Discussion:Baclofène
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Il manque les sources pour l'essai italien. Meszigues (d) 12 novembre 2008 à 00:15 (CET)
Sources non validées
modifierOn ne peut pas laisser dire que "l'utilisation de benzodiazépines et de tranquilisants entraîne des effets secondaires graves"; on ne peut utiliser pas comme source des références très incertaines et exotiques comme les références 25 et 26 qui ne sont PAS des références scientifiques mais des livres polémiques sans consistance. Autrement dit, les benzodiazépines n'entraînent habituellement pas d'effet secondaires graves (sauf situation très exceptionnelle), et leur utilisation est au contraire extrêmement sure. Les inconvénients de leur utilisation sont d'un autre ordre que ceux des effets secondaires pharmacologiques, mais plutôt de l'ordre de la philosophie politique et sociale et de la philosophie de la santé.--Jean (jsvdoc) (d) 21 septembre 2010 à 12:39 (CEST)
Soyons factuels
modifierJe me permets d'attirer l'attention des contributeurs sur la nécessité de rester neutre dans l'information qui est passée sur le baclofène et les récents développements liés à son expérimentation contre l'alcoolodépendance. Il serait dommage qu'un excès de fanatisme fasse passer la partie objective de l'info à la trappe. Toute affirmation doit rester neutre et non péremptoire. Et, si possible documentée par une référence en béton (j'y travaille pour ma partie). Une contribution mentionne par exemple "Mais il reste qu'il s'agit du premier cas de suppression complète de la maladie par une revue médicale incontestée du monde médical, et que depuis d'autres cas y ont également été publiés". Outre que la phrase semble avoir été écrite sous influence (...), les mots "premier", "suppression" et "complète" sont des termes absolus, excessifs et non objectivables. L'auteur controversé du "dernier verre" mentionne lui-même à plusieurs reprises que l'alcoolisme est une maladie dont on ne guérit pas. On est au mieux en rémission. Un jour, un mois, un an, dix ans, vingt ans. Même après un délai de rémission très long, le malade reste "à risque". Le meilleur service qu'on puisse rendre à ceux qui - suite au battage médiatique - recherchent légitimement une information accessible et objective est de la présenter de façon aussi pondérée que possible, sachant qu'il y a bien une demi-douzaine de lobbys plus ou moins puissants qui ont intérêt à faire taire une rumeur qui - jusqu'à preuve du contraire - reste porteuse d'espoir pour des millions d'alcooliques. Si vous cherchez la demi-douzaine de lobbys, pensez chiffre d'affaire de l'industrie des boissons alcoolisées, ou alors du côté des multiples associations et de praticiens qui "vivent" de l'alcoolisme.
- Tout à fait d'accord. La tournure qu'a pris l'article en pamphlet en faveur d'Ameisen, est tout, sauf encyclopédique. A surveiller également l'article alcoolisme qui a du être neutralisé à plusieurs reprises. Nguyenld (d) 4 décembre 2008 à 19:28 (CET) Pierre Becquart - Chaumont-Gistoux, Belgique.
- Pas d'accord du tout. Les alcooliques profonds dont le dernier recours est devenu l'abstinence totale obligatoire, sont la pire contre-publicité, le pire cauchemar, des vendeurs d'alcool. Il me semble que la guérison au Baclofène permet la survie du mythe (?) de la dose d'alcool "raisonnable". Ça me paraît bien plutôt une véritable bénédiction pour les producteurs d'alcool, qui craignent, comme l'opinion commune le prétend actuellement pour le tabac, qu'une consommation "raisonnable" soit reconnue comme impossible. (Victor.Libon 6 janvier 2012 à 00:37 (CET))
- "L'auteur controversé du "dernier verre" mentionne lui-même à plusieurs reprises que l'alcoolisme est une maladie dont on ne guérit pas."
- Si vous tenez à être factuel, commencez donc par lire le livre en entier puisqu'il se déclare bel et bien guérit sous baclofène. La phrase que vous citez concerne les passages du début du livre où cela était vrai jusqu'à cette découverte...
- Si l'on guérissait de l'alcoolisme grâce à un médicament miracle, ça se saurait et nous serions des millions à utiliser Baclofène, moi le premier. Pour ma part je suis abstinent depuis 1995 ans grâce à un psychiatre qui m'a orienté vers les alcooliques anonymes. Je crains que le Baclofène donne de faux espoirs aux malades alcooliques. Mais ce qui est le plus dangereux, qu'il conduise à la rechute des abstinents en les encourageant à reprendre un verre dans l'espoir de boire raisonnablement en gérant leur consommation d'alcool.Maurice47 (d) 15 mai 2013 à 16:43 (CEST)
- Pas d'accord du tout. Les alcooliques profonds dont le dernier recours est devenu l'abstinence totale obligatoire, sont la pire contre-publicité, le pire cauchemar, des vendeurs d'alcool. Il me semble que la guérison au Baclofène permet la survie du mythe (?) de la dose d'alcool "raisonnable". Ça me paraît bien plutôt une véritable bénédiction pour les producteurs d'alcool, qui craignent, comme l'opinion commune le prétend actuellement pour le tabac, qu'une consommation "raisonnable" soit reconnue comme impossible. (Victor.Libon 6 janvier 2012 à 00:37 (CET))
Ameisen
modifierj'ai essayé de regarder son rôle exact dans le Baclofene.
En regardant le medline, il n' a publié qu'un seul article de recherche sur l'alcoolisme Complete and prolonged suppression of symptoms and consequences of alcohol-dependence using high-dose baclofen: a self-case report of a physician, Alcohol Alcohol. 2005.
'Le lien 16 dans la rubrique références reprend le lien 9 à l'identique il faudrait le remplacer par l'article suivant "Gamma-Hydroxybutyrate (GHB)-Deficiency in alcohol-dependence?" écrit par O. Ameisen disponible en intégralité dans Alcohol and Alcoholism 2007 42(5):506; et disponible via ce lien hypertexte suivant http://alcalc.oxfordjournals.org/cgi/content/full/42/5/506?maxtoshow=&HITS=10&hits=10&RESULTFORMAT=1&author1=ameisen&andorexacttitle=and&andorexacttitleabs=and&andorexactfulltext=and&searchid=1&FIRSTINDEX=0&sortspec=relevance&resourcetype=HWCIT'
Le reste n'étant que des revues de la littérature. Cet article décrit son "expérimentation" sur lui-même, cas tout à fait inhabituel dans la littérature scientifique actuelle et qui pose des problèmes quant à son interprétation. Son autre spécificité est d'avoir employé des doses massives de Baclofène sans démontrer pour autant que des doses moindres pourraient suffire.
Ce n'est pas un précurseur. La molécule est testé chez l'homme au moins depuis 2000 (Addolorato G, Caputo F, Capristo E, Colombo G, Gessa GL, Gasbarrini G (2000) Ability of baclofen in reducing alcohol craving and intake: II-preliminary clinical evidence. Alcohol Clin Exp Res 24:67-71). Addolorato a une liste de publications sur le sujet autrement plus conséquente.
L'article d'Ameisen n'est même pas cité par celui d'Addolorato dans le Lancet 2007, (ou même dans l'éditorial qui l'accompagne) revue effectivement la plus prestigieuse de toutes celles qui sont citées
J'ai tendance à en déduire que le rôle d'Ameisen est surtout médiatique, son apport scientifique reste très modeste. Il faudrait vérifier que son livre "mon dernier verre" a été écrit directement en français ce qui tendrait à faire penser que la "controverse" soit un simple épiphénomène franco-français.
Je ne suis pas donc sûr que tout cela mérite un chapitre spécial nommé "controverse". Je suis d'accord pour citer son livre qui a eu un certain retentissement dans les médias français, mais juste à la fin, l'article devant rester essentiellement scientifique. Nguyenld (d) 27 décembre 2008 à 01:35 (CET)
Problèmes de non-neutralité La parution du livre a eu un grand retentissement médiatique autour du livre "le dernier verre" publié en octobre 2008 par le Dr Olivier Ameisen . Le retentisssemnt de l'ouvrage et l'espoir qu'il peut apporter, explique que beaucoup d'internautes cherchent à en savoir plus de façon aussi neutre que possible. Il reste donc souhaitable que l'article Wikipedia fasse état de l'existence du livre, des études sur lesquelles il s'appuie, des grandes lignes de la solution proposée, et des réactions curieuses suscitées dans la communauté des addictologues. Il est étonnant par exemple que certains tentent de fausser la réalité en supprimant une publication majeure d'Ameisen dans JAMA. Il est également choquant que certains tentent de supprimer le fait pourtant clairement établi qu'Ameisen est médecin, cardiologue et que le nom des Universités dont il fait partie soit régulièrement supprimé. Il n'est pas dans l'intérêt du public que certains tentent de minimiser la réalité. Autre exemple: des références étaient requises pour le retentissement international. Des dizaines d'articles sont parus de par le monde, mais là encore, la référence au journaliste de la BBC et à la célèbre Diane Sawyer de ABC News dans une vidéo interviewant Ameisen qui se trouve en ligne soit également supprimée. Il existe donc un effort surprenant de fausser la réalité. Si ces efforts de falsifications devaient persister, cela soulèverait la question de qui a un intérêt à ce que la vérité soit cachée. Proposé par Marcocharpentier le 21 janvier 2009 Je renouvelle les propos de Pierre Becquart. Une personne intervient plusieurs fois par jour pour fausser la vérité et supprimer: -qu'Ameisen est médecin appartenant et ayant appertenu à des universités américaines dont les noms sont volontairement supprimés. - les données médicales et scientifiques et médiatiques vérifiables (articles, noms de la BBC et d'ABC News du 14 janvier 2009) sont supprimées dès qu'elles sot mises à la disposition des lecteurs etc... Le fait que Wikipédia ferme les yeux sur cette manipulation porte atteinte à sa crédibilité. Des membres de la profession médicale se proposent de rendre ces falsifications répétées publiques.
- Merci, enfin, d'en discuter et merci de ne plus effacer les interventions d'autres contributeurs qui ne vous pas favorables sur cette page (je veux croire que c'est une erreur de débutant).
Pour répondre point par point :
- Je ne nie pas qu'Ameisen soit médecin ou chercheur. Le fait qu'il soit cardiologue est anecdtotique dans un article consacré au Baclofène. Et surtout, le fait qu'il soit professeur n'est pas sourcée. Il n'apparait en particulier nulle part sur le site de luniversité Cornell de New York.
- Sa seule publication scientifique est son expérience personnelle. Sa publi dans le JAMA est une lettre à l'éditeur concernant un autre article dont il n'est pas l'auteur. Cela n'a pas du tout la même importance, au niveau éditorial, que s'il avait rééllement publié dans cette revue.
- L'article de la BBC parle de la situation en France et n'exprime donc pas qu'il aie eu un retentissement outre manche.
- Plusieurs ajouts que vous avez fait sont extrèmement douteux et biaisé (vous ne les avez pas renouvelé d'ailleurs), comme le fait d'affirmer que le rapport de la société d'alcoologie française parle de "Sainte-Vierge"
- J'ai conservé et mis en forme le lien que vous avez donné sur ABC News
Le plus simple c'est d'arrêter de modifier l'article en votre sens et d'en parler calmement ici. Comme je l'ai dit dans votre page de discussion, j'ai conservé certains de vos apports en les mettant en forme. Je suis loin d'être contre toute évolution de l'article. Nguyenld (d) 22 janvier 2009 à 12:58 (CET)
Il est important de vérifier les informations et les sources avant de les supprimer lorsqu'on est modérateur:
L'allusion à la Sainte Vierge a été publiée dans L'Express du 26 Août 2009 (en ligne): "Alcoolisme: un témoignage qui dérange" lien URL: http://www.lexpress.fr/actualite/societe/alcoolisme-un-temoignage-qui-derange_657899.html C'est la trésorière de la SFA le Dr Dorothée Lecallier qui l'affirme. Donc soyez gentil de le vérifier avant de dire que cela n'existe pas.
Ameisen est Visiting Professor de Médecine à State University of New York comme cela figure dans tous les articles de presse nationaux et internationaux et c'est le titre de professeur que "Le Monde" cite également. Le site de l'éditeur du livre (Farrar Straus and Giroux) le précise clairement: lien URL: http://us.macmillan.com/theendofmyaddiction . L'Université de l'Etat de New York le confirme sur demande. Il en va de même pour l'université Cornell.
Plus important, vous avez supprimé la "Book Review" du livre d'Ameisen par la Revue Alcohol and Alcoholism, l'une des revues phares dans le domaine et qui date du 9 Mars 2009. Elle figure en ligne et fait autorité. Le lien URL est: http://alcalc.oxfordjournals.org/cgi/content/short/44/3/337
Le fait que lle rédacteur en chef de la revue, le Dr Jonathan Chick soutienne la découverte d'Ameisen dans toutes ses interviews est tout à fait inhabituel pour un rédacteur en chef qui d'habitude est tenu par le devoir de réserve. Il l'a fait entre autres dans le journal à plus gros tirage Britannique "The Daily Mail" et cela est en ligne: URL: http://www.dailymail.co.uk/health/article-1153524/Could-pill-cure-alcoholism-Doctor-drinking-early-grave-tells-fairy-tale-recovery.html
et dans "The big issue" important média national au Royaume Uni: lien URL: http://www.bigissuescotland.com/news/view/73
Pourriez vous, cher NGuyen revérifier ces liens et rétablir ce que j'ai ajouté ce matin?
Aussi, peut-être n'avez vous pas la notion que les sept publications d'Ameisen faciles à trouver sur Pubmed sont considérées dans le milieu médical universitaire comme publications. Elles ont exactement la même valeur qu'elles soient article ou lettres à l'éditeur. Elles sont "peer-reviewed" au même titre que tout article et donc "reviewées" par deux experts et le rédacteur en chef. Ces publications sont dans JAMA (2), Alcohol and Alcoholism" (2) Lancet (1) entre autres. Si vous, personnellement ne le saisissez pas, vérifiez le svp auprès d'experts. C'est le b.a.-ba des règles de publications scientifiques. Les promotions universitaires se font sur publications dans des revues de qualité, qu'elles soient lettres, commentaires, articles etc
Aussi, il semble vous échapper que, dans votre paragraphe sur "pas précurseur", il est le premier à parler de "suppression" à l'inverse de "réduction" du craving. Ceci change tout car c'est justement tout le débat actuel: ce qui se passe, c'est que cette découverte, comme le souligne "Le Monde" permet d'aboutir à l"indifférence" à l'alcool et non à l'abstinence.
Encore merci de bien vouloir corriger vos erreurs.
Forums Internet
modifier- Que penser des témoignages qui occupent des centaines de pages sur le net et qui révèlent la guérison, et non la rémission, des sujets ?
Ils sont actuellement capable de consommer un verre d'alcool, de l'apprécier puis de l'oublier (pas de reprise effrénée de la consommation même après plusieurs semaines) ? J'ai modifié l'article pour en faire mention mais mes références apparaissent avec le nom des sites en toutes lettres (je ne sais pas si c'est d'usage ici ?) pourriez-vous m'aider à le mettre en forme svp ?(alcodein) 02 août 2009 20:35 (CET)
Des centaines de témoignage ce n'est qu'un buzz et il ya des milliers de micro événements qui ont des centaines de témoignages sur internet et qui ne sont pas notables dans une encyclopédie, essentiellement parce que cela rentre dans le cadre d'un wikipédia:travaux inédits. Par contre qu'un article de la grande presse en parle, cela est beaucoup plus intéressant. J'ai donc corrigé votre apport en ce sens. Il y a encore deux affirmations à sourcer, d'autant que la seconde me parait fausse (les neuro psychiatres ne sont pas plus habilité à prescrire des doses supérieures à celles qui sont recommandées et surtout pas dans des indications non prévues). Nguyenld (d) 3 août 2009 à 08:23 (CEST)
- merci beaucoup pour la mise en forme je ne savais pas trop comment faire.
il est vrai que c'est l'article du monde qui est la seule preuve de l'existence de gens traités à plus de 90 mg en france. pour les effets secondaires je n'ai pas de sources à fournir les neuro-psychiatres ont la connaissance de la neurologie et le baclofène est couramment prescrit en neurologie au delà de l'amm.
les consignes de l'ordre des médecins sont des consignes orales données par l'ordre des médecins au généraliste par téléphone (j'ai des preuves mais effectivement rien à faire dans une encyclopédie). la menace de l'ordre des médecins est très claire si ceux-ci prescrivent du baclofène hors amm ils risquent de voir fermer leur cabinet le serment d'hypocrate et le code de la santé publique autorise pourtant les médecins à le faire.
le journal le point à consacré un article au test officiel qui va être mis en place en 2010 mais la version papier n'est jamais sortie dites-moi si c'est la version actuelle est correcte pour vous. sur le fond je ne modifierai pas l'article tant que je n'aurais pas de nouvelle du point (Alcodein) 03 août 2009 à 10:36
- Je laisse diazépam, c'est le nom de la molécule et je ne suis pas sûr que cela s'appelle du valium aux Etats-Unis ou même en Belgique ou au Canada
- Si l'article du Point est une version uniquement Web, y a pas de problème pour le mentionner (pour la mise en forme, moi-même ou quelqu'un d'autres la fera)
- En France, il n' y a que peu de molécules que seuls certains médecins spécialistes ont le droit de prescrire et pas les autres. Je ne crois pas que le Baclofène fasse partie de ceux-là. Quand on fait appel au "serment d'hippocrate" pour passer au dessus des réglements, c'est uniquement dans le cadre compassionnel (médicament utilisé hors cadre dans le but de soulager une situation désespérée, genre nouveau médicament dans un cancer évolué à courte survie). Je doute profondément que le Baclofène soit dans ce cas et je pense qu'en cas de pépin, le médecin, neuro psychiatre ou pas, sera indéfendable vis-à-vis des tribunaux... . Je remet donc la bannière "référence nécessaire" mais à la limite, ce type d'info peut être supprimé sans nuire à l'article. Nguyenld (d) 3 août 2009 à 12:14 (CEST)
- il n'y a pas de soucis je sais qu'il manque des références.
Je voulais simplement dire que le baclofène est tout à fait dans ce cas contrairement à ce que vous affirmez, les malades alcooliques sont en danger de mort permanent (études statistiques des assurances sur les risques de décès liés à l'alcoolisation chronique). certains vont voir leur médecin alors qu'ils n'ont plus qu'une espérance de vie très limitée mais on les laisse mourir sans leur faire une ordonnance de baclofène.
c'est proprement scandaleux et c'est dû au fait que les médecins eux-même ne veulent pas reconnaître l'alcoolisme comme une maladie grave mortelle et avec une espérance de vie réduite à néant!!!
je vais retoucher l'article plus tard en parlant justement de ça. je vais laisser de côté la mention aux neuro-psychiatres pour l'instant mais j'y reviendrai. cette spécialité a disparu de la circulation pour une raison qu'on ignore alors que ce sont les seuls à savoir soigner la DEPENDANCE à un produit psychotrope maladie décrite dans un document de la dsm IV (Alcodein) 03 août 2009 à 13h37 (CEST)
- Ne vous égarez pas en accusant les médecins, alors que votre contribution est intéressante et beaucoup plus mesurée que d'autres. Si on parle de faits, et c'est le but d'une encyclopédie, l'efficacité du BACLOFENE à petites doses a une efficacité quasi démontrée de manière scientifique (Addolorato, Lancet 2007). L'efficacité du Baclofene à fortes doses ne repose, pour l'instant, que sur des témoignages, le premier de ceux-ci étant la publication d'Ameisen qui ne repose que sur son seul cas. Il est sans doute légitime, d'appeler à une vraie étude scientifique des fortes doses. Il est prématuré et dangereux de faire appel à un appel général de prescription sans niveau de preuve suffisante et ce n'est surtout pas le but d'un article encylopédique. Nguyenld (d) 4 août 2009 à 21:46 (CEST)
- votre affirmation "Je doute profondément que le Baclofène soit dans ce cas" est tout sauf mesurée L'argument qui arrive en contre partie l'est donc très peu lui aussi. Il me semble impératif de faire mention du danger mortel qu'il y a à consommer de manière chronique des doses massives d'alcool (Alcodein) 05 août 2009 à 11:07 (CEST)
- Rappel : le fait que le bacloféne n'ait pas l'amm dans l'indication alcoolisme chronique signifie, qu'à ce jour, le niveau de preuve de son efficacité est jugé insuffisant. Dire qu'il faut inciter les médecins à le prescrire hors amm, c'est une plaidoirie, pas une info encyclopédique, et probablement limite illégal. Par contre si vous avez une source quelque part qui dit que certaines associations poussent en faveur de cette prescription, là c'est une info qui mérite d'être mentionnée. Nguyenld (d) 5 août 2009 à 11:47 (CEST)
- pas de soucis je n'avais pas vu les choses sous cet angle effectivement. le plus important pour terminer cette mise à jour est de parler du test qui est programmé pour début 2010 à Paris suite à un appel de l'affsaps à lever des fonds publics. le test fait déjà polémique car il est prévu de l'effectuer à la dose de 90 mg/ jour pas plus. je peux citer l'article du point et parler de "controverse" plutot que de polémique. (Alcodein) 05 août 2009 à 15:00 (CEST)
pas de problème pour moi. Un détail important : peux tu écrire sous ton nom utilisateur (Alcodein) car tes dernières contributions ont été faites en anonyme (y a que ton adresse IP de visible) et un administrateur wikipédia, voyant que la page bougeait beaucoup a bloqué l'écriture de cet article pour ceux qui sont en anonyme. Si tu as des difficultés, fais le moi savoir sur ma page de discussion, je demanderai alors le déblocage de la page. Nguyenld (d) 5 août 2009 à 18:28 (CEST)
- je viens de relire l'article et une phrase ne colle pas du tout : "Le Baclofène n'est cependant pas dénué d'effets secondaires, surtout à doses importantes." Avez-vous une étude en neurologie sur les effets secondaires à haute dose, il me semble qu'ils ne sont pas plus importants qu'à faible dose. les effets secondaires ne sont ressentis comme gênants que lors des montées de palier. De plus mettre en balance des "effets secondaires indésirables" et des pathologies iatrogènes graves c'est un peu rapide comme procédé.(Alcodein) 07 août 2009 à 19:44 (CEST)
- c'est marqué au moins dans la référence du point que vous avez donné : "Le baclofène administré à de fortes doses peut engendrer des troubles de conscience et des problèmes de somnolence qui augmentent invariablement les risques d'accidents de la circulation" : ce n'est pas anodin. Nguyenld (d) 7 août 2009 à 21:18 (CEST)
- je pense effectivement qu'il faut rappeler les effets secondaires mais contrairement à la déclaration qui est faite dans le point ces effets ne sont pas plus importants à haute dose qu'à faible dose. les témoignages sur internet sont tous concordants. par contre les témoignages montrent également que c'est la co existence du traitement au baclofène et d'alcoolisations qui entraine des effets secondaires importants à haute dose. J'ai modifié la phrase en conséquence (Alcodein) 11 août 2009 à 14:15 (CEST)
- les références que j'ai pu trouver pour les recherches fondamentales sont :
institut d'imagerie biomédicale production scientifique et il y a un documentaire vidéo qui a été diffusé sur la chaine HBO qui retrace les expérimentations américaines je n'ai pas de références officielles concernant ces expérimentations américaines mais un extrait du documentaire est visible sur you tube documentaire hbo, extrait
effets secondaires
modifierje connais une personne a qui son generaliste a prescrit le baclofene qui s'est retrouve interne en psychiatrie hallucination voix etc... cette personne n'avait aucun probleme d'alcoolisme mais avait d'autres addictions cette personne m'a confié que son generaliste lui confirmait que le baclofene pouvait aider à surpasser les chocs psychologiques il est vrai que les articles ne parles pas beaucoup des effets secondaires testes je suis novice en la matiere mais j'aurai aime plus d'information sur les effets negatifs du baclofene merci
Rarement, au bout d'un mois : insomnies, hallucinations visuelles ou auditives, délire, paranoïa. Le Baclofen-Induced Psychosis, psychose due au Baclofène découverte par des Psychiatres du All India Institute of Medical Sciences en 2006[1]user:Azertiop
- Baclofen-Induced Psychosis= "The Annals of Pharmacotherapy " Novembre 2006, volume 40, fasc11, p.2071, Auteurs Chawla, Rao, Sagar.
Compulsions alimentaires
modifierPourquoi ne pas parler des personnes traités par Baclofène pour des compulsions alimentaires et plus particulièrement boulimie? ce traitement est efficace non seulement sur les personnes atteintes de dépendances à l'alcool mais pas seulement. Evidemment, ce médicament n'est peut être pas une panacée universelle mais accompagné d'un travail psychologique (plus particulièrement par thérapie comportementale et cognitive) il peut s'avérer très efficace là où la thérapie seule avait peu ou pas d'effet. Vous pouvez vous rendre sur les parties dédiées aux troubles alimentaires compulsifs (TCA) des forums consacrées au Baclofène afin d'en avoir de nombreux témoignages et de pouvoir constater le cheminement des patients dans ce traitement (beaucoup de servent des forums comme journal de bord). Une fois de plus, je constate que comme les guérisons de maladies alcooliques grâce Baclofène, les guérions sur les TCA sont, au mieux remises en question au pire tabou. Il y a une explication relativement simple à cela: le baclofène est un médicament "ancien", sa formile est tombée dans le domaine public. Il est facile à fabriquer, coute peux et rapporte peu. Or si l'on considère les bénéfices financiers colossaux engendrés par des traitement inefficaces et couteux car récents, une utilisation généralisée du baclofène engendrerait un manque à gagner faramineux pour les laboratoires, dès lors que l'ensemble des patients seraient avertis de son efficacité sur les comportements compulsifs type alcoolisme ou boulime. Mais les laboratoires pharmaceutiques ne sont pas seuls à être touchés: le lobby psychanalytique très présent en France, les fabricants de crème amaigrissant, de substituts de repas et autres gélules et compléments alimentaires tout aussi inefficaces... On peut réaliser dès lors que ces lobbys se cachent derrière les réticence des nos autorités sanitaires à l'attribution d'un AMM définitif, non seulement pour l'alcool mais également pour les TCA. C'est injuste pour les patients et pour la société civile. Je rappelle que l'alcool fait 3 millions de morts par ans dans le monde. Les TCA engendrent des pathologies (diabète, cholestérol, troubles osseux liés au surpoids...) qui mettent également la vie des patients en danger et coutent des milliards d'euros à la sécurité sociale.
— Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 212.234.218.196 (discuter), le 14 mai 2014 à 15:50 (CEST)
- N'hésitez pas à citer des études (essais cliniques) publiés dans des revues à comité de lecture. Wikipédia en ait très friand. Sinon, ça vaut peut être le coût de se rapprocher des chercheurs de ce domaine et de faire ces études. WP est neutre et n'a pas d'a priori vers une méthode particulière tant qu'elle a fait ces preuves.-- Ofix (d) 14 mai 2014 à 20:36 (CEST)
Liste d'essais cliniques confirmant le paragraphe précédent
- Baclofen reduces binge eating in a double-blind, placebo-controlled, crossover study ( http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/22854310 )
- Baclofen for binge eating: an open-label trial ( http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/17647277 )
- Baclofen reduces fat intake under binge-type conditions ( http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/16140347 )
ou même :
- GABAergic and glutamatergic modulation in binge eating: therapeutic approach ( http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/21524265 )
- Pharmacological interventions for binge eating: lessons from animal models, current treatments, and future directions ( *http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/21492094 )
— Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 93.31.168.106 (discuter), le 23 juin 2014 à 14:19 (