Saint-Parres-aux-Tertres

commune française du département de l'Aube

Saint-Parres-aux-Tertres est une commune française, située dans le département de l'Aube en région Grand Est.

Saint-Parres-aux-Tertres
Saint-Parres-aux-Tertres
Blason de Saint-Parres-aux-Tertres
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Aube
Arrondissement Troyes
Intercommunalité Troyes Champagne Métropole
Maire
Mandat
Jack Hirtzig
2020-2026
Code postal 10410
Code commune 10357
Démographie
Gentilé Patrocliens, Patrocliennes
Population
municipale
3 201 hab. (2021 en évolution de +3,06 % par rapport à 2015)
Densité 271 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 18′ 01″ nord, 4° 07′ 07″ est
Superficie 11,82 km2
Type Ceinture urbaine
Unité urbaine Troyes
(banlieue)
Aire d'attraction Troyes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Troyes-4
Législatives Première circonscription
Localisation
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Saint-Parres-aux-Tertres
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Saint-Parres-aux-Tertres
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Saint-Parres-aux-Tertres

Les habitants de Saint-Parres-aux-Tertres s'appellent des Patroclien(ne)s.

Géographie

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Communes limitrophes

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Hameaux

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Le cadastre de 1838 cite au territoire Arzilet, Bire-Saint-Loup, Baire-Saint-Parres, Belle-Croix, Foissy, Formeaux, Jérusalem, Justice, Maison-des-Prés, Mont-des-Idoles, les moulins Aumont et à-Vent, Panais, les ponts Foissy et aux-Cochons, Saint-Loup, Tuileries et Vieilles-vignes.

Hydrographie

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La commune est dans la région hydrographique « la Seine de sa source au confluent de l'Oise (exclu) » au sein du bassin Seine-Normandie. Elle est drainée par la Barse, le Melda, la Rance, le Rigoulot, un bras de la Barse, le canal 01 du Champ Brûlé, le canal 01 du Marais, le cours d'eau 01 des Anglées, la Fontaine, la Vieille Seine et divers autres petits cours d'eau[1],[Carte 1].

La Barse, d'une longueur de 50 km, prend sa source dans la commune de Puits-et-Nuisement et se jette dans la Seine à La Chapelle-Saint-Luc, après avoir traversé 17 communes[2].

Le Melda, d'une longueur de 12 km, prend sa source dans la commune de Laubressel et se jette dans la Barse à Pont-Sainte-Marie, après avoir traversé sept communes[3].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Saint-Parres-aux-Tertres[Note 1].

Un plan d'eau complète le réseau hydrographique : les Fouchères (0,3 ha)[Carte 1],[4].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Nord-est du bassin Parisien » et « Lorraine, plateau de Langres, Morvan »[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 710 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Troyes-Barberey », sur la commune de Barberey-Saint-Sulpice à 8 km à vol d'oiseau[7], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 644,6 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 41,8 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −23 °C, atteinte le [Note 2],[8],[9].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[10]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Saint-Parres-aux-Tertres est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle appartient à l'unité urbaine de Troyes, une agglomération intra-départementale dont elle est une commune de la banlieue[13],[14]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Troyes, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[14]. Cette aire, qui regroupe 209 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (68,8 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (73,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (61,2 %), zones urbanisées (15,1 %), forêts (9,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,5 %), zones agricoles hétérogènes (4,6 %), prairies (3 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Étymologie du lieu

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Saint Patrocle (Patroclus en latin), ce qui donne en vieux-français saint Parres, donne son nom à la paroisse, comme pour Saint-Parres-lès-Vaudes.

« Aux Tertres » proviendrait du fait que la butte de Saint-Parres-aux-Tertres (où il existe une église sur des vestiges gallo-romains) aurait été un lieu d'exécution. Il se pourrait que l'appellation vienne tout simplement des tertres présents sur le site (buttes de terres ou des vestiges de tombes gauloises).

Saint Parres a été décapité ici pendant les persécutions de Valérien. Selon la légende populaire, il se serait relevé et aurait porté sa tête pour prendre la parole ce qui en faisait un saint céphalophore.

Histoire

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Saint-Parres est située à deux kilomètres de Troyes, sur le haut de la colline appelée Mont-des-Idoles, où saint Parres, noble citoyen de Troyes, souffrit le martyre, en l'an 275. C'est dans la place où il fut enterré que l'archiprêtre Eusèbe, lorsque la persécution eut cessé, fit bâtir une chapelle, devenue plus tard, une paroisse, sous le patronage de saint Patrocle. L'église actuelle fut construite vers les premières années du XVIe siècle.

Le pouvoir comtal puis royal avait une mairie au village ; le premier seigneur connu était Ithier de Flacy en 1172 et semblait le tenir autrefois du fief de Chappes.

En 1787, le village formait, avec Baire-saint-Loup, une communauté qui était de l'intendance et de la généralité de Châlons, de l'élection et du bailliage de Troyes, puis à cette date, la communauté de Baire-saint-Parre lui fut rattaché.

Les 24 février, 3 mars et , une bataille opposa les troupes napoléoniennes des maréchaux Mac Donald et Oudinot aux troupes autrichiennes du général Schwarzenberg.

Château

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Le château, siège du prieuré de Foissy.

Cité en 1716, il était fermé de murs avec huit arpent de vergers. Une allée menait directement du logis à l'église du prieuré. Il avait deux grands bâtiments d'habitation, une tour de dix mètres de diamètre, un colombier, des écuries, une grange et des étables.

Le Prieuré de femmes aussi appelé Foicy et en latin Fusciacus, fut fondé par Thibaut II de Champagne avant 1134. Maison bénédictine, elle était pour hommes et femmes, passait aux augustins en 1145 et dépendait de Fontevrault mais la réforme ne s'appliqua qu'après 1484 et les hommes finirent par s'en aller. En 1776, l'ancienne église et un bâtiment d'habitation furent démolis. Le nombre de professes variait de 46 en 1535 à 50 en 1697 et 20 en 1762. Les revenus du prieuré étaient de 11 000 livres en 1761[18].

L'Ancien hameau cité en 1157, Pannayum, donation de Henri le Libéral au chapitre Saint-Etienne de Troyes. Il dépendait de la Mairie royale de Chaillouet et le Conducteur français cite trois fermes en 1778 et Les Postes 16 habitants en 1905.

Moulin de Baire.

Les deux Baires ont dû être une unique communauté, ils sont de plus contigus et parfois confondus.

  • - Saint-Loup : le comte Thibault alors comte de Troyes faisait l'abandon de toutes les coutumes qu'il avait à Baire à l'abbaye Saint-Loup de Troyes en 1070. Henri le Libéral continua les dons en 1159 puis en 1168 ; les moines avaient aussi le moulin.
  • - Saint-Parre : le hameau relevait en 1553 de la Mairie royale de Chaillouet. C'était un fief qui relevait de Chappes. En 1172, Itier de Flacy avait Saint-Parre et l'eau à Baire, seigneurs qui peuvent être suivi jusqu'en 1777 avec François Janson, capitaine et seigneur de Saint-Parre.

Politique et administration

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De 1790 à l'an IX la communauté était incluse dans le canton de Thennelières.

Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mai 1935 mai 1941[19] Jules Nermerick[20] PCF Coopérateur
Les données manquantes sont à compléter.
1944 juillet 1951 Jules Nermerick[20] PCF Coopérateur
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1965 mars 1992
(décès)
André Gravelle PS Journaliste
Député de la 1re circonscription de l'Aube (1973 → 1978)
Conseiller général du canton de Troyes-1 (1973 → 1992)
mai 1992[21] 2020 Colette Rota[22] DVD Retraitée
Vice-présidente de Troyes Champagne Métropole
mai 2020 En cours Jack Hirtzig[23] SE Enseignant
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[25].

En 2021, la commune comptait 3 201 habitants[Note 4], en évolution de +3,06 % par rapport à 2015 (Aube : +0,74 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
488482516376584604647673678
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
670693655643594620594580619
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
5765845815998131 1661 3291 2921 489
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 6351 8082 0882 4022 4112 6152 7972 8543 068
2018 2021 - - - - - - -
3 1363 201-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 31,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (35,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 33,1 % la même année, alors qu'il est de 27,7 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 1 512 hommes pour 1 624 femmes, soit un taux de 51,79 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,41 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[28]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,5 
90 ou +
3,1 
10,1 
75-89 ans
14,1 
17,7 
60-74 ans
19,4 
20,5 
45-59 ans
19,8 
15,2 
30-44 ans
15,6 
13,8 
15-29 ans
12,1 
21,2 
0-14 ans
15,8 
Pyramide des âges du département de l'Aube en 2021 en pourcentage[29]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ou +
2,1 
7,4 
75-89 ans
10,2 
17,4 
60-74 ans
18,4 
19,4 
45-59 ans
19 
17,8 
30-44 ans
17,3 
18,3 
15-29 ans
15,9 
19 
0-14 ans
17,1 

Économie

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Culture et festivités

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Lieux et monuments

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Personnalités liées à la commune

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  • Michel Taittinger, sous-lieutenant et fils de Pierre Taittinger,
  • Charles Cuisin, peintre dont un tableau est au Musée du Louvre face à la Joconde de Leonard de Vinci, a intitulé un de ses tableaux "Soleil couchant à Saint-Parres-aux-Tertres". Ce tableau est visible au Musée de Troyes.
  • Jacques Diebold, ancien footballeur et entraîneur professionnel.
  • Denis Bolori, se serait tué en 1536, tombant dans un champ de la commune alors qu'il effectuait un vol avec un engin de sa conception depuis la tour de la cathédrale de Troyes.

Héraldique

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Blason de Saint-Parres-aux-Tertres Blason
Parti : au 1er d’azur à la bande d’argent côtoyée de deux doubles cotices potencées et contre-potencées d’or, au chef d’azur chargé de trois fleurs de lis d’or, au 2e de gueules au saint à mi-corps d’or tenant un livre du même chargé d’une croisette latine de gueules, au chef de sinople chargé de deux épis de blé d’or passés en sautoir.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi

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Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. Les records sont établis sur la période du au .
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. a et b « Réseau hydrographique de Saint-Parres-aux-Tertres » sur Géoportail (consulté le 18 mai 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Fiche communale de Saint-Parres-aux-Tertres », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le ).
  2. Sandre, « la Barse »
  3. Sandre, « le Melda »
  4. « Le millésime 2022 de la BD TOPAGE® métropole est disponible », sur eaufrance.fr (consulté le ).
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Saint-Parres-aux-Tertres et Barberey-Saint-Sulpice », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Troyes-Barberey », sur la commune de Barberey-Saint-Sulpice - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Troyes-Barberey », sur la commune de Barberey-Saint-Sulpice - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  12. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  13. « Unité urbaine 2020 de Troyes », sur insee.fr (consulté le ).
  14. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Troyes », sur insee.fr (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. Pouillé de l'éveché de Troyes de 1761, p37.
  19. Il est destitué par le régime de Vichy et remplacé par une délégation spéciale.
  20. a et b Notice NERMERICK Jules par René Lemarquis, version mise en ligne le 30 novembre 2010, dernière modification le 30 novembre 2010
  21. Le territoire et ses communes - Saint-Parres-aux-Tertres, sur troyes-champagne-metropole.fr
  22. Site officiel de la préfecture de l‘Aube
  23. https://reader.cafeyn.co/fr/1927222/21597835
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Parres-aux-Tertres (10357) », (consulté le ).
  29. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de l'Aube (10) », (consulté le ).
  30. « Église », notice no PA00078229, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture

Liens externes

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