueux et inodore au goût sucré, utilisé dans de nombreuses compositions pharmaceutiques. Sa molécule possède trois groupes hydroxyle correspondant à trois fonctions alcool responsables de sa solubilité dans l'eau et de sa nature hygroscopique. Un résidu glycérol constitue l'articulation centrale de tous les lipides de la classe des triglycérides et des phosphoglycérides.

Glycérol
Formule développée du glycérol. Formule en 3 dimension du glycérol.
Identification
Nom UICPA propane-1,2,3-triol
ou
1,2,3-propanetriol
Synonymes

glycérine
Trihydroxypropane

No CAS 56-81-5
No ECHA 100.000.263
No CE 200-289-5
PubChem 753
No E E422
FEMA 2525
SMILES
InChI
Apparence liquide incolore, hygroscopique, visqueux[1]
Propriétés chimiques
Formule C3H8O3  [Isomères]
Masse molaire[4] 92,093 8 ± 0,003 9 g/mol
C 39,13 %, H 8,76 %, O 52,12 %,
pKa 14,4[2]
Moment dipolaire 4,21 D[3]
Diamètre moléculaire 0,547 nm[3]
Propriétés physiques
fusion 18,2 °C[2]
ébullition 290 °C[2] (se décompose au-delà de 171 °C)
Solubilité Miscible avec l'eau (1,00 × 106 mg l−1 à 25 °C[2]), l'alcool.
Soluble dans 11 parts d'acétate d'éthyle,
500 parts d'éther diéthylique.
Insoluble dans le benzène, le chloroforme, les huiles, CCl4, CS2, l'éther de pétrole
Paramètre de solubilité δ 33,8 MPa1/2 (25 °C)[5]
Masse volumique 1,260 4 g cm−3 (17,5 °C)[6]
d'auto-inflammation 370 °C[7]
Point d’éclair 160 °C[7]
Limites d’explosivité dans l’air dans l'air : 0,9 %vol-[1]?
Pression de vapeur saturante 1,68 × 10−4 mmHg (25 °C)[2]
Viscosité dynamique 1,49 Pa·s à 20 °C
Point critique 66,8 bar, 726,0 K[8]
Vitesse du son 1 904 m s−1 à 25 °C[9]
Thermochimie
ΔfH0gaz −577,9 kJ mol−1[10]
ΔfH0liquide −669,6 kJ mol−1[11]
Δfus −71,5 kJ mol−1 (300 K)[12]
Δvap −91,7 kJ mol−1[12]
Cp
PCS 1 655,4 kJ mol−1 (25 °C, liquide)[14]
Propriétés optiques
Indice de réfraction 1,4730[3]
Précautions
SIMDUT[15]

Produit non contrôlé
NFPA 704
Écotoxicologie
DL50 20 ml kg−1 (rats, oral)
4,4 ml kg−1 (rats, i.v.)
4,09 g kg−1 (souris, oral)[2]
4,25 g kg−1 (souris, i.v.)[2]
Autre Peut exploser au contact d'oxydants forts (CrO3, KClO3, KMnO4)
LogP −1,76[1]
Composés apparentés
Autres composés

Nitroglycérine


Unités du SI et CNTP, sauf indication contraire.

Histoire

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Initialement, le glycérol a été découvert comme un résidu de la fabrication du savon.

En 1779, le pharmacien et chimiste suédois Carl Wilhelm Scheele identifie pour la première fois le glycérol en faisant bouillir de l'huile d'olive avec de l'oxyde de plomb[16],[17].

En 1823, le chimiste français Eugène Chevreul démontre que le corps gras est formé d’une combinaison entre le glycérol et des acides gras.

C'est le naturaliste Pierre-Antoine Cap (de son vrai nom Gratacap) qui introduisit en 1853 dans la pratique médicale les préparations pharmaceutiques ayant pour base la glycérine. Il les divisait en deux grandes classes : les glycérolés, faits avec de la glycérine seule, et les glycérats, faits avec un mélange composé de glycérine et d'amidon, ayant la consistance de l'empois.

Propriétés

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Propriétés physiques

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Le glycérol se présente sous la forme d'un liquide transparent, visqueux, incolore, inodore, au goût sucré.

Le glycérol a des effets diurétiques osmotiques et laxatifs localisés. La glycérine élève l'osmolalité du plasma sanguin, extrayant ainsi l'eau des tissus vers le liquide interstitiel et le plasma[18]. La glycérine est utilisée comme solvant, humectant et véhicule dans diverses préparations pharmaceutiques[18].

Le glycérol peut se dissoudre dans les solvants polaires grâce à ses trois groupes hydroxyles. Il est miscible dans l'eau et l'éthanol ; et insoluble dans le benzène, le chloroforme et le tétrachlorométhane[7].

Décantation d'une bille de plastique dans la glycérine, avec ralentissement à l'approche du fond.

L'affinité du glycérol avec l'eau le rend également hygroscopique, et du glycérol mal conservé (hors dessicateur ou mal fermé) se dilue en absorbant l'humidité de l'air.

Malgré cette forte affinité avec l'eau, la très forte viscosité dynamique du glycérol favorise son utilisation comme fluide pour l'étude de la décantation de particules en régime de Stokes (image ci-contre).

Propriétés chimiques

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Dans les organismes vivants, le glycérol est un composant important des glycérides (graisses et huiles) et des phospholipides[19]. Quand le corps utilise les graisses stockées comme source d'énergie, du glycérol et des acides gras sont libérés dans le sang.

Déshydratation

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La déshydratation du glycérol est faite à chaud, en présence d'hydrogénosulfite de potassium (KHSO3) et produit de l'acroléine selon la réaction :

Estérification

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L'estérification du glycérol conduit à des glycérides.

Autres propriétés

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Le glycérol a un goût sucré de puissance moitié moindre que le saccharose, son pouvoir sucrant est de 0,56-0,64 à poids égal[20].

Le glycérol a des propriétés laxatives et diurétiques faibles[7].

Comme d'autres composés chimiques, tels que le benzène, son indice de réfraction (1,47) est proche de celui du verre commun (~1,50), permettant de rendre « invisibles » des objets en verre qui y seraient plongés.

Biologie

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Le glycérol est présent partout dans la nature, notamment sous forme de glycéride[21].

Production et synthèse

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La synthèse historique de la glycérine est due à Wurtz, à partir du tribromure d'allyle. Toutefois cette synthèse n'est pas totale car le tribromure d'allyle est lui-même préparé à partir de la glycérine. La synthèse totale est due à Charles Friedel et Roberto Duarte Silva à partir du propylène.
Le glycérol est formé durant la fermentation alcoolique du moût de raisin lors de la production du vin.

Le glycérol est un sous-produit de la réaction de saponification, dont le but premier est de fabriquer du savon à partir de matières grasses animales ou végétales. Cette réaction s'écrit :

corps gras + soudesavon + glycérol

La glycérine est un sous-produit de la transestérification d'huiles végétales lors de la production d'esters méthyliques d’huiles végétales (EMHV) qui servent de carburants sous la dénomination de biodiesel ou diester.

Les huiles de noix de coco et de palmiste, qui contiennent un pourcentage élevé (70-80 %) d'acides gras en C6 à C14, libèrent de plus grandes quantités de glycérol que les gras et huiles qui contiennent majoritairement des acides gras en C16 et C18, comme les graisses animales, les huiles de graines de coton, graines de soja, olives et palme[22].

Utilisation

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Médicaments et désinfectants

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Cosmétiques

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Alimentation

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Le glycérol est utilisé comme humectant (pour retenir l’humidité), solvant (support d'arôme[25]), émulsifiant, stabilisant et épaississant dans une large variété de produits alimentaires[26],[27] tels que sucreries[28], boissons[29], biscuits/gâteaux[30], sandwiches et wraps[31], petits déjeuners[32] et autre produits surgelés[33] (liste non exhaustive de catégories de produits).

En Europe, il est utilisé comme additif alimentaire sous le numéro E422[25].

Le JECFA a attribué au glycérol une dose journalière admissible non spécifiée depuis 1976[34], ce qui indique qu'il ne présente pas de danger pour la santé lorsqu'il est utilisé dans les proportions requises pour obtenir l'effet désiré.

  • Le glycérol, formé au début de la fermentation alcoolique du moût (fermentation glycéropyruvique), donne au vin son onctuosité.
  • Les sucres se transforment en acide pyruvique et en glycérol :
C6H12O6 → CH2OH-CHOH-CH2OH + CH3-CO-COOH
  • Les premiers 50 g de sucre fermenté donnent plus de la moitié de la teneur en glycérol du vin. Sa formation dépend de la quantité initiale de sucre, de la nature des levures et des conditions de fermentation : température, acidité, aération, sulfitage. La proportion de glycérol est relativement constante : elle varie de 6 à 10 g pour 100 g d’alcool. Cependant dans les vins blancs liquoreux provenant de raisins pourris (Botrytis), les teneurs en glycérol dépassent souvent de beaucoup ces proportions. Par exemple, les montlouis liquoreux sont sucrés et doux au palais. Le glycérol se trouve également dans les vins rouges (tels les bourgognes). La formation de « coulées » ou larmes sur les parois d’un verre après agitation n'est pas un indice de qualité dû au glycérol mais s'explique par une différence d'évaporation et de tension capillaire entre l'eau et l'alcool (l'effet Marangoni).
  • C'est l'un des principaux composants de la fabrication de la nitroglycérine.
  • C'est aussi l'un des composants indispensables pour faire des bulles de savon.
  • On peut faire du feu sans allumette si l'on mélange le glycérol à du permanganate de potassium (KMnO4) en poudre. La réaction est très lente au début (on n'observe rien durant les trente premières secondes), puis elle est tellement exothermique que la réaction s'emballe, provoquant l'inflammation du mélange : on observe des flammes violettes, indicatrices de la présence de potassium.
  • Le glycérol sert de précurseur dans la synthèse du propylène glycol[35].

Cellophane

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Autres applications

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  • Plastifiant et lubrifiant dans la fabrication du papier[36].
  • Lubrifie et assouplit les fibres, fils et tissus.
  • Utilisé dans les fluides antigel[36],[37].
  • Appliqué sur un miroir, il y évite l'apparition de buée.
  • Sert aussi pour des effets spéciaux tels que la simulation de transpiration ou des fumigènes.
  • Sert dans l'aéronautique à lubrifier les tuyauteries d'eau potable en raison de son caractère non polluant.
  • Composant associé ou alternatif au propylène glycol dans les liquides pour cigarette électronique.
  • Le glycérol peut être également utilisé comme lubrifiant intime.
  • Il peut également servir pour intensifier la fumée d'un narguilé.
  • Il peut être utilisé dans les crèmes glacées ou sorbets « maison » pour éviter le durcissement aux températures du congélateur (2 cuillères à soupe par litre)
  • Le glycérol est utilisé pour conserver des plantes pour en faire des bouquets secs[38].
  • Le glycérol entre comme plastifiant dans la formulation de la peinture aquarelle. C'est aussi la matière première pour les résines alkydes, liant de la peinture glycérophtalique[39].
  • Le glycérol est utilisé pour la conservation longue durée des bactéries à une température de −30 °C en empêchant la formation de cristaux de glace[40].
  • Production d'énergie des générateurs électriques pour les voitures de Formule E[41].

Notes et références

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  1. a b et c GLYCEROL, Fiches internationales de sécurité chimique
  2. a b c d e f et g (en) ChemIDplus, « Glycerin - RN: 56-81-5 », sur chem.sis.nlm.nih.gov, U.S. National Library of Medicine (consulté le ).
  3. a b et c (en) Yitzhak Marcus, The Properties of Solvents, vol. 4, Angleterre, John Wiley & Sons, , 239 p. (ISBN 0-471-98369-1).
  4. Masse molaire calculée d’après « Atomic weights of the elements 2007 », sur www.chem.qmul.ac.uk.
  5. (en) James E. Mark, Physical Properties of Polymer Handbook, Springer, , 2e éd., 1076 p. (ISBN 978-0-387-69002-5 et 0-387-69002-6, lire en ligne), p. 294.
  6. (en) J. G. Speight et Norbert Adolph Lange, Lange's Handbook of Chemistry, McGraw-Hill, , 16e éd., 1623 p. (ISBN 0-07-143220-5), p. 2.289.
  7. a b c et d (en) Peter M. Collins, Dictionary of carbohydrates, Boca Raton, CRC Press, , 1282 p. (ISBN 0-8493-3829-8), p. 584-986.
  8. « Properties of Various Gases »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur flexwareinc.com (consulté le ).
  9. (en) William M. Haynes, CRC Handbook of Chemistry and Physics, Boca Raton, CRC Press/Taylor & Francis, , 91e éd., 2610 p. (ISBN 9781439820773, présentation en ligne), p. 14-40.
  10. (en) NIST, « Glycerin », sur webbook.nist.gov.
  11. (en) « Glycerin ».
  12. a et b (en) NIST, « Glycerin », sur webbook.nist.gov.
  13. (en) Carl L. Yaws, Handbook of Thermodynamic Diagrams, vol. 1, Huston, Texas, Gulf Pub., (ISBN 0-88415-857-8).
  14. (en) David R. Lide, CRC Handbook of Chemistry and Physics, Boca Raton, CRC Press, , 83e éd., 2664 p. (ISBN 0849304830, présentation en ligne), p. 5-89.
  15. « Glycérine » dans la base de données de produits chimiques Reptox de la CSST (organisme québécois responsable de la sécurité et de la santé au travail), consulté le 24 avril 2009.
  16. (en) Claudio J. A. Mota, Bianca Peres Pinto et Ana Lúcia de Lima, Glycerol: A Versatile Renewable Feedstock for the Chemical Industry, Springer, (ISBN 978-3-319-59375-3, lire en ligne), p. 11.
  17. (en) Mario Pagliaro et Michele Rossi, The Future of Glycerol, Royal Society of Chemistry, (ISBN 978-1-84973-046-4, lire en ligne), p. 1.
  18. a et b (en) « Glycerol », sur pubchem.ncbi.nlm.nih.gov (consulté le ).
  19. « Glycérol : définition et explications », sur AquaPortail (consulté le ).
  20. (en) Robert Shallenberger, Taste Chemistry, Londres, Springer, , 613 p. (ISBN 0-7514-0150-1, lire en ligne), « Chapter 4 - Polyhydroxy alcohols, cyclitols and carbonyl compounds », p. 141-152.
  21. « Glycerol - an overview | ScienceDirect Topics », sur sciencedirect.com (consulté le ).
  22. (en) Lowen R. Morrison, Procter & Gamble, Kirk-Othmer Encyclopedia of Chemical Technology : Glycerol, vol. 12, John Wiley & Sons, , 4e éd.
  23. Brigitte Charpentier, Alain Harlay, Florence Hamon-Lorleac'h et Lionel Ridoux, Guide du préparateur en pharmacie, Elsevier Masson, (ISBN 978-2-294-70290-7, lire en ligne), p. 121.
  24. Francis, « Pouvoir sucrant des sucres », sur larecette.org, .
  25. a et b Parlement européen et Conseil de l'Europe, « La Directive 95/2/CE concernant les additifs alimentaires autres que les colorants et les édulcorants », Journal officiel de l'Union européenne, no L 61,‎ , p. 1-56 (lire en ligne [PDF]).
  26. (en) Codex Alimentarius Commission, « Updated up to the 31st Session of the Codex Alimentarius Commission for Glycerol (422) », GSFA Online, sur codexalimentarius.net, Codex Alimentarius, (consulté le ).
  27. « Liste des produits contenant l'additif E422 », sur fr.openfoodfacts.org (consulté le ).
  28. (en) « List of candies containing the additive E422 », sur world.openfoodfacts.org (consulté le ).
  29. (en) « List of beverages containing the additive E422 », sur world.openfoodfacts.org (consulté le ).
  30. (en) « List of biscuits and cakes containing the additive E422 », sur world.openfoodfacts.org (consulté le ).
  31. (en) « List of sandwiches and wraps containing the additive E422 », sur world.openfoodfacts.org (consulté le ).
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  34. (en) JECFA, « Monograph 1 Glycerol - INS no 422 » [PDF], Food additive Monograph, sur fao.org, FAO, (consulté le ), p. 1-4.
  35. (en) « US8394999B2 - Process for converting glycerin into propylene glycol », sur Google Patents, (consulté le ).
  36. a et b Céline Deluzarche, « Définition - Glycérol - Glycérine - Propanetriol », sur Futura (consulté le ).
  37. « glycérol », sur larousse.fr (consulté le ).
  38. (en) Francis R. Gouin, « Preserving flowers and leaves », Maryland Cooperative Extension Fact Sheet, vol. 556,‎ , p. 1-6 (lire en ligne, consulté le ).
  39. André Béguin, Dictionnaire technique de la peinture, , p. 314.
  40. J.-P. Accolas et J. Auclair, « Conservation à l'état congelé de suspensions de bactéries lactiques concentrées sous faible volume I. Bactéries lactiques mésophiles » [PDF], sur hal.archives-ouvertes.fr.
  41. « Les voitures de Forule E sont rechargées grâce à des génératrices à glycérine », sur www.aveq.ca,

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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