Discussion:Charles Quint/LSV 18768
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Archivage de la discussion
modifierCette page contient l'archivage de la discussion d'une proposition d'anecdote.
Un vrai européen
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- Souverain d'Espagne, des Pays-Bas, de Naples et de Sicile, et du Saint-Empire romain germanique (carte), Charles Quint avait pour langue natale le français.
La ou les anecdotes suivantes ont déjà été proposées et possèdent des similarités (surtout au niveau des termes utilisés). N'hésitez pas à supprimer ce bloc si les sujets sont vraiment différents. |
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Proposée par SenseiAC le 24 février 2019, et publiée le 30 juillet 2019. [indice de similitude 5.7/10]:
- Selon Voltaire, le Saint-Empire romain n'était « ni saint, ni romain, ni empire ».
Proposée par SenseiAC le 24 mai 2015, et finalement rejetée. [indice de similitude 5.2/10]:
- De 1250 à 1273, le Saint-Empire est resté sans souverain officiellement reconnu.
Proposant : Tontonflingueur005 (discuter) 31 mai 2020 à 08:34 (CEST)
Discussion :
- J'ai effectué quelques petites corrections de présentation (et d'orthographe), sinon, effectivement Charles Quint était « belge » même si cela constitue un anachrosnisme.--JPC des questions ? 31 mai 2020 à 09:08 (CEST)
Il était plutôt Bourguignon, descendant de Charles le Téméraire. On lui prête cette phrase : "Je parle à Dieu en espagnol, aux hommes en français, aux femmes en italien et à mon cheval en allemand".
- Je connaissais la version « [..] allemand à mes soldats et flamand à ma mule ». Ce qui est inacceptable pour un Gantois et pour notre encyclopédie. — Tricholome et par saint Georges ! 2 juin 2020 à 09:25 (CEST)
- Si on remonte au plus haut (au niveau paternel), on lui trouve des ancêtres alsaciens (même si le nom -Habsbourg- est suisse, plus précisément argovien) et du côté de la mère, il est effectivement bourguignon, mais issu des comtes de Bourgogne, donc plutôt Franc-Comtois. Si je résume, notre grand Charles est un petit gars « bien de chez nous » (français) !--JPC des questions ? 31 mai 2020 à 20:50 (CEST)
ou Voilà une belle phrase complétement anachronique l'espagnol, le français, italien et l'allemand sont des langues, comme on l'entend aujourd'hui, qui n'existaient pas encore. C'est plutôt le castillan pour l'espagnol, la langue d'oil (le bourguignon) pour le français, le toscan pour l'italien et Hochdeutsch pour l'allemand, indépendamment d'une certaine forme de Latin qu'il disait pourtant ne pas parler. -- Alaspada (d) 31 mai 2020 à 21:30 (CEST)
- Faux : le français existait bel et bien (même s'il a évolué) et il correspond bien évidemment à la langue d'oil parlée en Île de France, en Orléanais et en Touraine, langue de François 1er, de sa cour, des Ducs de Bourgogne et bien évidemment de Charles Quint... Vous imaginez l'Empereur s'exprimer en patois bressan ou comtois comme un marchand de volailles ?--JPC des questions ? 1 juin 2020 à 17:34 (CEST)
- Non je ne l'imagine même pas une seconde, il suffit de lire ce qui est écrit « des langues, comme on l'entend aujourd'hui, qui n'existaient pas encore » et « la langue d'oil (le bourguignon) ». Il suffit juste de lire les articles consacrés à ces langues. Bof ! bof ! -- Alaspada (d) 1 juin 2020 à 20:10 (CEST) Je pars d'ici où je n'ai rien à faire
- Le bourguignon en tant que langue littéraire n'a jamais véritablement existé, à part quelques recueils de poèmes ou de contes et légendes. De toute façon, je ne vois pas de quoi on parle, Charles Quint a été éduqué par le futur pape Adrien VI qui, à l'évidence ne s'exprimait pas en bourguignon (plus probablement le latin)...--JPC des questions ? 1 juin 2020 à 21:45 (CEST)
- Non je ne l'imagine même pas une seconde, il suffit de lire ce qui est écrit « des langues, comme on l'entend aujourd'hui, qui n'existaient pas encore » et « la langue d'oil (le bourguignon) ». Il suffit juste de lire les articles consacrés à ces langues. Bof ! bof ! -- Alaspada (d) 1 juin 2020 à 20:10 (CEST) Je pars d'ici où je n'ai rien à faire
- C'est vraiment dommage que vous ne lisiez pas ce que l'on écrit, c'est la deuxième fois que vous êtes pris en défaut : Charles Quint déclare lui même qu'il ne parle pas latin.
- En attendant de sourcer tout cela c'est Non pour moi. -- Alaspada (d) 1 juin 2020 à 23:54 (CEST)
- J'ai ajouté dans l'article une référence à un livre du XIXème siècle. Le terme langue maternelle est peut-être mal choisi car la langue de sa mère Jeanne 1ère de Castille dite "Jeanne la Folle' était le castillan. Or il semble que Charles-Quint n(ait appris cette langue qu'adolescent, voire adule... Ce qui laisse songeur sur la manière dont étaient éduqués ces souverains.
- (LSV!source) On ne va pas charger la proposition de tous les péchés de la citation de JPC. Mais telle qu'elle est, il faudrait qu'elle soit sourcée dans l'article. --Fanfwah (discuter) 1 juin 2020 à 08:18 (CEST)
- (LSV?forme) Sourçage ajouté, merci Tontonflingueur005. Reste effectivement le terme « langue maternelle », alors que c'était celle de son père (la source précise : ainsi que d'une partie de la population et notamment de l'élite des Pays-Bas bourguignons). Quelqu'un a une meilleure formule ? Par ailleurs je pense qu'on peut se passer de « Bien qu'il ait été [...] », qui souligne un contraste suffisamment apparent de lui-même. --Fanfwah (discuter) 12 juin 2020 à 12:47 (CEST)
- Tontonflingueur005 (et les autres), je propose (sans « bien que », avec langue « natale », + wikification) :
- Souverain d'Espagne, des Pays-Bas, de Naples et de Sicile, et du Saint-Empire romain germanique (carte), Charles Quint avait pour langue natale le français.
- Objections, remarques... ? Évidemment pour moi c'est bon. --Fanfwah (discuter) 17 juin 2020 à 17:04 (CEST)
Discussion de l'anecdote archivée. --GhosterBot (10100111001)
20 juin 2020 à 13:01 (CEST)
Tontonflingueur005 : ton anecdote proposée le 2020-05-31 08:34:00 a été acceptée. GhosterBot (10100111001)
20 juin 2020 à 13:02 (CEST)