Chef d'état-major de la Marine (France)

chef d'état-major de la Marine française

Le Chef d'État-major de la Marine (CEMM) est un Officier général français. Il est un conseiller du Chef d'État-major des Armées (CEMA) pour la Marine nationale. Il est aussi responsable devant le ministre des Armées de la préparation de la Marine nationale en vue de sa mise en œuvre. Depuis le , le poste de Chef d'État-major de la Marine (CEMM) est occupé par l'Amiral Nicolas Vaujour.

Chef d'état-major de la Marine
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Marque signifiant la présence du chef d'état-major de la Marine à bord d'une unité de la Marine nationale.

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Titulaire actuel
Amiral Nicolas Vaujour
depuis le

Création
Mandant Président de la République
Premier titulaire Contre-amiral Jules Krantz
Résidence officielle Hôtel de la Marine (1871-2015)
Hexagone Balard (depuis 2015)
Site internet www.defense.gouv.fr/marine

Principales attributions

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Le Chef d'État-major de la Marine (CEMM) est le premier représentant de la Marine nationale. Il conseille et assiste le Chef d'État-major des Armées (CEMA). Il lui apporte l'expertise propre de la Marine nationale. En outre :

  • Le Chef d'État-major de la Marine (CEMM) entretien des relations bilatérales avec les Marines étrangères ;
  • Le Chef d'État-major de la Marine (CEMM) participe aux instances inter administrations dans le domaine d'action relevant de l'État en mer ;
  • Le Chef d'État-major de la Marine (CEMM) dispose d'une autorité (hiérarchique) sur différentes instances, comme :
  1. L’État-major de la Marine (EMM) ;
  2. La Direction du personnel militaire de la Marine nationale (DPMM) ;
  3. Les différents commandements, directions et services qui compose la Marine nationale.
  • Le Chef d'État-major de la Marine (CEMM) assure la préparation des Forces de la Marine nationale, à ce titre, il est :
  1. Responsable de l'instruction ;
  2. Responsable de l'entraînement ;
  3. Responsable du maintien en condition opérationnelle des Forces maritimes ;
  4. Responsable de la rédaction des concepts et des doctrines d'emploi des Forces maritimes.
  1. La disponibilité des moyens ;
  2. L'état de préparation opérationnelle des Forces maritimes.
  • Dans le domaine capacitaire, le Chef d'État-major de la Marine (CEMM) élabore :
  1. Les besoins militaires de la Marine nationale ;
  2. Les besoins en matière de soutien et d’infrastructure - à ce titre, il :
    1. Est responsable de l’évaluation opérationnelle des nouveaux équipements ;
    2. Prononce leur mise en service opérationnel et le retrait de service en fin de vie.
  • Dans le domaine des ressources humaines, le Chef d'État-major de la Marine (CEMM) est :
  1. Il exprime les besoins en emploi, en effectifs et en compétences du personnel civil relevant de son autorité ;
  2. Il prend part à la mise en œuvre de la politique ministérielle concernant le personnel civil et participe aux instances de dialogue social ;
  3. Il est responsable pour le personnel militaire de la Marine nationale du recrutement, de la formation initiale et continue, de la discipline, du moral et de la condition du personnel, des parcours professionnels et de carrière, de la gestion des effectifs, des emplois et des compétences.

Il possède des attributions en matière de maîtrise des risques et en matière de sécurité nucléaire.

Autorité et commandement

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L'autorité du chef d'état-major de la Marine s'exerce sur plusieurs organismes :

Il préside le conseil d'administration du Service hydrographique et océanographique de la Marine (SHOM) et exerce, au nom du ministre des Armées, la tutelle de l'École navale.

Historique de la fonction

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Avant la Première Guerre mondiale, le chef d'état-major de la Marine (CEMM) est avant tout le chef du cabinet militaire du ministre de la Marine, et ce mode de fonctionnement est à l'origine de l'appellation utilisée ; le militaire qui a autorité effective sur la Marine est alors l'amiral commandant l'armée navale, parfois désigné officieusement comme « amiralissime », en référence au titre de « généralissime » usité à l'époque dans l'Armée de terre.

La Première Guerre mondiale remet tout cela en cause, car un immense travail de réorganisation doit être effectué « rue Royale »[a] pour conduire une guerre maritime industrielle de longue durée et être en mesure d’affronter les nouvelles menaces constituées par les sous-marins allemands et les mines sous-marines : on crée même alors une sorte « d'état-major bis » appelé « direction générale de la guerre sous-marine » — la DGGSM —, aux domaines d'action parfois redondants ; cette redondance constatée conduit logiquement à la dissolution de la DGGSM à la fin de la guerre et à l'attribution de ses nombreuses prérogatives aux bureaux de l'état-major général de la Marine.

Pour disposer d’un système permettant une transition souple entre le temps de paix — période de préparation — et le temps de guerre — période d’action —, le vice-amiral chef d'état-major général de la Marine devient, dans les années 1920, le commandant désigné des forces maritimes françaises en cas de guerre, et le travail d'état-major revient dans de telles circonstances au major général de la Marine, son premier adjoint en temps de paix.

Du au , l'organisation de la Marine n'a plus comporté d'état-major général, mais un "état-major des forces maritimes françaises" en lieu et place qui en faisait office pour le temps de guerre. L'amiral Darlan est ainsi devenu commandant en chef des forces maritimes françaises avant d'être appelé à d'autres fonctions en dans la France de Vichy.

Après la Seconde Guerre mondiale, la disparition progressive du portefeuille de ministre de la Marine amène à confier une partie des prérogatives du ministre au chef d’état-major de la Marine, prérogatives qui sont cependant peu à peu reprises au niveau « interarmées » par l'État-Major des armées et son chef : le chef d'État-Major des armées (CEMA). Le CEMM perd ainsi au profit du CEMA ses responsabilités de direction des opérations maritimes en 1971[b].

Dans les années 2000, c'est à nouveau une large part des prérogatives organiques — préparation des forces — qui est transférée au CEMA, mais le CEMM reste son principal conseiller quant à la préparation et à l'emploi de la Marine.

L'amiral Bernard Louzeau décide à la fin des années 1980 de remplacer l'emblème de la Marine « une ancre d'or entrelacée d'un câble » par un logo représentant «  une étrave de navire blanche avec deux vagues bleu et rouge ». L'amiral Pierre-François Forissier décide quant à lui de doter la Marine d'un hymne dont les paroles sont écrites en 2011 par le lieutenant de vaisseau Christian Beauval et la musique par le chef de musique des armées Didier Descamps, chef de la Musique des équipages de la flotte de Brest[2],[3],[4].

Liste des chefs d'état-major de la Marine

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IIIe République : chefs d'état-major général de la Marine (CEMGM)

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Portrait Grade au moment
de la prise de fonction
Chef d'état-major Date de prise de poste
et décret de nomination
Durée
Contre-amiral Jules Krantz [5] 2 ans, 87 jours
Contre-amiral Victor Duperré [6] 1 an, 119 jours
Contre-amiral Henri Garnault [7] 1 an, 163 jours
Contre-amiral Albert Roussin [8] 1 an, 203 jours
Contre-amiral Abel Bergasse Dupetit-Thouars [9] 1 an, 134 jours
Contre-amiral Eugène Sellier [10] 1 an, 172 jours
Contre-amiral Alexandre Peyron [11] 1 an, 107 jours
Capitaine
de vaisseau
Gustave Besnard [12] 76 jours
Vice-amiral Alexandre Peyron [13] 1 an, 27 jours
Contre-amiral Sébastien Lespès [14] 2 ans, 136 jours
Contre-amiral Charles de la Jaille [15] 180 jours
Contre-amiral Louis-Henri Brown de Colstoun [16] 1 an, 81 jours
Capitaine
de vaisseau
Alfred Gervais [17] 62 jours
Contre-amiral Louis Victor Alquier [18] 197 jours
Contre-amiral Alfred Le Timbre [19] 1 an, 332 jours
Vice-amiral Louis Vignes [20] 2 ans, 90 jours
Vice-amiral Alfred Gervais [21] 2 ans, 223 jours
Vice-amiral Edgar Humann [22] 1 an, 48 jours
Contre-amiral Charles Chauvin [23] 221 jours
Vice-amiral Jean de Lamornaix [24] 2 ans, 22 jours
Vice-amiral Jules de Cuverville [25] 1 an
Contre-amiral Léonce Caillard [26] 297 jours
Vice-amiral Amédée Bienaimé [27] 1 an, 276 jours
Contre-amiral Ernest Marquer [28] 2 ans, 17 jours
Contre-amiral Paul Campion [29] 346 jours
Vice-amiral Charles Touchard [30] 276 jours
Vice-amiral Charles Aubert [31] 3 ans, 295 jours
Vice-amiral Laurent Marin-Darbel [32] 1 an, 176 jours
Vice-amiral Paul Auvert [33] 351 jours
Vice-amiral Charles Aubert [34] 358 jours
Vice-amiral Pierre Le Bris [35] 1 an, 122 jours
Vice-amiral Louis-Joseph Pivet [36] 193 jours
Vice-amiral Charles Aubert [37] 184 jours
Vice-amiral Eugène de Jonquières [38] 275 jours
Vice-amiral Ferdinand-Jean-Jacques de Bon [39] 3 ans, 37 jours
Vice-amiral Pierre Alexis Ronarc'h [40] 294 jours
Vice-amiral Henri Salaün [41] 357 jours
Vice-amiral Maurice Grasset [42] 3 ans, 179 jours
Vice-amiral Henri Salaün [43] 3 ans, 172 jours
Vice-amiral Louis-Hippolyte Violette [44] 3 ans, 37 jours
Vice-amiral Georges Durand-Viel [45] 5 ans, 318 jours
Vice-amiral François Darlan[c] [46] 2 ans, 176 jours

État français : chef d'état-major des Forces maritimes françaises (CEMFMF)

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Portrait Grade au moment
de la prise de fonction
Chef d'état-major Date de prise de poste
et décret de nomination
Durée
Amiral de la flotte François Darlan [47] 2 ans, 69 jours
Contre-amiral Gabriel Auphan[d] [48] 1 an, 77 jours
Vice-amiral d'escadre Maurice Le Luc [49] 131 jours

France libre : commandant des Forces navales françaises libres

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Portrait Grade au moment
de la prise de fonction
Commandant Date de prise de poste
et décret de nomination
Durée
Vice-amiral Émile Muselier [50] 1 an, 246 jours
Contre-amiral Philippe Auboyneau Avril 1942 [51] -

Gouvernement provisoire de la République et IVe République

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Portrait Grade au moment
de la prise de fonction
Chef d'état-major Date de prise de poste
et décret de nomination
Durée
Vice-amiral d'escadre André Lemonnier[e] [52] 6 ans, 294 jours
Vice-amiral Robert Battet [53] 47 jours
Vice-amiral d'escadre Roger-Gabriel Lambert 1 an, 69 jours
Vice-amiral Henri Nomy 8 ans, 249 jours

Ve République : chef d'état-major de la Marine

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Portrait Grade au moment
de la prise de fonction
Chef d'état-major Date de prise de poste
et décret de nomination
Durée
Amiral Georges Cabanier 7 ans, 184 jours
Amiral André Patou 2 ans, 120 jours
Amiral André Storelli 1 an, 276 jours
Amiral Marc de Joybert 2 ans, 163 jours
Amiral Albert Joire-Noulens [54] 2 ans, 18 jours
Amiral Jean-René Lannuzel [55] 6 ans
Amiral Yves Leenhardt [56] 4 ans, 182 jours
Amiral Bernard Louzeau [57] 3 ans, 294 jours
Amiral Alain Coatanéa (d) [58] 3 ans, 223 jours
Amiral Jean-Charles Lefebvre [59] 4 ans, 305 jours
Amiral Jean-Luc Delaunay [60] 2 ans, 60 jours
Amiral Jean-Louis Battet [61] 3 ans, 349 jours
Amiral Alain Oudot de Dainville [62] 2 ans, 234 jours
Amiral Pierre-François Forissier [63] 3 ans, 220 jours
Amiral Bernard Rogel [64] 4 ans, 305 jours
Amiral Christophe Prazuck [65] 4 ans, 49 jours
Amiral Pierre Vandier [66] 2 ans, 364 jours
Amiral Nicolas Vaujour [67] 1 an, 111 jours

Notes et références

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  1. Où se trouve le ministère de la Marine.
  2. À titre de comparaison, ses homologues de l'armée de terre et de l'armée de l'air les avaient déjà perdues dix ans plus tôt, en 1961.
  3. On a vu plus haut (cf.Historique de la fonction), la particularité de l'organisation de l'état-major de la Marine d'août 1939 à juin 1943. Darlan s'est ensuite rangé du côté des Alliés en . Il a été assassiné à Alger le .
  4. Il a fait en sorte que les Forces de Haute Mer de l'amiral de Laborde n'interviennent pas contre les forces alliées qui ont débarqué en Afrique du Nord, début novembre 1942, puis à l’arrivée des troupes allemandes à Toulon le , il veille à ce que l'ordre qu'il a donné de sabordage de la Flotte soit exécuté. Il a démissionné de ses fonctions le .
  5. L'amiral Lemonnier est nommé à ce poste par le Comité français de libération nationale, qui a été constitué en pour mettre un terme à la division entre les Forces françaises libres du général de Gaulle et les forces de l'Armée d'Afrique du général Giraud alors commandant en chef français civil et militaire. Sont ainsi réunies les Forces Maritimes d’Afrique, et les Forces navales françaises libres aux que commande le contre-amiral Auboyneau qui est alors nommé Chef d'État-Major Général-Adjoint

Références

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  1. Arrêté du 27 avril 2014 portant organisation de l'état-major de la marine et des organismes directement subordonnés au chef d'état-major de la marine.
  2. Philippe Chapleau, « La Marine nationale a désormais son hymne officiel », sur Lignes de défense, (consulté le ).
  3. Stéphane Dugast, « Un hymne pour la Marine », sur site de la Marine nationale, (consulté le ).
  4. Jean Guisnel, « La marine s'est dotée d'un hymne officiel », Le Point,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  5. « Décret portant affectation d'un officier général », sur Gallica (JORF numérisé), (consulté le ).
  6. « Décret portant affectation d'un officier général », sur Gallica (JORF numérisé), (consulté le ).
  7. « Décret portant affectation d'un officier général », sur Gallica (JORF numérisé), (consulté le ).
  8. « Décret portant affectation d'un officier général », sur Gallica (JORF numérisé), (consulté le ).
  9. « Décret portant affectation d'un officier général », sur Gallica (JORF numérisé), (consulté le ).
  10. « Décret portant affectation d'un officier général », sur Gallica (JORF numérisé), (consulté le ).
  11. « Décret portant affectation d'un officier général », sur Gallica (JORF numérisé), (consulté le ).
  12. « Décret portant affectation d'un officier général », sur Gallica (JORF numérisé), (consulté le ).
  13. « Décret portant affectation d'un officier général », sur Gallica (JORF numérisé), (consulté le ).
  14. « Décret portant affectation d'un officier général », sur Gallica (JORF numérisé), (consulté le ).
  15. « Décret portant affectation d'un officier général », sur Gallica (JORF numérisé), (consulté le ).
  16. « Décret portant affectation d'un officier général », sur Gallica (JORF numérisé), (consulté le ).
  17. « Décret portant affectation d'un officier général », sur Gallica (JORF numérisé), (consulté le ).
  18. « Décret portant affectation d'un officier général », sur Gallica (JORF numérisé), (consulté le ).
  19. « Décret portant affectation d'un officier général », sur Gallica (JORF numérisé), (consulté le ).
  20. « Décret portant affectation d'un officier général », sur Gallica (JORF numérisé), (consulté le ).
  21. « Décret portant affectation d'un officier général », sur Gallica (JORF numérisé), (consulté le ).
  22. « Décret portant affectation d'un officier général », sur Gallica (JORF numérisé), (consulté le ).
  23. « Décret portant affectation d'un officier général », sur Gallica (JORF numérisé), (consulté le ).
  24. « Décret portant affectation d'un officier général », sur Gallica (JORF numérisé), (consulté le ).
  25. « Décret portant affectation d'un officier général », sur Gallica (JORF numérisé), (consulté le ).
  26. « Décret portant affectation d'un officier général », sur Gallica (JORF numérisé), (consulté le ).
  27. « Décret portant affectation d'un officier général », sur Gallica (JORF numérisé), (consulté le ).
  28. « Décret portant affectation d'un officier général », sur Gallica (JORF numérisé), (consulté le ).
  29. « Décret portant affectation d'un officier général », sur Gallica (JORF numérisé), (consulté le ).
  30. « Décret portant affectation d'un officier général », sur Gallica (JORF numérisé), (consulté le ).
  31. « Décret portant affectation d'un officier général », sur Gallica (JORF numérisé), (consulté le ).
  32. « Décret portant affectation d'un officier général », sur Gallica (JORF numérisé), (consulté le ).
  33. « Décret portant affectation d'un officier général », sur Gallica (JORF numérisé), (consulté le ).
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  38. « Décret portant affectation d'un officier général », sur Gallica (JORF numérisé), (consulté le ).
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  40. « Décret portant affectation d'un officier général », sur Gallica (JORF numérisé), (consulté le ).
  41. « Décret portant affectation d'un officier général », sur Gallica (JORF numérisé), (consulté le ).
  42. « Décret portant affectation d'un officier général », sur Gallica (JORF numérisé), (consulté le ).
  43. « Décret portant affectation d'un officier général », sur Gallica (JORF numérisé), (consulté le ).
  44. « Décret portant affectation d'un officier général », sur Gallica (JORF numérisé), (consulté le ).
  45. « Décret portant affectation d'un officier général », sur Gallica (JORF numérisé), (consulté le ).
  46. « Décret portant affectation d'un officier général », sur Gallica (JORF numérisé), (consulté le ).
  47. « Décret portant appellation avec prise de rang », sur Gallica (JOEF numérisé), (consulté le ).
  48. « Décret portant affectation d'un officier général », sur Gallica (JOEF numérisé), (consulté le ).
  49. « Décret portant affectation d'un officier général », sur Gallica (JOEF numérisé), (consulté le ).
  50. « Émile Muselier », sur le site de l'ordre de la Libération (consulté le ).
  51. « Philippe Auboyneau », sur le site de l'ordre de la Libération (consulté le ).
  52. « Décret portant affectation d'un officier général », sur Gallica (JORF numérisé), (consulté le ).
  53. « Décret du 27 mai 1950 portant affectation d'un officier général », sur le JORF numérisé sur Legifrance (consulté le ).
  54. « Décret portant affectation d'un officier général », sur Légifrance (JORF numérisé), (consulté le ).
  55. « Décret portant affectation d'un officier général », sur Légifrance (JORF numérisé), (consulté le ).
  56. « Décret portant affectation d'un officier général », sur Légifrance (JORF numérisé), (consulté le ).
  57. « Décret portant affectation d'un officier général », sur Légifrance (JORF numérisé), (consulté le ).
  58. Décret du 7 novembre 1990 conférant les rang et appellation d'amiral et portant affectation d'un officier général de la marine.
  59. Décret du 9 mai 1994 portant admission par anticipation dans la 2e section, élévation aux rang et appellation d'amiral, élévation aux rang et appellation de général d'armée aérienne, promotion et nomination dans la 1re et la 2e section et affectation d'officiers généraux.
  60. Décret du 9 avril 1999 portant réintégration dans les cadres et admission dans la 2e section, admission dans la 2e section par anticipation et élévation aux rang et appellation de général de corps d'armée, promotion et nomination dans la 1re et la 2e section et affectation d'officiers généraux.
  61. Décret du 31 mai 2001 portant réintégration dans les cadres et admission dans la 2e section, admission dans la 2e section par anticipation et sur demande, élévation aux rang et appellation d'amiral, élévation aux rang et appellation de général de corps d'armée, élévation aux rang et appellation de vice-amiral d'escadre, promotion et nomination dans la 1re et la 2e section et affectation d'officiers généraux.
  62. Décret du 13 mai 2005 portant réintégration dans les cadres et admission dans la 2e section, admission dans la 2e section par anticipation et sur demande, élévation aux rang et appellation de général de corps d'armée et affectation, affectation et élévation aux rang et appellation d'amiral, affectation et élévation aux rang et appellation de vice-amiral d'escadre, promotion et nomination dans la 1re et la2e section et affectation d'officiers généraux.
  63. Décret du 21 janvier 2008 portant maintien dans la 1re section, réintégration et admission dans la 2e section par anticipation et sur demande, affectation et élévation aux rang et appellation d'amiral, promotion et nomination dans la 1re et la 2e section, affectation d'officiers généraux
  64. Décret du 24 juin 2011 portant affectation et élévation aux rang et appellation de général d'armée, affectation et élévation aux rang et appellation d'amiral, d'officiers généraux
  65. Décret du 7 juillet 2016 portant affectation et élévation d'un officier général
  66. Décret du 22 juillet 2020 portant nominations d'officiers généraux.
  67. Décret du 21 juillet 2023 portant nomination d'officiers généraux.

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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